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Spotify résumé en un tableau
Moins d’un mois après avoir lancé sa version « nouvelle génération » très ancrée dans les réseaux sociaux, Spotify dévoile deux nouveaux produits : Spotify Unlimited et Spotify Open. Spotify Free tel qu’on le connaissait jusqu’à maintenant ne sera plus accessible qu’aux bénéficiaires des invitations restantes.
Spotify Free accessible seulement par invitation
C’est le point le plus important de cette nouvelle gamme : l’offre par défaut, gratuite et accessible à tous, est désormais limitée à 20 h d’écoute par mois soit l’équivalent de 300 titres ou 25 albums parmi les 8 millions disponibles au catalogue. Free, la version illimitée, gratuite et financée par la publicité est maintenant accessible seulement grâce aux invitations restantes. Les utilisateurs d’Open ne couperont pas non plus aux spots de pubs.
L’autre nouveauté Unlimited vient se placer un cran en dessous de l’offre Premium. Au prix de 4,99 euros par mois, cet abonnement permet simplement de se passer de publicité par rapport à l’offre Free. Impossible, comme en Premium d’écouter de la musique sur son mobile ou de profiter du mode hors connexion que ce soit sur son mobile ou son ordinateur.
Ces nouvelles offres s’adaptent à beaucoup d’usages particuliers, mais compliquent toutefois la donne. Jusqu’à présent Spotify plaisait par sa simplicité. Pas évident pour la société, qui lance aujourd’hui son service aux Pays-Bas, de bien se faire comprendre des possibles utilisateurs. L’arrivée prochaine de la nouvelle version d’iTunes intégrant l’offre de streaming Lala n’est certainement pas pour rien dans le déploiement de cette nouvelle gamme.
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En raison de travaux à la gare de Thionville, la circulation des TER entre Luxembourg-Thionville-Metz-Nancy va être perturbée du 16 mai au 6 juin 2010.
La gare de Thionville va être en travaux, pendant 3 semaines, à partir de ce dimanche.
Pour cette raison, la circulation des TER entre Luxembourg-Thionville-Metz-Nancy va être entravée.
Certains trains vont être remplacés par des bus et d’autres complètement supprimés. Cependant, les trains supprimés, ne le seront pas aux heures de pointe, mais pour des trajets de nuit.
Consultez le détail des trajets assurés par train, ceux assurés par autocars et ceux qui sont supprimés.
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La défiance à l’égard du réseau prend de l’ampleur. Pour protester contre sa gestion des données personnelles, un site invite les internautes à quitter Facebook le 31 mai prochain.
L e réseau social aux 400 millions de membres dans le monde ne se fait pas que des amis. Depuis le 13 mai, un site a ouvert ses portes qui invite explicitement les internautes à quitter le réseau social. Pour susciter le buzz, ses créateurs, deux informaticiens canadiens, ont même fixé une date pour prononcer le divorce : le 31 mai 2010.
En fin d’après-midi aujourd’hui, plus de 2 900 internautes avaient déjà indiqué vouloir rompre avec Facebook en indiquant leur nom sur le site. Ceux qui le souhaitent pourront recevoir un courriel, le 31 mai prochain, qui leur rappellera leur engagement.
Avec cette initiative, Quitfacebookday.com espère surtout attirer l’attention des internautes sur les pratiques du réseau en matière de gestion des données personnelles. Ces derniers mois, Facebook a essuyé de vives critiques sur ce sujet, y compris de la part de sénateurs américains, et même un rappel à l’ordre de la Commission européenne.
Arrêter Facebook, « c’est comme arrêter de fumer »
« Facebook vous laisse le choix de gérer vos données personnelles, mais ce ne sont pas des choix justes. Alors que cette lourde tâche de gestion incombe aux utilisateurs eux-mêmes, Facebook la rend diablement difficile pour l’utilisateur lambda, explique Quitfacebookday.com. Nous ne pensons pas que Facebook ait beaucoup de respect pour vos données personnelles. »
Les membres du réseau sont donc invités à s’interroger sur ces pratiques, pour « comprendre la nature du problème », insiste le site. Mais « quitter quelque chose comme Facebook, c’est comme arrêter de fumer », ce n’est pas chose aisée. Cette initiative collective, « Nous quittons Facebook », est censée faciliter la démarche…
Loin d’être opposé aux réseaux sociaux, Quitfacebookday.com propose quelques initiatives pour remplacer le site de Mark Zuckerberg : Ning, Akoha ou encore Orkut. Mais ses créateurs placent surtout leurs espoirs en Diaspora, un projet ouvert et décentralisé où l’identité numérique des membres ne sera plus contrôlée par une entité commerciale.
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Estampillée 2.6.34, une nouvelle mouture majeure du noyau Linux est en ligne. Elle apporte deux nouveaux systèmes de fichiers.
Le noyau ou kernel Linux est disponible dans une 34e révision de sa branche 2.6. Comme a l’accoutumée, l’annonce de cette sortie a été faite par son créateur et aujourd’hui responsable de son développement : Linus Torvalds. Selon l’un des plus célèbres informaticiens finlandais de la planète, cette nouvelle mouture apporte des » tonnes de changements » dont la moitié au niveau des pilotes.
Certes, c’est ce que Linus Torvalds annonce presqu’à chaque fois, mais comment pourrait-il en être autrement. Avec la dernière réalisation stable du noyau Linux qui demeure un incroyable projet libre, ce sont tout de même près 850 développeurs qui ont été impliqués à travers le monde pour plus de 6 500 lignes de codes modifiées, 400 000 ajoutées et 175 000 supprimées !
Linux Kernel Newbies éclaire notre lanterne quant aux principales nouveautés du noyau Linux 2.6.34. On notera ainsi l’intégration de deux nouveaux systèmes de fichiers. Un pour les dispositifs à mémoire flash de grande capacité avec un montage du système plus rapide ( LogFS ), et un système de fichiers distribué ( Ceph ). Ce dernier a été développé avec pour objectifs d’être compatible POSIX ( Portable Operating System Interface for UNIX ) et complètement distribué sans point individuel de défaillance ( Single Point of Failure ).
En plus de ces deux nouveaux systèmes de fichiers, des améliorations ont été apportées à Btrfs qui est considéré par beaucoup comme l’équivalent pour Linux de ZFS. Le noyau 2.6.34 annonce également le support du basculement GPU pour passer d’un GPU à un autre sur les ordinateurs portables qui en possèdent deux, et donc tout un panel de mises à jour pour les pilotes pris en charge dans divers domaines ( graphique, son, réseau, virtualisation… ).
Dernière version stable du noyau Linux
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Voici revenue la Gazette du libre dans une 5e édition !
Sachez que le topic officiel de la Gazette a été ouvert. N’hésitez pas à y faire remonter des informations, suggestions, ou critiques, voire même des débats.
Dans les évolutions de la Gazette, vous noterez l’apparition des brèves de comptoir (ou appeaux à troll): des infos trop petites pour en faire un article, le tout tourné de façon sarcastique. Ensuite, c’est une Gazette malheureusement sous le signe de l’euro: la devise du rachat possible de Mandriva. C’est triste bien sûr. Mandriva, c’est un peu notre Novell à nous… Mais n’oublions pas les hommes derrière l’entreprise et saluons-les. Tout ce travail Open-source accompli ne s’arrêtera pas car il y a aussi la communauté. Une autre entreprise peut aussi parfaitement forker et reprendre la relève. Tout est donc possible.

Du côté de KDE maintenant, la communauté a été très active. Entre la sortie de la dernière KDE SC, les très nombreuses sorties d’application KDE (30 en une semaine !), et le vote qui sera bientôt organisé pour… Ah mais pas de spoil, lisez la news vous verrez bien.
Et enfin, fait exceptionnel dans la longue histoire de la gazette, Manudwarf a souhaité participer et a proposé deux articles. Il vous présentera donc une alternative à F-Spot, gestionnaire de photos au design spartiate, et à X-Sane, un utilitaire de numérisation dont GIMP doit être le fils spirituel.
Mais assez de teasing, place à l’information !
Vous êtes un linuxien, vous êtes quelqu’un de bien.
C’est grossièrement ce qui ressort des statistiques du Humble Indie Bundle. Pour ceux qui ne le savent pas, l’opération consistait en une vente de jeux indépendants totalement libres. Oui, Libre comme Libre parole ET comme Libre Service!
En effet, le prix de vente était fixé par l’utilisateur (avec un minimum de 0.01$). Mieux, tous les fonds sont répartis selon votre désir entre les développeurs et des associations humanitaires.
L’opération a été un véritable succès puisque plus de 1 million de dollars ont été récoltés, et ceci, alors même que 25% du trafic était dû à du téléchargement non payé.
En effet, les développeurs de Wolfire (à l’initiative du projet) ont une vision réaliste du « piratage » et tous les jeux sont accessibles sur le répertoire via un simple «wget». Tout est mis en place dans la confiance et sans limitation, par exemple, le lien de téléchargement envoyé par mail n’est pas limité en nombre d’utilisation…
D’ailleurs Wolfire explique les raisons de ces 25% : il ne s’agit pas du fameux refrain «parce que c’est rien que des pirates terroristes violeurs et pilleurs», chanté en choeur par tous les éditeurs du moment. Vous aurez une chronologie des faits sur LinuxFR.
Où est le rapport avec les linuxiens? C’est simple, les statistiques montrent que les linuxiens donnent le double des windowsiens (en français) et 15% de plus que les mac-users. Alors plutôt que de dire, comme les jaloux, que les linuxiens sont justes frustrés de ne pas avoir de jeux, on fera un raccourci très bon pour l’égo et dire que les linuxiens sont des braves types qui encouragent de si belles initiatives.
Cerise sur un gâteau déjà bien chargé, les développeurs ont annoncé qu’ils allaient rendre leurs jeux Open-source et libres GPL2 (pas de distribution commerciale), en remerciement à la masse de dons récoltés. Une heure à peine après la soumission, les premiers patchs arrivaient.
Les linuxiens sont décidément des gens formidables.
Toujours dans le domaine des jeux, le MEUHPORG Ryzom devient Open-source !
Un MMMOPRPG français, Ryzom, a annoncé le 6 mai dernier sa volonté de rendre open source la bagatelle de 2 millions de lignes de code, plus de 20 000 textures haute définition, et un gros millier de modèles 3D. Tout est sous licence CC BY-SA (sauf le code sous AGPL3 une licence libre adaptée aux applications internet).

L’intégralité du travail artistique est disponible dans le sous-domaine dédié. La partie code possède, elle, un wiki.
C’est bien évidemment un cadeau d’une très grande valeur pour toute la communauté que nous fait le développeur de Ryzom. La Free Software Foundation s’est même fendue d’un communiqué à cette occasion.
Encore dans les jeux vidéos, c’est au tour de STEAM de faire son coming-out !
Aujourd’hui même est sorti STEAM pour OSX. À cette occasion, le jeu Portal passe en gratuit pour une quinzaine de jours. Portal est d’ailleurs pour l’instant le seul jeu supporté et… ah non ! 63 jeux supplémentaires viennent d’apparaître !
STEAM commence donc bien à s’installer sous Mac mais cela ne lui suffit pas, bien au contraire !
En effet, Linux est la prochaine cible de Valve, et c’est pour bientôt. Il faut dire qu’une fois le barrage DirectX passé, faire un portage devient bien plus simple.
À ce rythme, même Windows va passer sous Linux.
Pour le Framablog, il est grand temps de faire une alternative libre à Facebook
Il fut une époque ou Facebook était utile aux professionnels pour être en relation. Il fut une époque ou Facebook fut colonisé par les jeunes, parce que ça permettait de partager les photos facilement.
Force est de constater que cette époque n’est plus.
Aujourd’hui Facebook est une entreprise. L’objectif n’est plus le partage mais le chiffre. Dans ces conditions, y-a-t-il encore une place pour la confiance? Pas sûr…
«Facebook a maintenant des méthodes de voyou… c’est le moment de lancer une alternative libre et ouverte», un article du Framablog.
Shotwell, un gestionnaire de photos alternatif
Vous connaissez certainement F-Spot, le gestionnaire de photos que l’on retrouve dans la majorité des distributions incluant Gnome. Les fonctionnalités présentes sont plutôt intéressantes mais l’interface est loin de faire l’unanimité.
Voici une alternative encore peu connue: Shotwell est un concurrent d’une extrême simplicité d’utilisation et plutôt prometteur. En tout cas l’équipe Fedora lui fait confiance et l’intégrera par défaut dans la version 13 (sortie prévue au mois de mai).

Il est dors et déjà disponible pour Ubuntu Karmic et Lucid. Cependant les utilisateurs de distributions plus conservatrices (comme Débian Stable) devront attendre: Shotwell utilise les dernières bibliothèques de Gnome (GTK+, Glib, Pango) qui ne sont pas incluses dans les dépôts, et incompatibles avec les versions des logiciels présents.
La compilation est donc déconseillée si vous ne savez pas exactement ce que vous faites.
Simple Scan et Gnome-scan, deux alternatives à XSane
XSane est un outil d’une très grande qualité. Très utilisé pour la numérisation, la pléthore d’outils disponibles est vraiment appréciable, mais malheureusement l’interface est —il faut l’avouer— d’une grande laideur et d’un manque d’intuitivité flagrant. Rien de rebutant pour les geeks, mais les distributions grand public sont en quête depuis quelque temps d’alternatives plus attrayantes.
Commençons par Simple-scan. On ne peut pas faire plus simple ! En effet, en quelques clics l’image est numérisée, par contre son avantage devient vite un inconvénient : on ne peut pas non plus faire grand chose. À noter que, comme Shotwell, il est prévu pour Fedora 13.
Gnome-scan fait partie -comme son nom l’indique- du projet Gnome. Il se situe entre XSane et Simple-Scan car il fournit à la fois une interface simple et rapide à prendre en main mais beaucoup d’options supplémentaires sont disponibles pour peu que l’on fouille dans les onglets. L’interface ressemble beaucoup à l’assistant d’impression de Gnome (cf capture d’écran).

Sortie de KDE SC 4.4.3
Mettez votre environnement de bureau à jour! KDE SC Sort une nouvelle mouture dédiée à la consolidation. Des portions entières du code ont été repensées et des fonctionnalités ont été débloquées par la résolution de leurs bugs.
On notera notamment:
- Okular qui peut visionner des ODT et les textes aux formats ebook
- Une stabilisation de la Konsole, maintenant complètement apte à gérer les sessions.
- Le support amélioré de la nouvelle version de Youtube par KHTML
- Et enfin une petite feature « inutile donc indispensable »: vous pouvez maintenant conserver vos volumineuses images de fond d’écran sous forme d’archives compressées. KDE se chargeant tout seul de la décompression.
Attention néanmoins lors de la mise à jour, certains plasmoides semblent moins stables…
Fin de la période de soumission de logos KDE
En début mars, KDE (la communauté donc, KDE SC étant le gestionnaire de Bureau), a annoncé vouloir se pourvoir de nouveaux logos, normalisés, à disposition des développeurs afin de se forger une image facilement identifiable pour les néophytes. Elle a donc lancé un appel à contribution autour de trois thèmes: « Powered by KDE » pour un produit issu de la communauté, « Built on the KDE platform« , assez explicite, et « Part of the KDE family » pour les logiciels n’utilisant pas forcément les outils KDE mais se considérant comme affiliés à KDE d’une façon ou d’une autre.
Dans la foulée, la communauté écrit un guide pour les distributions afin de faciliter l’intégration de KDE SC, et donc d’améliorer la stabilité (on pensera notamment à Kubuntu qui a une vision très personnelle de KDE SC)
Presque deux mois plus tard, en fin mai, cette période de soumission prend fin.

Vous pouvez voir l’intégralité des soumissions sur le wiki de la communauté pour vous préparer à choisir. En effet, en début juin commencera un grand vote dans lequel vous pourrez choisir les contributions que vos préférez. Soyez nombreux à participer!
Krusader souffle sa 10ème bougie
Krusader est un explorateur de fichier en deux colonnes, et un membre actif de la ligue Anti-Cliquodromes. Ainsi, son utilisation est pensée pour le clavier (les dissidents peuvent parfaitement utiliser la souris), l’utilisateur verra s’il s’agit d’un confort ou non, l’habitué dira qu’emacs fait déjà tout ça très bien mais qu’il continue de lire…
Du haut de ses 10ans, le projet accuse une certaine maturité, visible grâce à son support très complet. En effet, non content de supporter les connexions distantes (S/FTP, samba, mais aussi via SSH, SVN CVS et Git via plugin), il inclut aussi des fonctionnalités de terminal, d’historique, une visionneuse/éditrice de fichier (qui n’est limitée dans ses capacités que par le support de votre distribution), fonctionnalités de copie et de synchronisation, option Godmod (passer en super-utilisateur), calcul et comparaison de checksum pour la bonne intégrité de vos dossiers, et une pléthore d’autres fonctionnalités que vous pourrez découvrir sur leur site.
Les habitués d’Opéra apprécieront le support des « mouse gestures », ces mouvements très rapides de la souris qui permettent de guider notre logiciel au doigt et à l’oeil. Les amoureux de tuning se tourneront, eux, plutôt vers ses capacités ahurissantes de customisation.
Évidemment, il est difficile de faire tant d’éloges sans n’avoir jamais essayé. Votre serviteur s’en est chargé.
Tout d’abord, il faut savoir que Krusader a un look KDE3 de la belle époque (les icônes peuvent rendre nostalgiques certains), néanmoins il s’intègre très bien avec tous les thèmes.
Le second point marquant, c’est sa rapidité. En local ou en connexion distante, il est réellement très rapide. Pour ce qui est de la navigation à la souris, le système de menu déroulant fait ses preuves dès que l’on a pris ses marques.
Mais la killer feature suprême, l’ultime combo delamorkitu©®, c’est clairement l’utilisation du groupage de fenêtres de KDE 4.4 avec Krusader. Avoir un explorateur multifonction d’un coté et de l’autre un terminal, gVim ou xEmacs, cela en devient presque un cheat code (rappelez-vous que Krusader est parfaitement adapté la navigation au clavier).
C’est un véritable couteau suisse, plus complet encore que Konqueror, (qui l’eut cru ?). Malheureusement, ce dernier lui fait de l’ombre et Krusader est en manque de développeurs. Passer à Krusader permettra peut-être de lui donner le coup de pouce qui le fera revenir ? Vous savez ce qu’il vous reste à faire…
A l’occasion de son 10e anniversaire, leur site relate la complexe histoire de ce pas si petit logiciel. Très intéressant, mais en anglais.
KDevelop passe en quatrième
La dernière Gazette parlait de la sortie des dernières versions d’Anjuta et de Netbeans. C’est au tour de KDevelop de sortir sa toute dernière version, la 4e.
Pour mémoire, KDévelop 3 datait d’il y a 3 ans. Depuis le logiciel a été remanié en profondeur, notamment pour permettre une meilleure intégration de Kate (éditeur hexadécimal) et Okteta (visionneuse de fichier binaires).
Cet IDE complètement personnalisable est basé, à la manière d’Eclipse, sur un système de plug-in. Cependant, contrairement à Eclipse, l’éditeur mise sur une certaine simplicité et légèreté (relative).
La dépêche de LinuxFr étant très complète, pas besoin de revenir en détail dessus. A noter cependant que cet IDE utilise non pas une coloration syntaxique comme le dit la dépèche, mais sémantique. Pour ceux qui préfère l’anglais, vous trouverez la news adéquate sur news.kde.org.
Et en bref:
Sorties du côté des distributions:
Brèves de comptoir (appeaux à trolls) :
- Fedora 14 se nommera Laughing… pardon Laughlin
- Canonical «réinvente le desktop» en agrandissant et en bougeant les icônes sous Gnome et appelle ça « Unity ». Ça sent la formation marketing Apple ça…
- Snapshot.debian.org vient d’ouvrir… Parce que l’immobilisme n’est pas suffisant, revenir en arrière c’est mieux.
- Firefox 4 prévu pour 2010 avant les fêtes.«fast, powerful, enpowering» mais toujours rien sur la consommation mémoire…
- «Dotclear, quand même, c’est du boulot» entend-on sur le blog officiel. Ah bah oui, tout se perd ma bonne dame! On cherche des testeurs et des rapporteurs de bug.
C’est un peu une tradition, avec chaque version d’Ubuntu, son livre «Simple comme Ubuntu». Le dernier est sorti, rendez-vous sur framabook pour le commander ou pour le télécharger légalement.
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Plonger dans l’univers du poker en ligne, un véritable phénomène de société et une industrie en pleine ascension, avec une sélection de sites à consulter.
Le poker doit sa popularité à certaines chaînes de télévision spécialisées qui diffusent depuis quelques années des émissions d’initiation au poker, mais aussi des publicités qui font la promotion des tournois internationaux dans lesquels le vainqueur peut empocher des millions de dollars. Résultat: une augmentation spectaculaire du nombre de joueurs à travers le monde.
Le poker en ligne connaît, lui aussi, une forte croissance, de 30 % par an au Canada. Le chiffre d’affaires annuel du secteur est ainsi passé de 184 millions à 675 millions de dollars entre 2003 et 2008. Loto-Québec a bien identifié le potentiel de ce marché et lancera, à l’automne, son propre site de poker en ligne. La société d’État cible une clientèle plus jeune et souhaite faire concurrence aux quelques 2000 sites de poker déjà accessibles sur le web.
Les avantages de jouer en ligne au poker
La plupart des sites de poker en ligne permettent de jouer de l’argent factice, dans un mode d’entraînement. Mais l’objectif ultime demeure de jouer de l’argent réel, contre d’autres joueurs partageant la même passion. Les Texas Hold’em, Omaha, Stud, 5 Card Draw et leurs variantes y sont les plus populaires.
Comme pour toute transaction effectuée à partir du web, il n’y a aucune contrainte d’horaire avec le jeu en ligne. Par conséquent, chaque joueur se sent libre de ses choix. Il peut même jouer à plusieurs tables simultanément pour maximiser son rendement, et se mesurer à un nombre infini d’adversaires situés aux quatre coins du globe.
L’autre attrait du poker en ligne est d’obtenir des bonis ou des points cadeaux qui sont offerts, selon les cas, aux clients réguliers ou aux nouveaux adhérents. Ces récompenses sont soumises à certaines conditions et fonctionnent selon le principe du «plus tu joues, plus tu gagnes de primes».
Fiabilité, transparence et sécurité
Pour devenir membre d’un site de poker en ligne, tout utilisateur doit d’abord s’inscrire en remplissant un formulaire où il partage quelques données personnelles. Le dépôt d’argent en ligne peut se faire de différentes manières. Le moyen le plus utilisé est la carte de crédit. D’autres moyens de paiement, tels que Moneybookers, Neteller, Click2Pay ou Paypal, peuvent parfois servir pour les dépôts.
Il n’y a pas de recette miracle pour s’assurer de la fiabilité d’un site web de jeu de hasard en ligne. Pour montrer leur sérieux, certains sites affichent qu’une firme comptable les a vérifiés durant l’année en cours. Les forums de discussions peuvent aussi aider à se faire une idée sur la fiabilité d’un site. Malheureusement, il ne semble exister aucun organisme de réglementation pour valider l’honnêteté de ce type de divertissement, d’où les avantages éventuels d’un service de Loto-Québec dans ce domaine.
Voici dix sites de poker en ligne pour en savoir plus et, si vous le souhaitez, tenter votre chance. Les cinq premiers sont, selon la firme de mesure indépendante comScore, les sites de poker qui ont été les plus fréquentés par les Québécois en mars 2010, classés par ordre décroissant du nombre de visiteurs.)
1) Pokerstars
Pokerstars doit la première place de ce palmarès à son application logicielle et à plusieurs sites qu’il intègre, dont Pokerstars.net, Pokerstarsblog.com, Testpokerstars.com. Le site principal est proposé en plusieurs langues et la page d’accueil fait mention du nombre de joueurs actuellement en action. À l’heure d’écrire ces lignes, apparemment, pas moins de 146 125 joueurs s’affrontaient dans un impressionnant total de 5183 tournois. Contrairement à certains sites concurrents, l’utilisateur peut y lire aisément, dans les pages présentant la philosophie de l’entreprise, les règles concernant la fraude, des avertissements sur la connivence entre les joueurs et le jeu responsable.
2) Poker770.com
Poker770 fait partie des casinos importants et réputés du web. Le site offre tous les jeux classiques ainsi qu’un choix de jeux de casino, tels que le Black Jack et la Roulette. Un blogue est aussi disponible.
3) Pokernews.com
Ce site se veut la bible de l’information en ligne sur le poker. PokerNews propose des articles quotidiens sur le jeu, les joueurs célèbres et les tournois. Le visiteur y découvrira une communauté de joueurs très actifs, des vidéos exclusifs, une sélection des meilleures salles de poker en ligne et un recueil des meilleurs bonis à obtenir. PokerNews propose aussi un répertoire des règles de poker, de même que la hiérarchie des combinaisons de cartes et classement des mains.
4) Pokerlistings.com
Ce site est un répertoire de tout ce qui peut toucher le poker. On y trouve notamment des analyses complètes sur d’autres sites de poker existants, des stratégies de jeu, des promotions, de l’information sur les tournois et près de 1000 liens disponibles.
5) Pokerstars.tv
C’est le site à connaître pour regarder des émissions de télévision consacrées au poker. Pokerstars.tv offre une couverture télévisée des plus grands tournois internationaux, en 7 langues différentes, et enrichie d’analyses par des experts. Gratuit, le site n’est disponible qu’en anglais pour l’instant.
Cinq autres sites de poker intéressants
6) Everest Poker
Ce site se présente comme la première destination de poker à offrir un logiciel traduit en 15 langues. Les tables pour débutants sont accessibles aux nouveaux joueurs pendant leurs 90 premiers jours chez Everest Poker. Une fois le délai expiré, ces tables n’apparaîtront plus dans la liste disponible des tables de jeu.
7) Titan Poker
Titan Poker est l’un des chefs de file de l’industrie en ligne; ses salles de jeux virtuelles sont supervisées par un service à la clientèle de bonne réputation. Le développement et la maintenance du logiciel Titan Poker sont assurés par la société Playtech, leader des logiciels de jeux en ligne. Le visiteur peut y jouer sur 16 tables simultanément. Si la résolution de son écran le permet, il peut redimensionner son écran en plus petit pour y visualiser toutes ses tables actives.
8) Crazy Poker
9) Pacific Poker
10) Full Tilt Poker
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Un simple ordinateur portable, un véhicule récent et surtout une bonne dose de travail, c’est tout ce qu’il aura fallu à une équipe de chercheurs américains des universités de Californie et Washington pour prendre le contrôle des fonctions critiques – et moins critiques – de l’automobile. Leur rapport sera annoncé à l’occasion d’une conférence la semaine prochaine aux Etats-Unis, mais le document est dores et déjà téléchargeable au format PDF sur leur site.
Les résultats obtenus par l’équipe laissent songeur : à l’aide d’un outil développé sur mesure baptisé CarShark, ils sont notamment parvenus à neutraliser les freins du véhicule en cours de fonctionnement ou encore à couper le moteur et verrouiller les portières après avoir affiché un décompte sur le tableau de bord.
D’une lecture passionnante, le document qu’ils publient détaille notamment le système informatique des véhicules les plus récents. Ils y expliquent que celui-ci est basé sur un ou plusieurs bus de communication génériques et non sur un câblage ad-hoc qui serait moins « scalable« .
De fait toutes les fonctions automatisées du véhicule sont donc accessibles en se connectant à un simple bus. Ce dernier, le plus souvent au format Controller Area Network (CAN) ou FlexRay, est basé non pas sur un adressage direct mais sur la notion de diffusion (publish-and-subscribe : tous les paquets sont envoyés à tous les noeuds et chacun décide si la requête diffusée le concerne ou pas). A ce stade, tous nos lecteurs qui ont déjà joué avec ARP commencent probablement à entrevoir un bout du problème…
Mieux (ou pire…), les paquets CAN n’offrent ni identifiant ni mention de la source. Il est alors impossible de les filtrer et n’importe qui peut donc injecter n’importe quoi sur le bus, à destination de n’importe quel composant.
Pour autant, l’accès à l’unité de contrôle électronique (ECU) est censé être protégé. Les chercheurs expliquent qu’un système d’authentification mutuelle est mis en oeuvre pour cela par le fabriquant. Mais ils reconnaissent aussi que non seulement la plupart des clés sont déjà connues des amateurs de tuning automobile (elles sont nécessairement accessibles aux techniciens des centres de maintenance), mais surtout qu’elles peuvent être « brute forcées » en une semaine et demi, voire trois jours et demi si la puce visée peut être retirée et attaquée en laboratoire. Pour le reste, un câble CAN-to-USB, en vente libre, fera l’affaire.
Pour ajouter à un tableau déjà bien chargé, les chercheurs ont également découvert que les implémentations actuelles du standard ECU prennent à l’occasion certaines libertés avec la norme. Il est ainsi censé être impossible de re-flasher la mémoire ou d’éteindre le système alors que le véhicule roule, et les clés d’authentification mutuelle doivent être différentes même sur des composants identiques. Mais rien de cela n’est implémenté dans le modèle testé (dont les chercheurs ne révèlent pas la marque mais publient une photo)
Le contrôle obtenu sur ce véhicule de test par les chercheurs est impressionnant. Tout y passe : maîtrise du panneau des instruments (afficher n’importe quelle vitesse, n’importe quelle quantité de carburant restant, etc…), de la radio (monter le volume à fond sans possibilité pour le conducteur de le baisser ou d’éteindre la radio), des portières (verrouillage automatique sans possibilité de les rouvrir, destruction du système de verrouillage par usage répété), du moteur (arrêt, emballement, etc…), des freins (activation, désactivation), de la climatisation et de nombreuses autres fonctions (balais essuie-glace, ouverture du coffre, lumières intérieures…). Cerise sur le gâteau : la plupart de ces attaques n’ont demandé qu’entre 100 et 200 lignes de code.
Si la publication de ce travail de recherche fera probablement grand bruit, elle ne surprendra pas certains spécialistes. Ainsi lors de notre visite récente aux fonctionnaires de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale, l’un des militaires nous confiait déjà avoir travaillé sur un cas de sabotage de la puce électronique en charge du freinage sur une berline moderne, qui avait été modifiée dans le but de provoquer un accident.
Les plus paranoïaques imagineront probablement que certaines agences gouvernementales ont du étudier les bus CAN, FlexRay et autres ECU depuis un moment déjà.
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Facebook défraie actuellement la chronique concernant la gestion de la vie privée de ses utilisateurs et ses tentatives plus ou moins heureuses pour contrer ses détracteurs à ce sujet. Les responsables du site se sont d’ailleurs réunis une nouvelle fois hier pour une « réunion informelle » qui, si elle n’a pas été détaillée par Facebook, a probablement porté sur les problèmes de confidentialité du réseau social, qui subit actuellement une fuite massive de ses utilisateurs, mais aussi des fuites de données…
Aujourd’hui, de nouveaux paramètres de sécurité ont fait leur apparition dans les réglages du site, censés empêcher les tentatives d’intrusions sur les pages des utilisateurs : les membres ont la possibilité de lister en détails les ordinateurs et autres téléphones mobiles qu’ils utilisent pour se connecter à Facebook. Si ce dernier détecte une connexion venant d’un autre appareil, il bloque l’accès et averti l’utilisateur par SMS ou email.
Une sécurité que certains jugeront utile, mais qui allonge un peu plus la liste des réglages auxquels doit se plier le membre désireux de « sécuriser » son compte. A l’heure actuelle, Facebook propose plus de 50 paramètres de réglage de la confidentialité d’un compte utilisateur, rassemblant plus de 170 options.
Des chiffres colossaux, que le New York Times a dernièrement illustrés d’une façon non moins effrayante, et qui donne une idée très imagée du parcours du combattant qui attend l’adepte du réseau social en quête de contrôle de son identité numérique.
Entre les pages, les sous-catégories et les options de réglage de la confidentialité, apparaît donc comme particulièrement complexe pour l’utilisateur lambda de s’y retrouver. L’affichage des publicités, par exemple, se paramètre dans une page totalement à part du reste des options, tandis que chaque album photo doit être configuré indépendamment des autres. Il ne faut pas non plus oublier de gérer les autorisations de partage avec les « amis », sans quoi ces derniers pourraient continuer à diffuser certaines informations bloquées par ailleurs.
Mais le New York Times ne s’arrête pas là et épingle également la page de la « Politique de respect de la vie privée de Facebook », qui a considérablement gonflée ces 5 dernières années, passant de 1004 mots en 2005 à 5830 mots en 2010. « La politique de respect de la vie privée de Facebook fait 5820 mots ; la Constitution américaine, sans ses amendements, en fait 4543 » ironise le journal. La Foire aux Questions du réseau social se compose quant à elle de 45 000 mots.
En somme, si Facebook est actuellement au cœur d’un débat mondial concernant la diffusion des informations sur Internet, le site offre néanmoins une quantité non négligeable de paramètres à gérer à l’utilisateur… Probablement trop, d’ailleurs : on comprend mieux la propension actuelle de certains membres à délaisser le réseau, vraisemblablement pour ne pas prendre de risque en divulguant leur vie privée, certes, mais sans doute aussi pour éviter un magistral mal de crâne.
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Après avoir été saisi, le Conseil constitutionnel donne son feu vert à la loi relative à l’ouverture à la concurrence et à la régulation du secteur des jeux d’argent et de hasard en ligne.
Suite à son adoption définitive par le Parlement au début du mois d’avril, le Parti socialiste avait déposé un recours auprès du Conseil constitutionnel afin de s’opposer à la loi sur la libérisation des jeux en ligne.
Ce recours a été refusé, indique aujourd’hui le Conseil constitutionnel dans un communiqué et la loi pourra donc a priori entrer en vigueur avant le début de la prochaine Coupe du Monde de football comme souhaité par le gouvernement.
Cette loi a pour dispositif central l’Autorité de Régulation des Jeux en Ligne ( ARJEL ) qui sera chargée d’attribuer un agrément de cinq ans pour les offres en ligne de paris sportifs, hippiques, de poker. Pour les sites qui œuvreront sans ledit agrément et donc dans l’illégalité en France, un dispositif de blocage sera appliqué ( par le FAI ) après saisie du président du tribunal de grande instance de Paris, ainsi que la fin de leur référencement par les moteurs de recherche. Les sanctions pourront aller jusqu’à 3 ans de prison et 45 000 euros d’amende.
Dans sa décision et alors que tous les griefs ont été rejetés, le Conseil constitutionnel a toutefois indiqué qu’il ne lui appartenait pas d’examiner » la compatibilité d’une loi aux engagements internationaux et européens de la France « .
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La Coupe du monde de football 2010, organisée par la Fifa, démarre le 11 juin prochain. TF1, l’un des diffuseurs en France de l’événement avec France 2 et Canal+, a inauguré ce 11 mai un site Internet spécial en commun avec sa filiale Eurosport.
Dès ce soir, le site permettra à ceux qui ne sont pas devant leur poste de télévision de suivre l’annonce en direct de la liste des 23 joueurs sélectionnés pour le tournoi. Raymond Domenech est invité au 20 Heures de TF1 pour la dévoiler.
Pendant la compétition, les internautes pourront suivre en direct sur Internet les 27 matchs diffusés par TF1 (disponibles aussi sur TF1.fr). Le player intégré sera doté d’une fonction de contrôle du direct, comme sur les boîtiers télé avec disque dur des FAI.
Sur iPhone aussi
Les 64 matchs du Mondial seront, eux, tous accessibles en catch-up TV, télévision de rattrapage, pendant toute sa durée. Les mordus du ballon rond ne rateront donc aucun match. Les abonnés de Bouygues Telecom et d’Orange pourront même les suivre à loisir sur leur téléviseur, puisque le portail MyTF1 proposera également les 64 matchs en rattrapage.
Quant aux possesseurs d’iPhone, ils pourront suivre l’événement sur leur terminal, grâce à une application vendue 3,99 euros.
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