Avec la mise en place du congé linguistique, les frontaliers peuvent avoir plus de facilité pour apprendre une langue, comme le luxembourgeois.
Vous aimeriez prendre des cours de luxembourgeois, pour obtenir la nationalité, mieux vous intégrer dans le pays ou alors, tout simplement pour comprendre ce que disent vos collègues résidents ?
Et bien, l’Institut national des langues (INSL) est là pour cela. Grâce au congé linguistique, il est à présent plus facile de se consacrer à l’apprentissage d’une langue au Grand-Duché.
Nous avons donc rencontré Gaby Kunsch, directrice de l’Institut National des Langues qui nous a expliqué comment se passent les cours de luxembourgeois et les raisons qui poussent les élèves à s’inscrire.
La réponse en images.
Institut national des langues
21, boulevard de la Foire
L -1528 – Luxembourg
Grand-Duché de Luxembourg
Tél. : (+352) 26 44 30 – 1
Fax : (+352) 26 44 30 – 330
E-mail : secretariat@insl.lu
Le groupe britannique inaugure LeLynx.fr. Le site proposera les offres en ligne de plusieurs compagnies partenaires.
Confused.com, le leader des comparateurs d’assurances automobile au Royaume-Uni, poursuit sa stratégie d’expansion en Europe avec le lancement d’une filiale sur le marché français baptisée LeLynx.fr. Créé en 2002, Confused.com a profondément modifié le marché britannique, sur lequel les assurés passent par des comparateurs de prix pour un contrat d’assurance souscrit sur deux.
En France, le marché des comparateurs d’assurances, dominé par Assurland (filiale du groupe mutualiste Covéa) reste encore très peu développé. Seulement 5 % des assurés passent par ce biais pour choisir leur contrat.
LeLynx.fr se concentrera d’abord sur l’assurance automobile en proposant les offres en ligne de plusieurs compagnies partenaires. Le site a d’ores et déjà signé un accord avec Amaguiz (Groupama), L’Equité (Generali), MGard (Axa), IdMacif (Macif), Assurauto, AssurAvenue (Suravenir), April Group et Assuronline, qui le rémunèrent à chaque mise en relation.
D’autres secteurs à terme
« En période de crise, l’internaute cherche à réaliser des économies sans sacrifier la qualité du service rendu. La recherche d’informations sur Internet et la comparaison sont donc des forces irrésistibles qui vont faire grandir le marché », estime Martin Coriat, directeur général de LeLynx.fr.
Interrogé par Reuters, il s’est dit «surpris» par l’accueil très positif des grands groupes d’assurances avec lesquels il a signé un contrat et qui «comprennent l’importance d’Internet pour le secteur, comme ce fut le cas il y a plusieurs années pour les voyages».
La comparaison des tarifs peut «limiter la hausse des prix pour un consommateur donné», ajoute-t-il, sans toutefois se prononcer sur l’impact général des comparateurs au niveau des tarifs. A terme, le site entend proposer l’ensemble des assurances auto, moto, habitation et santé pour les particuliers.
Créé en 2002 et implanté en Espagne en mars 2009 avec sa filiale Rastreator.com, Confused.com, filiale du groupe d’assurances automobile britannique Admiral Group, a réalisé en 2008 un chiffre d’affaires d’environ 82 millions d’euros.
Le moteur américain permet aux utilisateurs de son outil bureautique d’y stocker tous types de fichiers. Images et vidéos sont désormais bienvenues, dans la limite de 250 Mo par fichier.
Mise à jour le 25 janvier 2010
Il est désormais possible d’importer et de partager tous types de documents dans son espace de stockage Google Docs, sans avoir à les convertir au format maison. Sont désormais autorisées les images et les vidéos, par exemple.
Le géant américain de la recherche vient d’activer cette fonction, annoncée le 13 janvier dernier. L’espace Google Docs devient donc un véritable disque dur en ligne gratuit, d’une taille de 1 Go (sur les 7,4 Go gratuits proposés pour un compte Gmail, espace extensible en achetant un forfait annuel , 5 dollars pour 20 Go par exemple).
Les utilisateurs peuvent importer des fichiers d’une taille maximale de 250 Mo. Google demande aux utilisateurs « de ne pas importer ni partager un contenu » qu’ils ne sont pas autorisés à partager.
Première parution le 13 janvier 2010
Google fait un pas vers un disque dur en ligne
Le moteur américain va bientôt permettre aux utilisateurs de son outil de bureautique d’y stocker tous types de fichiers.
Ce n’est pas encore le « Google Drive », mais cela s’en rapproche beaucoup. Le géant de la recherche a annoncé mardi 12 janvier 2010 le lancement prochain d’une nouvelle fonction au sein de Google Documents, sa suite bureautique sur le Web. Elle permettra aux utilisateurs de mettre en ligne n’importe quel type de fichier.
Auparavant cantonné exclusivement aux documents bureautiques, Google Docs pourra donc désormais faire office de mini disque dur en ligne, sur lequel stocker photos, vidéos ou archives. «Vous pourriez même être en mesure de vous passer de cette clé USB que vous réserviez à ces fichiers trop volumineux pour être transférés par e-mail», précise le blog officiel de Google Docs, qui indique bien par là l’objectif du projet.
1 Go de stockage en version gratuite
Cette fonction, qui sera déployée auprès de tous les utilisateurs dans les prochains jours, a cependant ses limites : un fichier mis en ligne ne pourra pas excéder la taille de 250 Mo et le stockage total restreint à 1 Go en version gratuite. Google propose cependant d’étendre la capacité du service grâce à son offre d’achat d’espace de stockage supplémentaire. Compter cinq dollars par an pour 20 Go.
Les professionnels qui utilisent les Google Apps bénéficieront d’une fonction supplémentaire : ils pourront transférer (uploader) plusieurs documents à la fois et synchroniser l’ensemble de ces fichiers sur leur ordinateur en temps réel, par le biais d’applications tierces.
Très attendu sur la Toile, le service de stockage de documents en ligne de Google arrive donc discrètement sur un marché déjà riche de nombreux acteurs, comme Dropbox et Skydrive de Microsoft. Lancé depuis 2008, ce dernier offre quant à lui 25 Go de stockage gratuit à tous les utilisateurs des services Windows Live… mais il interdit l’envoi de fichiers dont la taille dépasse les 50 Mo.
Nokia vient d’annoncer qu’il allait offrir gratuitement un système de navigation et cartographie avec ses téléphones haut de gamme. Le finlandais utilisera son service Ovi Maps qui couvre actuellement 74 pays et 46 langues.
Nokia frappe un grand coup
Nokia domine donc l’offre Maps d’Android 2.0. En plus d’une supériorité géographique, le système de navigation du moteur de recherche n’étant disponible qu’aux États-Unis, les cartes Navteq offertes par Nokia sont installées sur le téléphone, contrairement à Google qui demande une connexion aux serveurs de la firme. Il est vrai que Maps dispose du mode Street View qui propose de s’immerger à l’aide d’images prises sur les lieux, mais Nokia a aussi mis à disposition les guides Michelin et Lonely Planet. De plus, le fait que son service de navigation piétonne et routière soit accessible à une gamme plus large de consommateurs devrait faire de l’ombre aux fonctionnalités uniques à Maps.
Dix smartphones sont compatibles : les Nokia N97 mini, Nokia 5800 XpressMusic, Nokia 5800 Navigation Edition, Nokia E52, Nokia E55, Nokia E72, Nokia 5230, Nokia 6710 Navigator, Nokia 6730 classic et Nokia X6. Curieusement, les N900 et N97 sont pour l’instant absents de la liste. Nokia a promis que tous les nouveaux smartphones qui sortiront pourront profiter de cette offre. Il est déjà possible de se rendre sur le site de Nokia et télécharger les cartes gratuitement.
L’action de TomTom a perdu plus de 10 % tandis que Garmin a reculé de 4 % suite à cette annonce. Nokia frappe fort et devient ainsi une référence en matière de navigation sur smartphone. Les navigateurs GPS dédiés vont avoir une concurrence beaucoup plus rude et il sera intéressant de voir comment les autres fabricants de smartphones réagiront.
YouTube vient de créer son propre éditeur de playlist vidéo. Avec « Disco », l’internaute arrive sur une page intitulée Find>Mix>Watch, en fait les trois étapes rythmant la prise en main de cette page.
Vous entrez un nom, et YouTube vous déverse toutes les vidéos de l’artiste, du groupe, en question. De là, on peut trouver des artistes en rapport (vous cherchez PJ Harvey, et l’éternelle Patti Smith pointe sa guitare). Vous cliquez sur Mix, et le moteur vous génère une playlist de morceaux picorés chez tous ces artistes.
Les playlists sont exportables. On peut alors les partager avec ses amis, ingrédient de base de tout service Web 2.0 qui se respecte. Par exemple, la playlist de notre collègue Vincent H.
YouTube s’appuie sur le catalogue Vevo, une chaine officielle, légale.
Vevo est une plateforme musicale récente lancée par YouTube, Universal Music Group, et Sony Music Entertainment. Le contenu n’est normalement accessible que depuis les États-Unis ou le Canada, mais pas via Disco visiblement. Le modèle de Disco repose sur un partage des revenus publicitaires. Google assure les prestations techniques, les deux majors l’apport par camions, du contenu musical.
La version finale de Firefox 3.6 est disponible en téléchargement depuis plusieurs heures sur les serveurs Mozilla. Comme d’habitude, le site de la fondation a toujours un peu de retard, mais la mise à jour des informations ne devrait pas tarder. Pour ce qui est des nouveautés, commençons par l’élément déterminant pour les utilisateurs c’est-à-dire les performances. Dans nos colonnes Mike Beltzner, le directeur du développement, annonçait que le moteur Javascript de Firefox 3.6 serait 20 % plus rapide que celui de la mouture 3.5. Ce gain s’explique par diverses optimisations apportées à la machine virtuelle Javascipt TraceMonkey.
Bonne nouvelle, l’information a été confirmée lors de nos « benchmarks » SunSpider JavaScript, comme prévu la version finale de Firefox 3.6 s’est avérée 1,2 fois plus rapide que Firefox 3.5.7. Côté Acid3 Test, Firefox 3.6 reste à 93 %. Mozilla est donc toujours en retard sur ce point, alors que Google Chrome, Safari et Opera sont déjà à 100 % depuis un certain temps. Toujours sous le capot, Firefox 3.6 intègre la fonction poster frame, de nouvelles fonctionnalités et propriétés du CSS3, des avancées sur le support du DOM et HTML5 avec l’API File, la prise en charge des fontes WOFF et bien sûr la correction de nombreux bogues.
Au final, ces avancées permettent un chargement plus rapide de ce type de fontes avec support des tags, un meilleure interaction entre le service web et l’explorateur de fichiers, la possibilité de choisir une image qui sera présentée avant la lecture d’une vidéo, mais aussi de consulter les vidéos natives en plein écran et enfin l’apparition du glisser-déposer du bureau vers une page Web. Autre nouveauté, l’intégration par défaut de la solution Personas.
Efficace et ludique, elle permet de personnaliser discrètement l’interface de Firefox tout en respectant la charte originale. Pour en profiter, il suffit de se rendre sur le site de l’éditeur, de prévisualiser les thèmes en les survolant avec le curseur souris et de les installer d’un simple clic. Pour terminer, un dispositif surveillera les extensions installées et alertera l’utilisateur de façon plus explicite pour l’inciter fortement à mettre à jour celles dépassées afin d’assurer une parfaite sécurité. La version finale du navigateur internet Firefox 3.6 est dès à présent disponible en téléchargement pour Windows, Mac et Linux à partir de la logithèque Clubic !
La version finale de Firefox 3.6 sera en ligne jeudi 21 janvier 2009 en fin d’après-midi.
Pour la sortie de Firefox 3.6, deux dates circulaient, le 19 ou le 26 janvier. Dimanche, une version RC2 de Fx 3.6 a été mise en ligne, ce qui a plutôt fait pencher la balance du côté du mardi 26 janvier. Le 19 janvier est en effet passé sans l’ombre d’un Firefox 3.6 à l’horizon, mais il ne faudra pas attendre bien longtemps. La version finale est en effet annoncée pour le jeudi 21 janvier, soit demain aux alentours de 18h30.
Nous avons déjà présenté les nouveautés de Firefox 3.6 dans nos colonnes. À l’aube de son lancement qui interviendra donc, mais ce n’est que pur hasard, en période de tourmente pour Internet Explorer, le directeur du développement de Firefox se plie à l’exercice devenu coutumier pour chaque sortie majeure d’une présentation sommaire en vidéo.
Dans la vidéo proposée à la fin de cette actualité, Mike Beltzner met l’accent sur l’intégration de Personas qui permet de changer très rapidement et de manière conviviale en se rendant sur un site dédié, le thème de Firefox ( aperçu de l’habillage sur simple survol avec le pointeur de la souris ). Autre nouveauté avec un mécanisme pour surveiller la mise à jour des plugins ; un gage de sécurité et stabilité supplémentaire selon Mike Beltzner.
Avec Firefox 3.6, qui est basé sur le moteur de rendu Gecko 1.9.2, il est possible de consulter les vidéos natives ( balise vidéo de HTML 5 ) en mode plein écran. En plus de TrueType et OpenType, le navigateur prend en charge Web Open Font Format avec des fontes WOFF qui se téléchargent plus vite ( format compressé ) et supportent les tags, les métadonnées. Également, de nouvelles possibilités CSS ( notamment les dégradés ), le support de l’API File de HTML 5 qui permet par exemple la prise en charge du glisser-déposer depuis le bureau vers une page Web distante. La balle est dans le camp des développeurs.
Un peu plus gadget, pour les ordinateurs portables et appareils mobiles équipés d’accéléromètres, une API permet d’orienter le contenu affiché dans Firefox 3.6 en fonction de l’orientation de l’écran. Beaucoup moins gadget, les performances accrues au niveau de la rapidité d’exécution JavaScript grâce aux améliorations apportées au moteur TraceMonkey. Sur la base de résultats au benchmark JavaScript SunSpider, Mike Beltzner affirme que sous Windows 7, Firefox 3.6 est 20% plus rapide que Fx 3.5.
À vérifier demain donc, même si l’on peut déjà le faire avec la RC2.
Le concept du routeur Hadopi fait des émules ! Son inventeur se demandait alors « combien de temps il faudrait avant qu’un tel périphérique soit distribué sous couvert de fonctionnalités relatives à la sécurité ». S’il n’avait pas la réponse à la première question, il avait en revanche vu juste quant aux motivations officielles de sa future incarnation.
Le Wifi-Box prétend effectivement offrir « divers mécanismes de sécurité pour s’assurer que ses données sont en sécurité ». Prenant la forme non pas d’un routeur mais d’une carte réseau à relier à son ordinateur par USB, ce « débloqueur de réseaux Wi-Fi » est en fait spécialement conçu pour casser les réseaux sans-fil environnants.
Il offre d’ailleurs une puissance d’émission variable de 50 à 500 milliwatts, indépendamment d’éventuelles limitations légales (100 milliwatts en France), pour un rayon d’action potentiellement 10 fois plus important qu’avec une carte conventionnelle.
Il repose en outre sur une puce Realtek RTL8187L, permettant de tirer pleinement parti des outils du système d’exploitation BackTrack fourni, dédié aux tests de sécurité réseau. Ce dernier comprend de nombreux outils de surveillance et de cassage de réseau. Il comporte en particulier le logiciel SpoonWEP, qui permet d’infiltrer en toute illégalité un réseau Wi-Fi protégé par clé WEP ou WPA en quelques minutes.
Il s’agit donc de se connecter en toute impunité au réseau Wi-Fi du voisin, qui sera alors tenu pour responsable au yeux de l’Hadopi en cas de téléchargement illégal constaté par le biais de sa connexion à Internet. À défaut d’êtres configurées ainsi en standard, les box françaises doivent donc être protégées par un clé de chiffrement WPA2 pour être prémunies… Un paramétrage à la portée des téléchargeurs mais malheureusement pas de Mme Michu.
Le Wifi-Box sera prochainement commercialisé auprès des distributeurs qui voudront bien le vendre, pour un prix avoisinant les 50 euros. Les experts en sécurité n’ont toutefois pas attendu l’annonce de ce dispositif pour s’inspirer du concept du routeur Hadopi, puisqu’un micrologiciel (firmware) alternatif baptisé HostileWRT en offre déjà les fonctionnalités.
Il y a quelques semaines, une première préversion d’Opera 10.5 avait été rendue disponible pour les testeurs aventureux. Pourtant très instable, elle avait montré que les développeurs étaient très sérieux quant à l’augmentation des performances. Une nouvelle version alpha est disponible, et la tendance se confirme.
Opera 10.5 se profile comme l’une des plus grosses remises à niveau du navigateur depuis des années. Intégration à Windows 7, utilisation de Cocoa sous Mac OS X, abandon du framework Qt sous Linux pour pouvoir s’intégrer plus facilement dans d’autres environnements comme Gtk, nouveau moteur JavaScript…
Quelles sont les nouveautés de cette préversion ?
Un moteur de rendu mis à jour
Un meilleur support de la balise video
De meilleures performances
Une meilleure intégration dans Windows 7
Des corrections dans la gestion des courriers électroniques
Le support d’IMAP Compress
Ajout de l’élément « Inspecter l’objet »
La nouvelle préversion n’est disponible que pour Windows et il faudra attendre un peu plus tard dans la semaine pour avoir les versions Mac OS X et Linux.
Mise à jour : la Release Candidate 2 de Firefox 3.6 est disponible depuis la page des téléchargements.
Récemment, Mozilla a lancé
la Release Candidate 1 de Firefox 3.6. La version majeure suivante, estampillée 3.7, était prévue pour amener de gros changements internes dans le navigateur : avec notamment l’implémentation d’Electrolysys, elle compte diviser le fonctionnement de Firefox en autant de processus qu’il y aurait d’onglets. Au lieu de ça, Mozilla a revu tout le plan de développement de son produit en annulant la version 3.7.
Pourquoi ? Parce que les développeurs préfèrent finalement le crédo du « Lancer des versions plus petites, plus souvent ». Du coup, si l’on prend Firefox 3.7, on peut se représenter la chose comme une explosion dont les morceaux représentent désormais des jalons dans l’avancée du navigateur. Côté utilisateurs, on doit donc s’attendre à voir arriver de nouvelles fonctionnalités beaucoup plus régulièrement.
Des nouveautés plus régulières pour Firefox
Mike Beltzner, qui dirige le développement de Firefox, a indiqué à Computer World que le cycle de développement allait donc passer du standard « 4 à 6 mois » à une fourchette nettement plus courte : 4 à 6 semaines. Sous quelle forme cela va-t-il se présenter ? Nous en avons eu un aperçu la semaine dernière lorsque Lorentz a été évoquée : cette future version 3.6.5 sera l’un des fameux jalons.
Lorentz doit mettre en place les premières bases d’Electrolysis en s’attaquant à l’isolation des plug-ins dans des processus séparés. Conséquence, si un desdites plug-ins vient à planter, il n’entrainera pas le navigateur avec lui. Mike Beltzner a indiqué à ce sujet que Flash était de loin le plug-in le plus à même de provoquer ce genre de problème.
Pourquoi ce changement finalement ? Le responsable explique que la création de Firefox 3.6 a pris du retard et que les développeurs ont pu déterminer un certain nombre de points et de facteurs qui avaient participé à ce délai. Ils ont décidé d’avancer par étapes plus courtes, mais plus régulières, pour éviter les longues phases de bêta test et l’arrivée d’un trop grand nombre de nouveautés à vérifier.
Firefox 3.6 va donc sortir normalement à la fin du mois, mais on sait déjà qu’il y aura une nouvelle Release Candidate. Mike Beltzner a précisé en effet que les tests avançaient bien et que des bugs étaient en cours de correction, y compris certains capables de bloquer la sortie de la version finale. Après cette dernière, une série de mises à jour nouvelles fera son apparition. Elles ne seront plus ni de simples groupes de correctifs de sécurité, ni des versions majeures.
Il restera bien sûr les grandes versions qui représentent des étapes importantes dans le processus de création. La version 4.0 reste toujours en place dans le planning, avec notamment son renouvellement de l’interface. Mozilla va simplement procéder par petits bonds successifs pour y arriver.
En attendant, Firefox 3.6 est maintenant proche, et on rappellera au passage les améliorations mises sur le tapis :
L’inclusion des Personas, aussi appelés « thèmes légers ». Ils permettent de changer quelques éléments de l’interface sans pour autant redémarrer le navigateur.
Firefox 3.6 peut maintenant avertir lorsque des plug-ins (à ne pas confondre avec les extensions) sont périmés.
Les vidéos passant par la balise HTML du même nom pourront être affichées en plein écran
Le support des polices WOFF
Meilleures performances pour le JavaScript
Meilleure réactivité générale du navigateur et meilleur temps de démarrage
Un meilleur support des CSS, DOM et balises HTML 5