Archives pour janvier, 2011
publication de WordPress, a publié les résultats d’une analyse mettant en avant le contenu douteux de certains répertoires de thèmes.

L’un des avantages de la plateforme WordPress réside véritablement dans sa flexibilité et son écosystème. Du blog personnel au média professionnel, une multitude d’extensions et de thèmes sont mis à disposition de la communauté. C’est véritablement la nature open source de WordPress et l’éventail des chartes graphiques différentes répondant aux besoins de chacun qui ont contribué au succès du CMS. Il semblerait cependant que son l’éditeur Automattic soit victime de sa popularité. En effet, au travers d’une requête de type « Free WordPress Themes » , permettant trouver une sélection de thèmes graphiques gratuits, le moteur de Google retourne des sites dont le contenu reste très suspect.
A l’heure où nous écrivons ces lignes, sur la première page de résultats nous trouvons des liens vers wordpressthemesbase.com, freewordpressthemes.com, themes2wp.com, freewpthemes.net et autres répertoires indépendants. Après avoir téléchargé quelques exemplaires des thèmes proposés la blogueuse Siobhan Ambrose a découvert à plusieurs reprises des portions de codes, la plupart étant encodées en Base64.
Le site wordpressthemesbase.com héberge par exemple le thème baptisé PRiNZ BranfordMagazine . Après avoir décodé la portion de code dissimulée à l’aide de ce service, l’on découvre la présence d’un lien au niveau du pied de page pointant vers le téléchargement d’ « un antivirus gratuit ». Toujours parmi les premiers résultats de Google, le site freewordpressthemes.com invite l’internaute à essayer le thème BeautyStore révélant également en pied de page plusieurs portions de code chiffrées en Base64. Sur le site themes2wp.com, le modèle Gameliso contient pour sa part cinq liens statiques dissimulés via la feuille de style. Si ces derniers ne sont pas visibles aux utilisateurs, il seront tout de même repérés par les moteurs de recherche scannant le code HTML des blogs utilisant ce gabarit. Les sites obtiendront alors davantage de poids dans le processus d’indexation.
Sur la version anglaise du moteur de recherche de Google, 8 des 10 premiers résultats de la requête initiale pointent vers des répertoires hébergeant ce type de thèmes. Pour de plus amples informations et un détails de l’analyse du code chiffré rendez-vous ici (anglais).
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La Freebox Révolution pourrait bien ne pas échapper à la rémunération pour copie privée suite à une délibération interprétative de la commission qui détermine les types de supports assujettis et les montants.
Pour Free, il n’a pas à s’acquitter des 35 € normalement dus pour le disque dur de 250 Go de sa Freebox Révolution. Cet espace de stockage est intégré dans le Freebox Server ( et non le Freebox Player ), autrement dit un équipement NAS. Hors, de tels équipements ne sont pas assujettisables s’ils peuvent fonctionner simultanément avec au moins trois systèmes d’exploitation.
La Commission de la rémunération pour copie privée vient cependant de rendre une délibération interprétative qui risque de compliquer le point de vue de Free. Elle précise ainsi que ce non-assujettissement ne vaut pas pour les » supports de stockage externes de salon de type NAS destinés à être posés sur un meuble « .
A priori, cette précision devrait aboutir à la taxation pour copie privée de la Freebox Révolution. On imagine toutefois que Free saura faire jouer une autre interprétation. Le cas échéant, l’affaire pourrait se régler devant les tribunaux, comme l’avait laissé entendre un responsable de la SCPP.
Actualité publiée le 22 décembre 2010 :
Lorsque SFR a présenté sa Neufbox Evolution, l’opérateur a précisé que le disque dur intégré d’une capacité de 250 Go serait bridé à 40 Go dans le cadre de l’offre, sauf paiement de 15 € par palier de 80 Go ( les derniers 50 Go étant réservés pour des mises à jour ). La raison de cet exercice de style imposé : la fameuse rémunération pour copie privée. Pour son offre Freebox Révolution, Free estime toutefois que cette règle du jeu ne vaut pas. Décidément, une offre qui n’a pas fini de faire parler d’elle.
En dépit du disque dur de 250 Go de sa Freebox Révolution, Free considère qu’il n’a pas à s’acquitter des 35 € normalement dus pour un tel espace de stockage. Pour Free, sa box est en effet un serveur NAS, hors ces systèmes de stockage ne sont pas assujettissables dans la mesure où ils peuvent » fonctionner simultanément avec au moins trois systèmes d’exploitation « . C’est sur cette disposition que Free s’appuie, indiquant selon une information de Les Echos que la Freebox Revolution » fonctionne sous tous les systèmes d’exploitation « , et donc forcément plus de trois.
Rappelons par ailleurs la Freebox Révolution est composée de deux boîtiers : Freebox Server pour la partie réseau et Freebox Player pour la partie télévision. Le disque dur de 250 Go est intégré non pas à la Freebox Player mais à la Freebox Server qui possède la fonctionnalité de serveur NAS.
Si Free reverse bel et bien une contribution pour copie privée avec sa Freebox TV d’ancienne génération ( disque dur de 40 Go ), pas question visiblement de faire de même pour la Freebox Révolution. De quoi susciter la colère de l’un des responsables de la Société Civile des Producteurs Phonographiques qui a déclaré : » Free doit payer. Sinon, ça se terminera au tribunal. »
Selon Les Echos, le coût de production d’une Freebox Révolution est de plus de 300 euros.
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Commentaires fermés sur Freebox Révolution : menace de taxe pour copie privée?
Il y a quelque jours, Free confiait à UniversFreebox que « des tutoriels seront accessibles dès la semaine prochaine » pour accompagner le lancement de la nouvelle Freebox Révolution. Et bien, c’est chose faite ! Depuis quelques instants, le site de l’assistance des abonnés arbore de nombreux renseignements et explications pour utiliser simplement l’interface TV et les fonctionnalités de la Freebox V6 Révolution (utilisation du lecteur Blu-Ray, du navigateur internet, etc). Les nouvelles fiches sont reparties dans dix rubriques :
- Rubrique « Prise en main et présentation de l’interface TV Révolution »,
- Rubrique « Télévision » : Freebox TV, TNT, Mes Enregistrements, Bouquet Canal+,
- Rubrique « Vidéos » : Freebox Replay, Mes vidéos, Vidéos à la demande, etc,
- Rubrique « Musiques » : Les radios et Mes Musiques,
- Rubrique « Blu-Ray » : Lire le disque, éjecter le disque,
- Rubrique « Disques » : Accéder au menu Mes Disques,
- Rubrique « Photos » : Accéder au menu Mes Photos,
- Rubrique « Applications » : Accéder au menu Mes Applications,
- Rubrique « Web » : Navigateur Internet, Mail Free, Télésites,
- Et Rubrique « Réglages » : Affichage, audio, télécommande, gérer mon compte, etc.
Bien entendu, si vous suivez l’actualité des sites communautaires, vous ne trouverez rien de très croustillant. Cependant, d’autres « fiches détaillées devraient apparaître sur le portail de l’assistance, au fur et à mesure » nous assure Free.
Freebox Révolution : Guides d’installation rapide
Ce n’est pas tout. Dans la colonne droite du site de l’assistance des Freenautes, Free met à disposition des abonnés, trois nouveaux guides d’installation rapide pour la Freebox Révolution et les Freeplugs. Vous souhaitez en savoir plus sur la fonction des boutons de la nouvelle télécommande ou résoudre les problèmes les plus courants ? Redémarrer les boitiers Player et Server ou associer les Freeplugs ? En savoir plus sur les connectiques et les caractéristiques techniques des deux boitiers ? Tout est dans le guide… Enfin, les guides (distribués également dans les packs Freebox Révolution).
Commentaires fermés sur Guides et nouvelles fiches pour la Freebox Révolution
Commentaires fermés sur 12/01/2011 Bulletin hebdomadaire de surveillance de la grippe saisonnière.
En proie à des lenteurs importantes avec des sites comme MegaUpload, les abonnés Orange ont depuis hier la joie de voir apparaître un message très explicite du fameux site de téléchargement. Ce dernier explique ainsi la situation et les rapports entre Orange et les fournisseurs de transit Cogent et Tata.
Capture envoyée par plusieurs INpactiens à la rédaction de PC INpact
Mieux encore, MegaUpload incite les abonnés touchés par ces lenteurs abominables de contacter le service client d’Orange, voire tout bonnement de changer d’opérateur et d’aller voir du côté de SFR, Free ou Alice, qui n’ont pas ces problèmes de débits (sauf parfois à certaines heures bien précises, le soir en général).
Pour rappel, depuis plusieurs années maintenant, les Orangenautes ont d’énormes problèmes de connexion avec certains sites, et en particulier avec YouTube, MegaUpload et Megavideo. S’il y a eu quelques améliorations du côté de YouTube, ce n’est néanmoins pas le cas concernant MegaUpload et MegaVideo.
Or ce dernier, notamment avec la migration impliquée par Hadopi, connaît une croissance importante depuis quelques mois. Sachant que les abonnés Orange représentent quasiment la moitié des abonnés en France, la situation actuelle est donc une perte énorme en visiteurs (et en euros…) pour MegaUpload. D’autant que la France n’est pas le seul pays concerné, les abonnés espagnols chez Orange subissant les mêmes tracas.
Nous attendons une réaction officielle de la part d’Orange.
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Un commentaire »
Nous rapportions hier une étude menée par MarkMonitor, une société chargée de défendre les grandes marques à travers le monde. Ce rapport mettait en évidence la part des sites de téléchargements directs, tels que Rapidshare ou MegaUpload, dans le piratage. Suite à la publication du document ces derniers ne sont pas restés sans voix.
Si la semaine dernière la cour de Düsseldorf a tranché en faveur de Rapidshare dans l’affaire opposant le site à la société Atari, la RIAA et la MPAA, représentant respectivement les intérêts des maisons de disques et des studios aux Etats-Unis, continuent de les pointer du doigt. Ainsi Bob Pisano, président de la MPAA, déclarait hier : « les recherches de MarkMonitor sur le piratage en ligne et la contrefaçon sont un appel aux armes dirigé vers le gouvernement et le secteur privé ». Les analystes de MarkMonitor expliquaient que le trafic vers les sites rapidshare.com, megavideo.com et megaupload.com totalisait 21 milliards de visites par an dont 11,8 milliards pour Rapidshare.
Le blog TorrentFreak rapporte de son côté les propos de Rapidshare face à ces menaces : « cette diffamation de Rapidshare en tant que site de piratage est absurde et nous nous réservons le droit d’entreprendre des actions en justice contre MarkMonitor ». Rapidshare s’interroge également sur l’absence de YouTube dans cette étude. Le nombre de visites annuelles et la part des clips vidéo « piratés » placeraient la filiale de YouTube en tête de liste. La société ajoute : « l’étude renforce notre détermination à éclaircir les activités de Rapidshare et à expliquer ce que nous faisons vraiment ». Rapidshare a embauché une société de lobbyistes pour défendre sa position face à la RIAA et la MPAA.
La société MegaUpload n’est pas en reste et estime que ce rapport déforme complètement la réalité. « Nous permettons à nos utilisateurs de se connecter entre eux avec un espace de stockage hébergé à distance mais aucun contenu. », rapporte un porte-parole de la société à TorrentFreak avant de comparer ses activités à celles d’une FAi ou d’un commerçant de disques durs. La firme ajoute que ses règles d’utilisation sont en accord avec les lois de protection de droits d’auteurs et prend les mesures nécessaires lorsqu’un utilisateur a mis en ligne du contenu illégal.
Après s’être attaqué aux répertoires de fichiers bittorrent, tels que Pirate Bay ou Mininova, les sociétés représentant les ayant-droits semblent donc se tourner vers les sites de téléchargements directs. Ces derniers ne semblent cependant pas prêts à s’incliner… affaire à suivre…
Commentaires fermés sur Piratage : RapideShare et MegaUpload répondent aux accusations
Si vos deux boitiers Freebox ne communiquent plus (Freebox HD bloquant sur « Réseau » ou « Etape 2 ») ou mal, le problème peut venir de vos Freeplugs ou de votre installation électrique. Si après avoir rebooté ou hard rebooté votre boitier HD, le problème persiste, nous vous proposons une méthode qui vous permettra de tester le débit de vos Freeplugs.
Un FreePlug c’est quoi ?
C’est un bloc d’alimentation 12V composé d’un câble d’alimentation principal et d’une connectique RJ45 adapté à la box.
Le FreePlug a pour intérêt de remplacer la communication Wifi en faisant passer le signal par le courant électrique.
Raccorder les FreePlugs.
Il vous faut d’abord vous procurer un nombre de FreePlugs nécessaire pour votre réseau, soit :
– Un FreePlug pour le boitier ADSL et un autre pour le boitier HD.
– Un FreePlug de plus par ordinateur(s) que vous souhaitez mettre en réseau.
Pour le raccorder branchez à votre modem le double câble ainsi que la prise d’alimentation (reproduisez la même opération sur le boitier TV), et sur l’ordinateur seulement la prise RJ45 du double câble et le câble principal d’alimentation. (Pensez à récupérer l’adresse MAC et le mot de passe sur l’étiquette de chaque FreePlugs). Pour raccorder les ordinateurs, il existe des Freeplugs classiques (dirigez vous dans l’espace boutique de votre interface de gestion).
Il est nécessaire d’appairer les freeplugs pour que le système soit opérationnel. Appuyez deux à trois secondes sur les boutons des boitiers CPL (courant porteur de ligne).
Testez vos FreePlugs avec SoftPlug de Eva.
SoftPlug, un logiciel de la société Lea va vous permettre d’installer et de configurer votre réseau de FreePlugs.
Vous pouvez vous procurer ce logiciel à cette adresse :
Pensez à vérifier que vous disposez des logiciels complémentaires afin de pouvoir utiliser l’application.
Une fois le plugin téléchargé, raccordez votre freeplug au boitier ADSL et à votre ordinateur.
Pour installer et tester vos FreePlugs à l’aide du logiciel, observez la partie de gauche (Arbre réseau) et voyez si vos freePlugs s’affichent dans le même réseau. Dans le cas échéant procédez à une recherche manuelle en effectuant un clic droit sur le nom du réseau, ajouter une NetPlug et renseignez l’adresse MAC. Si le Freeplug n’est toujours pas détectée vérifier qu’il n’y ait pas de parasites sur l’installation électrique comme des lampes halogènes, multiprises, ou encore un ventilateur sur le même segment.
Effectuez ensuite un clic droit sur les différentes Freeplugs et sélectionnez l’option identifier la Freeplugs, renseigner le mot de passe et valider. Réitérez le clique droit sur la Freeplugs maintenant identifiée et sélectionnez l’option, activer le NetPlug. Réitérez cette opération pour chaque Freeplugs.
Procédez d’un clic droit sur le nom du réseau et sélectionner l’option changer la clé de sécurité réseau, entrer un mot de passe de votre choix, et validez.. Terminez par un nouveau clic droit sur le nom du réseau et sélectionner l’option, activer le réseau.
Vous pouvez dès à présent utiliser votre nouveau réseau mais aussi visualiser si les Freeplugs communiquent bien entre eux.
Commentaires fermés sur Tester les FreePlugs: [Tutoriel]
 Une mise à jour a été déployée ce matin pour la Freebox Révolution Player. Ce premier firmware, estampillé 1.0.0, active (presque) tous les services accessibles depuis la Freebox Player et corrige principalement les erreurs rencontrées par les abonnés (erreur 20-77, 20-B6, etc…).
Pour bénéficier de la version logicielle la plus récente, il vous suffit de redémarrer votre Freebox Player à l’aide de votre télécommande depuis le menu « Réglages ». Vous pouvez également débrancher et rebrancher électriquement votre Freebox Player pour procéder à la mise à jour.
Petite astuce, si votre Freebox Player reste bloquée sur le firmware de secours, veuillez simplement appuyer sur le bouton « Reset », se trouvant à l’arrière de la Freebox Player.
« Seuls les jeux ne sont pas accessibles »
Contacté, Free nous confirme que « seuls les jeux ne sont pas accessibles », et donc le FreeStore. Le léger couac autour des livraisons de manettes de jeu (Gamepad), comme vous l’a annoncé UniversFreebox, n’arrange rien. Pas de panique, hier, Free nous confiait que les gamepads seraient « envoyés dans quelques jours ».
Freebox Révolution : Chérie, où est passée la notice ?
Autre point, les informations d’utilisation des services (tels que le timeshifting, l’enregistrement, la programmation, l’écoute des messages vocaux via les hauts parleurs de la Freebox Server, la synchronisation des DECT, etc…) manquent à l’appel. Free comblera certainement ce point en publiant des tutoriels consultables sur le site de l’assistance des abonnés ou via une notice (papier), ajoutée dans le pack Freebox Révolution.
L’interface, la navigation et les autres services (tels que la VOD, les photos, le NAS…) sont d’une simplicité d’utilisation et d’une fluidité déconcertante. Pour le NAS par exemple, il suffit de déplacer les fichiers d’un point à un autre (drag on drop) depuis « Voisinage Réseau » sous Windows ou depuis « Finder » sous Mac.
Enfin, dernier point, l’absence de Mosaïque est assez déroutante à la première utilisation. Néanmoins, la fonction PIP intégrée lors de la consultation de la liste des chaînes permet de palier ce manque. Si l’absence de Mosaïque venait à peser, Free pourrait éventuellement la remettre en place pour satisfaire les Freenautes.
Si vous remarquez des modifications/améliorations, n’hésitez pas à nous en faire part dans les commentaires de cet article.
La Révolution est en marche !
Mise à jour (08 janvier 2011 – 22h30) : Free nous précise que « des tutoriels seront accessibles dès la semaine prochaine » depuis le site de l’assistance des abonnés. Les explications seront publiées au fur et à mesure que les fonctions seront lancées.
Commentaires fermés sur Freebox Révolution : Un point sur le Firmware 1.0.0
Le malaise entre le monde du logiciel libre et Oracle persiste. Après la mort d’Open Solaris, il y eu la scission entre une partie des développeurs d’OpenOffice qui partirent créer LibreOffice. Ce projet à l’avenir incertain a reçu aujourd’hui un soutien de poids : Ubuntu. La prochaine version (11.04) de la distribution Linux la plus connue du moment abandonnera OpenOffice pour LibreOffice.
Mouvement militant ? Pas seulement. Selon les explications du développeur Matthias Klose, ce choix est aussi imposé par la situation actuelle d’OpenOffice.org : la suite open source n’est pour l’instant disponible qu’en version 3.2.1 (la version 3.3 n’existe qu’en tant que logiciel commercialOpen Office). Pour incorporer les changements de la 3.3, Ubuntu n’a donc pas d’autre possibilité que de passer à LibreOffice.
Que cette explication relève du prétexte ou de la vraie impasse technique ne change pas le fait que le divorce entre Oracle et le monde de l’Open Source semble aujourd’hui bien prononcé. Heureusement, il reste toujours MySQL.
http://www.documentfoundation.org/download/
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Commentaires fermés sur Ubuntu boude Oracle et choisit LibreOffice
La réhabilitation du parvis de la gare de Thionville et de ses voies d’accès va débuter le 10 janvier 2011. Durant les 15 mois du chantier, la circulation aux abords de la gare risque d’être perturbée …
Le trafic perturbé sur le Pont des Alliés
Même si ces opérations ont pour but de désenclaver le secteur de l’îlot de la gare et ainsi fluidifier la circulation à proximité immédiate de la gare tout en augmentant la sécurité, pendant les 15 mois du chantier, les frontaliers prenant le train à Thionville risquent d’être ennuyés.
Alors que les cyclistes ne devraient pas être trop touchés, pour les automobilistes et les usagers des transports publics, la situation sera plus compliquée.
En voiture
Pour se rendre à la gare, rien ne changera. C’est pour en sortir que la circulation sera modifiée. La sortie vers Thionville étant barrée, il faudra prendre la direction de Yutz, puis emprunter le premier rond point « Percée Sud » pour remonter vers Thionville et donc reprendre le Pont Schuman, puis le Pont des Alliés. Cette modification du sens de circulation sur le Pont des Alliés entraînera immanquablement un engorgement. Voir le plan ci-dessous.
Seuls les taxis pourront stationner sur le parvis de la gare. Pour tous les autres usagers, 610 places gratuites sont à votre disposition sur les deux parkings de la rue des Abattoirs. Pour votre confort, une navette gratuite, la Ligne 22, assure la liaison entre cette zone de stationnement et la gare aux heures de pointe.
En bus
La gare continuera à être desservie par les bus. Cependant, en raison du sens de la circulation imposé par les travaux, des adaptations seront apportées au réseau.
Les lignes 1, 2, 6, 32 et 93 seront en terminus à Foch (sans passer par la gare de Thionville). Les lignes 3, 4 et 13 ne passeront à la gare de Thionville que dans leur trajet vers Yutz (elles ne marqueront pas l’arrêt sur le pont), La ligne 33 ne passera à la gare de Thionville que dans son trajet vers Guénange (elle ne s’arrêtera pas à l’arrêt sur le pont),
Les lignes 8 et 28 seront inchangées et emprunteront la déviation.
La ville de Thionville conseille à tous les passagers d’anticiper leur heure de départ en prévision du temps supplémentaire nécessaire pour se rendre à la gare.

Source : Le petit guide des travaux pratiques (télécharger le .pdf)
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