Hettange-Grande / Sœtrich

L’eldorado des amateurs de logiciels, de séries et de films piratés serait-il victime de son succès ? Car avec la fermeture de Megaupload et les menaces grandissantes liées à l’utilisation de réseaux de p2p, nombreux sont les utilisateurs qui se sont tournés du côté du réseau Usenet et de ses newsgroups. Réputé pour son anonymat, sa disponibilité et sa fiabilité, Usenet vient de se trouver un nouvel adversaire, qui efface les fichiers aussitôt ceux-ci mis (illégalement) à disposition des internautes…

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Lire l’article complet à la source: http://www.tomsguide.fr

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La résistance s’organise

Ce n’est bien évidemment que le début. Si les ayants droit étendent leur action, les uploadeurs vont finir par se lasser de charger plusieurs Go de données à chaque fois… pour rien. Et à terme, les newsgroups risquent fort de se vider. Néanmoins, certains pirates commencent à trouver une parade : une dénomination basée sur un ID par exemple (plutôt que d’utiliser le nom d’un film par exemple, ils ont recours à son référent sur IMDB ou autre, une pratique qui avait lieu déjà il y a quelques années). Autre parade : ils utilisent une succession de gros volumes de réparation, qui permettent de reconstituer un film intégralement, sans pour autant uploader le film en question. Bref, les pirates n’ont pas dit leur dernier mot, mais ils ont fort à faire, cette fois.

L’Arcep a autorisé l’expérimentation de la technologie « super wifi » en Seine-Maritime pour l’accès à Internet en zone rurale. Cette technique consiste à exploiter, pour transporter des données, les canaux non-occupés par les bandes de fréquences UHF (490-790 MHz) destinées en France à la TNT (télévision numérique).

Le bénéficiaire de cette autorisation, l’opérateur Infosat Télécom, testera l’accès sans fil à Internet dans des zones rurales, mal desservies par des réseaux classiques filaires ADSL. L’autorisation est accordée pour un an et porte sur l’utilisation des fréquences 580-598 MHz.

Lire la suite à la source: http://www.01net.com

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Une mise à jour est dès maintenant disponible pour les boîtiers Freebox Player (v6) Elle apporte comme promis le support du PIP (picture in picture) et rétablit le fonctionnement du HDMI CEC. Cette mise à jour comporte également d’autres corrections.

Nouvelles fonctionnalités :
Ajout d’une rubrique PiP dans l’univers Télévision permettant de contrôler l’affichage du PiP sur une chaîne, cette fonctionnalité est accessible depuis la touche Menu (verte) de la télécommande, rubrique Picture in Picture
Le contrôle de volume par HDMI-CEC supporte maintenant les téléviseurs et amplificateurs audio (#10375, #10352, #10495).
La fonction HDMI CEC est maintenant stable, en cas de problème spécifique avec un équipement, vous pouvez ouvrir un ticket.
Ajout d’une page affichant les débits et autres informations sur les Freeplug
Déplacement dans l’interface à l’aide d’un gamepad (#5006)

NB : Reportez-vous au manuel de votre téléviseur pour vérifier sa compatibilité avec le HDMI CEC. Peu de téléviseurs supportent la fonction de contrôle de volume par CEC. Les téléviseurs LG équipés de la fonctionnalité LG Simplink que nous avons testés ne sont pas compatibles avec le standard HDMI CEC.

Améliorations :

  HDMI CEC
La touche AV est maintenant utilisée pour permettre de basculer vers l’entrée HDMI à laquelle est connecté le Freebox Player (#5535, #10796)
il existe un réglage pour choisir d’éteindre ou non le Freebox Player par HDMI CEC (#10819)
Une page dans Réglages -> Affichage -> Réglages HDMI CEC -> Liste des équipements HDMI CEC raccordés affiche maintenant la liste des périphériques HDMI CEC détectés par le Freebox Player
– Navigateur web :
Ajout d’une page de réglages permettant d’effacer les signets
– Divers :
Ajout d’une page affichant les débits et autres informations sur les Freeplug

  Corrections :
HDMI CEC
Messages intempestifs relatifs au HDMI-CEC (#10569)
HDMI CEC non fonctionnel (#10427, #10301, #10331, #10375, #10421, #10429, #10569, #10590, #10429, #10721, #10590, #10368)

  Lecteur multimédia :
Retour au menu principal intempestif à la lecture d’un fichier (#10879, #10601, #10491, #10561, #10761)
Correction des crashs occasionnels de l’explorateur de fichiers

  Interface télévision :
La touche « Free » de la télécommande ne répond plus (#10774)
Vérification de la validité des marges d’enregistrement (#10609)

  Divers :
le lancement de l’explorateur de CD audio est automatique lorsque l’option Lecteur automatique est cochée (#10598)
Touches menu et Guide non assignées sur les télécommandes IR (#10581)
Ventilateur fonctionnant en veille (#10320)

Source: http://www.universfreebox.com

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Lire la news sur: http://www.pcinpact.com

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Voir aussi:——–>     Le PS propose la fin d’Hadopi

Free vient d’indiquer qu’une mise à jour était disponible pour le boîtier Player de la Freebox Révolution. Au programme de cette mouture 1.2.1, de nombreuses corrections de bugs et l’amélioration du système de marge lors d’un enregistrement.

Comme toujours, pour en profiter, il vous suffit de redémarrer le boîtier via les options. Pour les détails, voici la note de version détaillée par les équipes de développement :

Corrections

• Rotation permanente du lecteur Blu-Ray (#10401)
• Accès aux disques uPnP (#10298, #10289)
• Blocage sur ‘Lecture de la version du firmware’ (#10347, #10518)
• Contrôle parental sur les Blu-Ray/DVD (#7170, #9235, #9711, #10131)
• Support de l’AC3 dans certains fichiers AVI (#10266)
• Possible blocage du menu dans l’interface TV (#10345)
• Affichage du paramètre DRC incorrect (#10455)
• Activité du ventilateur en veille (#10415, #10320)
• Compatibilité avec les télécommandes universelles (#10288)
• Mode muet inactif en passthrough (#10517)
• Support du Logitech Unifying Receiver (#10296)
• Sélection du France3 local (#10514, #10481)
• Réactivité de la télécommande radio (#10422, #10319, #10291)

Améliorations

• Possibilité de définir des marges autour des enregistrements (#5767)

Source: http://www.pcinpact.com

Appelé à voter en séance plénière l’accord anti-contrefaçon, le Parlement européen vient de rejeter ACTA, par 478 voix contre 39, et 169 abstentions. Cette opposition massive signifie la mort du traité, au moins en ce qui concerne l’Union européenne.

Le vote d’ACTA a été précédé d’une demande de renvoi en commission parlementaire, dernière carte du Parti populaire européen (groupe majoritaire au Parlement) pour tenter d’échapper au grand rendez-vous démocratique du traité. Les eurodéputés ont cependant refusé ce renvoi, par 420 voix contre, 255 pour, et 9 abstentions.

Les dernières tentatives pour repousser le vote d’ACTA n’ont ainsi rien changé : le traité a été rejeté par les parlementaires européens peu avant 13 heures. L’accord commercial se trouve de ce fait enterré par le Parlement, quand bien même la CJUE reste saisie.

Selon les premiers détails du vote, on peut prendre connaissance des élus s’étant prononcés pour, contre, ou s’étant abstenus. Parmi les eurodéputés français ayant approuvé ACTA, on retrouve notamment : Rachida Dati, Brice Hortefeux, Marielle Gallo (laquelle nous avait récemment donné une interview), Frank Proust, Agnès Le Brun… Ces derniers sont tous membres de l’UMP et du groupe majoritaire au Parlement, le PPE.

À noter que les Le Pen (Marine et Jean-Marie), ont voté contre ACTA, de même que Bruno Gollnisch, lui aussi du Front National. On remarque enfin qu’un seule eurodéputée appartenant au groupe S&D a voté en faveur d’ACTA, la portugaise Vital Moreira.

L’eurodéputé s’est félicité que déjà hier, la Commission européenne ait  reconnu que le texte souffrait de lacunes sur le rôle des FAI ou la définition de l’échelle commerciale, laquelle définit le périmètre d’ATCA. Aujourd’hui, après le rejet massif, « la question qui se pose : et maintenant ? La Commission pense qu’il faut toujours présenter le texte devant la Cour de Justice. Je pense qu’il faut surtout le classer ! » réagit le député. « Si on devait nous présenter le même traité, ce serait anticonstitutionnel et en tout cas contestable démocratiquement. »

Une solution alternative serait donc qu’ACTA soit modifié. D’ores et déjà, Martin recommande à la Commission européenne de la prudence : il faut dissocier les biens physiques des biens virtuels, et déterminer « comment équilibrer le droits des créateurs de recueillir les fruits de leur créativité sur le net tout en protégeant les libertés ». S’il reconnaît ne pas avoir de solution, Martin est certain : le vote d’aujourd’hui montre combien il est important de ne pas passer outre le point de vue du Parlement mais également des citoyens.

Un débat public aurait évité les erreurs

L’élu a évoqué le mouvement citoyen qui s’est manifesté lors des débats ACTA. « C’est quelque chose qu’on ne doit pas ignorer ». Par contraste, l’eurodéputé reprochera encore et toujours à la Commission d’avoir négocié dans l’ombre, « derrière des portes closes alors qu’elle aurait pu éviter les erreurs avec un débat public ». Pour la question des biens physiques, Martin estime que des solutions peuvent être trouvées rapidement pour lutter contre des médicaments ou des cigarettes contrefaisantes. « Nous n’avons pas besoin d’un traité, juste une meilleure collaboration coopération douanière et peut être une meilleure formation des douaniers afin de les aider à distinguer le vrai des faux ». Pour les biens virtuels, « Internet ne doit pas être géré comme un monde physique » répètera-t-il.

En attendant, ACTA peut survivre dans les pays qui l’ont ratifié. Il y a onze signataires, « mais il suffit d’en avoir six pour que le traité entre en vigueur. Si on arrive à ce chiffre, je suppose que l’approche de la Commission sera de recourir à l’article 42 de l’accord avec les signataires afin d’apporter une clarification des éléments du texte ». Mais nous n’en sommes pas encore là. Selon Martin, le parlement australien devrait déjà rejeter le traité. « Ils vont nous suivre » assure David Martin.

La suite de l’article à la source sur pcinpact.com: 1 et 2