Commentaires fermés sur Bonne fête PAPA!
Archive pour la catégorie “Non classé”(Aujourd’hui) c’est la Fête des Mamans en France! Les Origines de la Fête des Mères: Les grecs anciens fêtaient leur déesse Rhea au printemps, pour les romains, la fête des Matraliae (du latin Mater, mère) se situait en juin. Puis au XVIème siècle les anglais ont instauré un dimanche de fête des mères. La France tente de lutter contre sa « dépopulation » et organise des « Fêtes des enfants » mettant en avant les vertus de la famille et prônant l’importance de la fécondité. Au début du XXème siècle ces manifestations connaissent des variantes : fêtes de la famille ou manifestations familiales à l’occasion de la fête nationale du 14 juillet, avec une forte contribution des enfants. Mothers DayEt c’est la grande guerre. Les américains qui avaient opté pour un vrai « Mothers Day » le deuxième dimanche de mai à la fin du XIXème siècle, la développent ardemment durant la première guerre mondiale, éloignement oblige. Les français chargés du courrier constatent alors des envois massifs à cette date qui leur est mystérieuse. Et la France ayant encore plus besoin de se repeupler après la guerre 14-18, cette coutume bien implantée outre-atlantique de « Fête des Mères » va faire des émules. Dans le même temps, en pleine guerre, la municipalité parisienne organise une « Fête des familles nombreuses » dans les locaux de la SNHF, Société nationale d’Horticulture de France. Suivie à Lyon d’une « Journée des mères » en 1918, puis d’une « Journée des mères de familles nombreuses » en 1919, fixé au 15 août, jour de l’Assomption de Marie, mère de Jésus. De nombreuses manifestations se déroulèrent en province, mais l’institution n’était pas encore établie. C’est en 1920, et en mai cette fois, que le projet aboutit, permettant aux « mères méritantes » de recevoir des fonds d’une collecte publique recueillis à leur intention, et la fameuse médaille d’or remise à une mère de treize enfants. Une Fête OfficielleOn en est loin aujourd’hui de la fête de la déesse Rhea. On reproche à la fête des mères d’être une occasion purement commerciale alors qu’au départ l’objetif n’avait rien de mercantile… Mais le succès avait cette fois été grand, et national. Le gouvernement d’alors décida d’instituer l’événement en « Journée des mères », qui sera officialisée en 1928. Cette fête est régie par une loi depuis le 24 mai 1950, suivie deux ans plus tard par la Fête des pères. Elle est fixée au dernier dimanche de mai, sauf si celui si est le dimanche de Pentecôte. Dans ce cas assez exceptionnel, la Fête des mères est reportée au premier dimanche de juin.
Les trois Saints de Glace comme les Mousquetaires étaient quatre
Saint-Pancrace Saint-Servais Saint-Urbain
Et certains n’hésitent pas à ajouter Saint-Boniface
Basé sur une vieille croyance reposant sur des observations dans les champs et les vignes, il est tous les ans une question qui revient et fait référence aux Saints de Glace et aux variations climatiques de cette période. D’abord faut-il savoir qu’il s’agit du 11, 12 et 13 mai, dates de mauvaise réputation pour toutes les « mains vertes » qui ne jardinent jamais avant le passage de ces journées annonciatrices d’un retour tardif des gelées, capables de réduire à zéro le travail des téméraires qui auraient osé planter avant cette échéance. Cette substitution fut terminée lors du dernier concile de l’Eglise catholique en 1960 qui « nettoya » le calendrier de tous les personnages donnant lieu à des pratiques rituelles peu conforme avec la liturgie et considérées comme entachées de fond païen. Et c’est ainsi que nos « braves Saints de Glace » furent rayés au même titre que les guérisseurs, retrouveurs d’objets perdus ou encore traitant de la météorologie… Bien sûr ils étaient tous les ans implorés par les agriculteurs et les viticulteurs, qui à cette occasion retrouvaient et récitaient au cours de processions avec Monsieur le curé en tête, de pieuses prières qui n’étaient pas forcément dénuées d’arrière-pensées intéressées. Et pourtant si nous en recherchons les origines lointaines, très lointaines même, des gens d’alors avaient constaté qu’une brutale chute de la température nocturne ou plutôt matinale arrivait tous les ans aux alentours de ces trois journées. Cet élément climatologique qu’est le gel, particulièrement désastreux pour les plantations qui pourraient se trouver alors en début de germination, les incitait à laisser passer l’événement avant d’entreprendre les grands travaux de printemps, et pour les jardiniers et maraîcher planter, repiquer, semer, mettre en terre en toute quiétude. Aujourd’hui encore ils ne négligent pas ce vieux dicton et même la Météorologie pourtant peu soucieuse des proverbes, ne nie pas qu’il existe une période très froide qui peut survenir jusqu’en fin mai. Quant aux astrophysiciens, spécialistes particulièrement minutieux ils ont pour leur part remarqué « que vers la mi-mars, l’orbite de la terre passerait par une zone de l’espace sidéral particulièrement chargée de poussières, ce qui entraînerait une baisse de l’apport solaire sur notre planète et donc une diminution de la température. » Ainsi leur sort étant réglé et ces chrétiens bannis des calendriers, il est peut-être intéressant de les découvrir à nouveau… si peu ! 11 Mai : Saint-Mamert, ancien archevêque de Vienne (en Gaule), serait mort vers 474. 12 Mai : Saint-Pancrace, était le neveu de Saint-Denis (célèbre pour la triste histoire des flèches ? ) serait mort martyr en 304 à l’âge de 14 ans. 13 Mai : Saint-Servais (souvent confondu avec Saint- Gervais) aurait subit le martyre à Milan avec son frère Portaux sous l’empereur Néon. Il fut le premier à disparaître du calendrier, remplacé en 1811 par Saint Onésime et aujourd’hui par Sainte Rolande. Ainsi va le monde, moderne oui, mais toujours attaché à ses racines.
Un voyageur spatio-temporel, du même genre que Marty McFly dans le film «Retour vers le Futur», a été immortalisé sur une photo datant de 1940.
![]() Alors, voyageur du futur ou pas?
Ses habits, ses lunettes de soleil, sa coupe de cheveux ou encore l’appareil photo évolué qu’il tient dans la main, sont autant d’éléments qui font penser que la personne visible sur la photo ci-dessus est bel et bien un homme qui vient du futur. Mais si, pour certains internautes, il s’agit bien d’un voyageur spatio-temporel, pour d’autres il n’incarne rien de moderne. Le t-shirt qu’il porte ressemble à un chandail, ce qui n’a rien d’exceptionnel à cette période de l’histoire. Et l’appareil photo pourrait être un Kodak Pocket en circulation depuis le début du 20ème siècle. Seule certitude, le cliché pris entre 1940 et 1941, immortalise une foule présente à la réouverture du pont de South Folk au Canada. Ce dernier avait été détruit par des inondations en 1940. La photo figure sur le site officiel d’un musée canadien «Bralorne Pioneer Museum». Et elle n’aurait pas été retouchée, ou alors il s’agirait d’un très bon travail, d’après une analyse effectuée par le site spécialisé errorlevelanalysis.
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2020
![]() ![]() Zone blanche : du satellite à 100 Mbps en France d’ici 2015 ?Publié par Joris dans Liens divers, News, Non classé, Trucs et astuces![]() Or comme l’a récemment rappelé Jean-Ludovic Silicani, le président de l’ARCEP, le satellite pourrait bien faire office d’excellent remplaçant d’ici cinq ans. Mais pas à n’importe quelle condition. Du satellite à 50 voire 100 Mbps En effet, il se prépare depuis de longs mois déjà une offre satellitaire destinée à la France (et non à une zone plus large), permettant d’accéder à des débits réels de 50 Mbps en téléchargement (voire 100 Mbps), et 10 Mbps en upload. Le tout pour 35 euros par mois. C’est en tout cas ce que promet le projet MegaSat, initié par CNES, le Centre national d’études spatiales. Mais cette offre, qui ne sera pas disponible avant 2014/2015 (au plus tôt), sera limitée à quelques centaines de milliers de foyers. Entre 500 000 et 1 million, tout au plus. Sachant que le nombre de foyers qui seront desservis tardivement par le très haut débit est de 750 000 environ, l’offre satellitaire à 50 ou 100 Mbps doit donc quasi exclusivement être réservée à ces foyers situés en zones blanches. Et pour le sénateur vendéen Bruno Retailleau, cette offre satellitaire à très haut débit est la solution toute trouvée, et elle doit être mise en place le plus rapidement possible. Rapporteur pour avis du projet de loi de finances rectificative pour 2010, dont les discussions en séance publique ont commencé hier et continuent aujourd’hui, Bruno Retailleau n’y va pas par quatre chemins et se montre très réaliste. « Dans les zones les plus reculées, l’idée même de déployer un réseau de fibre optique semble à écarter au nom de la rationalité économique et des principes d’usage de fonds publics. » En somme, personne, même les collectivités locales, ne mettra des millions voire des milliards d’euros sur la table pour fibrer ces zones à très faible densité. Du très haut débit vraiment pour tous Mais ce n’est pas parce que ces gens vivent dans des coins reculés qu’ils doivent pour autant être délaissés et ne pas accéder aux nouvelles technologies. « Leur développement harmonieux passera par leur irrigation en réseau numérique à forte bande passante. Si la fibre optique ne peut être retenue, le principe de neutralité et d’équivalence technologique commande de recourir à d’autres procédés techniques à même de fournir des débits équivalents » explique le sénateur. Et si le très haut débit pourrait arriver par des voies mobiles (via la 4G), nous savons qu’il faudra de très longues années pour que ce soit effectif. « Une optimisation des vecteurs satellitaires semble devoir être recherchée » conclue donc Bruno Retailleau. Et pour ne pas perdre de temps, le sénateur propose d’investir 250 millions d’euros de fonds publics, sachant que le coût total du projet a été évalué à 500 millions d’euros si l’on souhaite offrir à au moins 500 000 foyers du satellite à très haut débit d’ici 2015. Et n’oublions pas qu’il faudra trois ans pour concevoir le satellite en question. « Votre rapporteur pour avis souscrit entièrement à la décision de soutenir le déploiement d’une offre satellitaire dans la mesure où elle constitue un complément irremplaçable à une offre plus massive que représente la fibre » résume le sénateur.
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