Archive pour la catégorie “Trucs et astuces”

Voici un lien ou vous pourrez trouver des fonds d’écrans avec ou sans calendrier.

De nouveaux fonds d’écrans à thèmes sont proposés chaque mois, dernière mise à jour: Mars 2010!

Smashing Magazine quelques modèles de fonds d’écran ci-dessous.

Comments Commentaires fermés sur Fonds d’écrans – SmashingMagazine 03/2010

Recherche de virus, mises à jour et autres sauvegardes de données sont autant de tâches longues et laborieuses qui pourraient très bien être effectuées pendant que vous dormez. Nous vous présentons dans ce dossier quelques idées et solutions pour exploiter au mieux votre PC la nuit, et ainsi lui faire effectuer ces quelques tâches ingrates pendant vos heures de sommeil.

Que faire de son PC la nuit ?

1. Des PC noctambules

Comme chaque soir, vous allez vous coucher, et comme chaque soir vous aimeriez donner à votre ordinateur une liste de choses à faire pendant la nuit. Cette sélection de logiciels et de solutions en tout genre vous propose de découvrir les options qui s’offrent à vous pour programmer vos téléchargement ou sauvegarder vos données, et même d’éteindre votre ordinateur après cela.

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Nous vous présentions, il y a deux semaines, la première version bêta d’Opera 10.50, le navigateur élégant conçu par Opera Software. La firme norvégienne met les bouchées doubles pour proposer, le plus rapidement possible, la nouvelle version majeure de son navigateur Web. Ainsi, elle nous présente dés aujourd’hui sa version RC1 pour Windows ! Rassurez-vous, les utilisateurs de Mac OS X ne sont pas oubliés, une première version bêta destinée au système à la pomme ayant été dévoilée par la firme norvégienne quelques jours avant cette RC1.

Alors que la première bêta s’orientait vers une intégration très poussée à Windows Seven et Vista, la RC1 veut, quant à elle, appâter les utilisateurs de Windows XP, la version de Windows la plus populaire aujourd’hui encore !

Capture d'écran d'Opera 10.50 bêta 2 sous Windows XPOpera 10.50 sous Windows XP avec sa fenêtre principale maximisée

Visant visiblement le marché que représentent les utilisateurs de Netbooks, souvent pourvus d’une résolution d’écran relativement faible et majoritairement équipés par Windows XP, Opera 10.50 unifie la barre de titre de l’application et la barre des onglets, économisant ainsi une vingtaine de pixels en hauteur, bien utiles aux petits écrans des Netbooks !

Opera Software tient à remercier les nombreux testeurs des versions beta d’Opera 10.50 qui ont rapportés plusieurs centaines de bugs et qui, on l’espère, signaleront cette fois-ci encore les dernières problèmes, avant que le navigateur ne soit totalement stable.

Le développement s’intensifie sous Windows… c’est ballot !

Tandis que le développement d’Opera 10.50 semble vraiment intensif sur cette version destinée à Windows, les autres plateformes comme Mac OS ou Un*x/Linux semblent avoir étés mise au second plan, afin de finaliser rapidement la version Windows. Une course contre la montre probablement encouragée par l’arrivée prochaine du « Ballot Screen » ou écran de sélection du navigateur, dés demain !

Pour rappel, suite à une plaine de Opera Software auprès de la Commission Européenne au sujet du monopole de Windows sur le marché des systèmes d’exploitation et de la concurrence déloyale qu’était l’intégration de Internet Explorer par défaut dans ce système, Microsoft proposa une solution pour rétablir l’équilibre et satisfaire la commission européenne : le Ballot Screen !

Sous la forme d’un écran de sélection proposant différents navigateurs Web au choix de l’internaute, ce dernier sera « imposé » à tous les utilisateurs de Windows à partir de XP en Europe. Quant aux anciens utilisateurs de Windows, une mise à jour automatique installera l’écran de sélection.

Cet écran proposera 12 navigateurs différents, comprenant Internet Explorer, Apple Safari, Google Chrome, Mozilla Firefox et bien sûr, Opera. Ces cinq premiers navigateurs seront affichés en ordre aléatoire à l’utilisateur qui devra alors en choisir un, ou pas ; un dialogue « Choisir ultérieurement » étant proposé. Chaque navigateur pourra, dans cet écran de sélection, proposer un petit texte de description, un logo le représentant ainsi qu’une page accessible via un lien « En savoir plus ».

Les nouveautés d’Opera 10.50 bêta 2

Modelez le navigateur à votre image !

Pour se rendre plus séduisant aux yeux des ses utilisateurs, Opera 10.50 décide de s’intégrer au plus haut point aux systèmes d’exploitation qu’il supporte. Profitant des dernières avancées de Microsoft sur Windows 7, il se dote du support des Jump Lists, un système permettant l’accès à de nombreuses fonctionnalités du navigateur depuis les menus du système d’exploitation.

Une utilisation aboutie d’Aero Glass est également au programme, afin de d’offrir aux utilisateurs des options de personnalisation vraiment très poussées. En plus de fournir un design très élégant à son navigateur par ce biais, Opera Software offre aux graphistes un moyen simple de faire appel à ces fonctionnalités de transparence par le biais de ses habillages ! Ainsi, avec l’habillage Z1-Glass, Opera deviendra complètement… transparent ! Ajoutez à cela les multiples possibilités de personnalisation via les CSS utilisateurs, et la seule limite n’est finalement que l’imagination !

Les fenêtres internes du navigateur ont, elles aussi, été améliorées. Ainsi, les fenêtres dynamiques générées par Javascript, ou encore le gestionnaire de mot de passe, ne sont plus bloquants vis-à-vis du navigateur, de quoi vous épargner une crise de nerfs quand vos meilleurs ennemies décident de vous envoyer une blague de ce type !

Les utilisateurs de Mac OS X ne seront pas déçus non plus des avancées de l’interface graphique dans le système à la pomme, complètement reprogrammée dans la bibliothèque graphique Cocoa de Apple. De ce fait, Opera 10.50 abandonne toute trace de Carbon, une ancienne bibliothèque de compatibilité créée pour simplifier le portage des application vers Mac OS X. Opera profite ainsi des nouvelles avancées de cette interface et de ses meilleures performances.

Quant à Un*x/linux, il se voit offrir un Opera abandonnant les dépendances à la librairie Qt et pouvant switcher, selon l’environnement de l’utilisateur, soit sur la librairie graphique GTK+, si l’utilisateur utilise GNOME ou XFCE ou Qt, s’il utilise KDE. Mieux, s’il utilise un environnement qui n’est basé ni sur Qt ni sur GTK+, Opera est en mesure d’utiliser directement la X-Lib !

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Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d’État chargée de la Prospective et du Développement de l’économie numérique, a annoncé ce matin le lancement de Proxima Mobile, premier portail de services d’intérêt général gratuits et accessibles depuis les téléphones mobiles. « Proxima Mobile a trois principaux objectifs : susciter la création de nouveaux services qui facilitent le quotidien de tous les citoyens, favoriser le développement de l’écosystème des services sur mobiles, et enfin rassembler des communautés d’utilisateurs pour leur permettre d’exprimer leurs attentes » estime Nathalie Kosciusko-Morizet.
À l’ouverture du portail Proxima Mobile, 24 applications sont disponibles dans des domaines aussi divers que
La totalité des 68 applications d’intérêt général subventionnées par l’appel à projets Proxima Mobile seront disponibles dans le courant de l’année 2010.
De plus, à l’occasion du lancement de Proxima Mobile, une campagne de labellisation est ouverte afin de sélectionner les meilleures applications gratuites qui proposent des services d’intérêt général. Ces applications seront intégrées dans le portail et pourront afficher la marque Proxima Mobile.
Cette véritable bibliothèque d’applications et de services est consultable sur le portail web : www.proximamobile.fr et, prochainement, sur une application Proxima Mobile développée sur les principales plateformes de téléphones mobiles : iPhone (en mars) puis Android, Windows Mobile, Symbian, Blackberry…

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A tous les acheteurs de la PSP Go, Sony offre trois jeux à télécharger sur le Playstation Store. Pour ce faire, un pré-requis est nécessaire : posséder une ancienne version de la PSP.

Pour récompenser les joueurs fidèles et pour faire digérer la dématérialisation du contenu de la PSP Go, Sony se lance donc dans une vaste entreprise de don de jeux. Pour ne pas rater cette occasion de jouer « gratis » et baliser la marche à suivre, nous avons tenté de récupérer les fameux jeux.

PSP Go : comment récupérer ses jeux gratuits ?

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Assurance, voiture, banque, famille, logement, impôts et taxes, travail, santé… Combien de temps garder vos papiers ?

Le portail « www.service-public.fr » vous propose de retrouver une fiche pratique récapitulant les durées de conservation des papiers qui peuvent varier selon la nature du document. En matière civile, le délai de droit commun pour agir en justice étant de 5 ans, les preuves doivent donc être conservées pendant cette durée. Néanmoins, le délai de conservation de certains documents peut être plus ou moins important.

Les papiers de la banque comme les talons de chèque et les relevés de compte qui contiennent par exemple des informations sur des créances dont la nature fait courir une prescription plus longue doivent être conservés plus longtemps.

Papiers à conserver

Mis à jour le 11.12.2009 par Direction de l’information légale et administrative

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Parabole satelliteEntre l’essor de la fibre optique et l’arrivée de la 4G, le très haut débit va progressivement remplacer le haut débit fixe et mobile. Cependant, pour les personnes ne vivant pas dans des zones à fortes densités, il faudra attendre plus de 10 ans pour pouvoir goûter à ce type de technologie.

Or comme l’a récemment rappelé Jean-Ludovic Silicani, le président de l’ARCEP, le satellite pourrait bien faire office d’excellent remplaçant d’ici cinq ans. Mais pas à n’importe quelle condition.

Du satellite à 50 voire 100 Mbps

En effet, il se prépare depuis de longs mois déjà une offre satellitaire destinée à la France (et non à une zone plus large), permettant d’accéder à des débits réels de 50 Mbps en téléchargement (voire 100 Mbps), et 10 Mbps en upload. Le tout pour 35 euros par mois. C’est en tout cas ce que promet le projet MegaSat, initié par CNES, le Centre national d’études spatiales.

Mais cette offre, qui ne sera pas disponible avant 2014/2015 (au plus tôt), sera limitée à quelques centaines de milliers de foyers. Entre 500 000 et 1 million, tout au plus. Sachant que le nombre de foyers qui seront desservis tardivement par le très haut débit est de 750 000 environ, l’offre satellitaire à 50 ou 100 Mbps doit donc quasi exclusivement être réservée à ces foyers situés en zones blanches.

Et pour le sénateur vendéen Bruno Retailleau, cette offre satellitaire à très haut débit est la solution toute trouvée, et elle doit être mise en place le plus rapidement possible. Rapporteur pour avis du projet de loi de finances rectificative pour 2010, dont les discussions en séance publique ont commencé hier et continuent aujourd’hui, Bruno Retailleau n’y va pas par quatre chemins et se montre très réaliste.

« Dans les zones les plus reculées, l’idée même de déployer un réseau de fibre optique semble à écarter au nom de la rationalité économique et des principes d’usage de fonds publics. » En somme, personne, même les collectivités locales, ne mettra des millions voire des milliards d’euros sur la table pour fibrer ces zones à très faible densité.

Du très haut débit vraiment pour tous

Mais ce n’est pas parce que ces gens vivent dans des coins reculés qu’ils doivent pour autant être délaissés et ne pas accéder aux nouvelles technologies. « Leur développement harmonieux passera par leur irrigation en réseau numérique à forte bande passante. Si la fibre optique ne peut être retenue, le principe de neutralité et d’équivalence technologique commande de recourir à d’autres procédés techniques à même de fournir des débits équivalents » explique le sénateur.

Et si le très haut débit pourrait arriver par des voies mobiles (via la 4G), nous savons qu’il faudra de très longues années pour que ce soit effectif. « Une optimisation des vecteurs satellitaires semble devoir être recherchée » conclue donc Bruno Retailleau.

Et pour ne pas perdre de temps, le sénateur propose d’investir 250 millions d’euros de fonds publics, sachant que le coût total du projet a été évalué à 500 millions d’euros si l’on souhaite offrir à au moins 500 000 foyers du satellite à très haut débit d’ici 2015. Et n’oublions pas qu’il faudra trois ans pour concevoir le satellite en question.

« Votre rapporteur pour avis souscrit entièrement à la décision de soutenir le déploiement d’une offre satellitaire dans la mesure où elle constitue un complément irremplaçable à une offre plus massive que représente la fibre » résume le sénateur.

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Au test SunSpider, grâce à son nouveau moteur Carakan, la version bêta d’Opera 10.50 obtient 641 millisecondes, ce qui la place devant Chrome, jusqu’à présent le navigateur le plus rapide sur le JavaScript.

La société éditrice du navigateur web Opera vient de dévoiler Opera 10.50 bêta pour Windows, la nouvelle monture majeure du navigateur norvégien Opera 10.50.

Avec une interface utilisateur beaucoup plus intégrée au système hôte que dans les versions précédentes, Opera 10.50 exploite maintenant les avancées de Microsoft Windows 7, comme les Jump Lists, qui permettent d’accéder rapidement à un onglet ou à une fonctionnalité du navigateur depuis la barre des taches.

Opera 10.50 sur sa page de présentation avec trois onglets ouvertsOpera 10.50 sur Net-Actuality présentant ses onglets déployés, on  voit dans l'un d'eux le Acid Test 3 réussi à 100% !

Si cette bêta n’est sortie uniquement pour Windows, ce n’est pas parce que les autres systèmes sont délaissés par Opera Software, mais simplement car la version Windows a été prête plus rapidement, les versions Unix et Mac OS ayant subit des changements assez conséquents demandant un développement plus long. Une version alpha de Opera 10.50 est d’ailleurs sortie aujourd’hui même pour GNU/linux et Mac OS.

Une interface utilisateur élégante et intégrée!

Opera Software a déjà fait de très gros travaux sur son interface ces dernières années, particulièrement depuis Opera 9.50. Et cette nouvelle bêta contient, elle aussi, un grand lot de nouveautés diverses, associées à une intégration jusqu’alors jamais égalée. Plusieurs points ont été améliorés, comme les boites de dialogues dynamiques, qui désormais ne sont plus bloquantes vis-à-vis du navigateur, comme vous le montrent les captures d’écran ci-dessous.

Une fenêtre dynamique dans Opera 10.50La  nouvelle recherche de texte dans les pages web d'Opera 10.50Une fenêtre non-bloquante demandant à l'utilisateur d'entrer son  pseudonyme et son mot de passeLe  nouveau gestionnaire de mot de passe d'Opera qui nous demande si l'on  veut enregistrer un mot de passe

C’est aussi l’occasion, pour Opera Software, de remettre un coup de peinture sur certaines fonctionnalités, comme la recherche de texte dans les pages web. A présent, celle-ci est beaucoup plus élégante et pratique à utiliser ! N’oublions pas non plus le gestionnaire de mot de passe, qui se comporte désormais de la même manière que celui de Firefox ou Chrome, en demandant si un mot de passe doit être enregistré à partir d’une barre de menu non-bloquante placée en haut de la page web.

Un effort visuel a également été apporté à la barre d’adresse, dont le champ de complétion rapide offre désormais de nouvelles fonctionnalités, comme la suppression de pages en direct ou la recherche uniquement dans les signets ou dans l’historique.

Sous Windows

On retrouve donc un Opera exploitant toutes les dernières nouveautés de Windows 7. Ainsi, l’utilisation aboutie d’Aero Glass permet d’offrir aux créateurs de skins le droit d’utiliser des options de transparence, mais aussi l’intégration des « JumpListes ». Celles-ci permettent l’accès aux sites favoris directement depuis l’icône de Opera, cela depuis la nouvelle barre des tâches de Windows 7.

Un  Opera complètement transparent !

La barre de menu disparaît de l’interface et est remplacée par un bouton placé en haut à gauche du navigateur. Cela poursuit la politique des applications Windows depuis la sortie de Vista. L’intégration ne s’arrête pas là, puisqu’Opera 10.50, à l’instar de Internet Explorer, est maintenant en mesure d’afficher la liste de ses onglets sous forme de vignettes lors d’un survol depuis la barre des tâches sous Windows 7.

Sous Mac OS X

Complètement revu en Cocoa, l’interface native de Mac OS X, Opera 10.50 abandonne presque complètement Carbon. Pour rappel, Carbon est une interface de compatibilité vieillissant qu’Apple tend à abandonner. Opera améliore ainsi son design et se rapproche des nouvelles interfaces des logiciels Apple instaurées depuis Leopard.

Sous GNU/*nix

Opera 10.50, dans sa version Unix/linux, est désormais livré avec trois bibliothèques graphiques différentes. Celles-ci seront utilisées selon le système et les préférences de l’utilisateur. Ainsi, sous l’environnement de bureau GNOME, programmé avec la librairie graphique GTK+, Opera adoptera la librairie GTK+ afin de fournir une intégration beaucoup plus aboutie à l’environnement hôte. De ce fait, le logiciel bénéficiera de l’apparence et des personnalisations de l’utilisateurs.

Sous KDE, qui repose sur la librairie graphique Qt, Opera utilisera lui aussi Qt, tandis que sous les autres environnements de bureaux, le navigateur sera en mesure d’utiliser directement la Xlib. Il sera ainsi capable de fonctionner sans autre dépendance, sur toute machine équipée d’un système de type Unix disposant d’un serveur X-Window.

Carakan, le nouveau moteur Javascript d’Opera Software !

Pendant de nombreuses années, la raison d’être d’Opera était sa rapidité incontestée. En effet, il disposait d’un moteur Javascript ayant d’excellentes performances faces à ses concurrents, à une époque où ce langage était considéré comme beaucoup plus facultatif et gadget qu’aujourd’hui.

Depuis quelques années cependant, la vitesse des moteurs Javascript n’a cessé de croître, notamment avec l’arrivée de Google Chrome et son redoutable moteur baptisé « v8 ». Ce dernier fût rapidement suivi par SquirrelFish Extreme, ou encore Nitro de Safari et TraceMonkey de Firefox. Trois nouveaux moteurs reposant sur la compilation de Javascript en code natif, procédé aussi appelé « compilation à la volée », apportant des performances très élevées.

N’ayant, dans un premier temps, pas rejoint cette guerre au plus rapide et allant même jusqu’à la qualifier de ridicule, Opera Software a finalement revu sa position et entrepris la programmation d’un nouveau moteur Javascript. L’objectif étant de rattraper ses concurrents dans la course au plus rapide ; il a ainsi dévoilé, en février dernier, le nom et le concept du tout nouveau moteur Javascript maison : « Carakan » !

Et le pari est réussi, puisque dévoilé pour la première fois dans Opera 10.50 pré-alpha à noël 2009, Carakan tient toutes ses promesses et rejoint ses concurrents en matière de vitesse d’exécution Javascript

Comparatif de vitesses d'exécution Javascript sur différents tests  (Sunspider, Peacekeeper, Dromaeo et V8Benchmark. Opera est le plus  rapide sur tous ces tests sauf sur le v8benchmark ou il est dépassé (de  peu) par Chrome 4. Ces tests ont étés réalisés sur un Intel Core 2 Duo à  2.33GHz, 4Go de ram et Windows Seven 32 bits.

Vega, la nouvelle bibliothèque d’affichage d’Opera

Quand Firefox a dévoilé son nouveau moteur Javascript révolutionnaire tirant parti de la compilation à la volée, Tracemonkey, Opera Software a noté que, si les performances Javascript avaient été largement améliorées avec ce nouveau moteur, elles restaient relativement basses lorsque que l’on demandait à Firefox de réaliser des animations et autres opérations impliquant le rendu graphique.

La conclusion tirée par Opera Software a été qu’un nouveau moteur Javascript ne suffisait pas pour ce genre d’opérations aujourd’hui de plus en plus populaires. Il en a déduit qu’il fallait aussi concevoir une nouvelle bibliothèque graphique tirant parti des ressources des cartes graphiques, afin de proposer des effets visuels bluffants sans mettre à genoux le navigateur !

C’est ainsi que, « Vega », la nouvelle bibliothèque d’affichage à haute performance de Opera 10.50, naquit ! Si elle ne tire pas encore partie des cartes graphiques, ce qui reste néanmoins le but final de cette bibliothèque, Vega rend néanmoins Opera ultra-rapide et ultra-fluide dans le traitement des animations et des images complexes (notament SVG, Canvas Javascript).

Des Widgets indépendants et puissants !

Dévoilés avec Opera 9.0 en 2006, les Widgets sont de petites applications réalisées en XHTML, CSS et Javascript ayant la capacité de sortir de la fenêtre du navigateur et d’êtres placées n’importe où sur l’écran de l’ordinateur.

Dans Opera 10.50, les Widgets sont désormais indépendants d’Opera et fonctionnent même quand ce dernier n’est pas lancé sur l’ordinateur. En outre, ils se dotent en de certaines capacités inédites telles que la capacité de lire et écrire des informations sur le disque dur de la machine, mais de manière très sécurisée, avant de pouvoir rôder sur le disque dur de l’utilisateur (ce dernier devra l’y avoir autorisé) !

Capture d'écran de la boite de dialogue d'installation d'un Widget

Opera 10.50 ouvre donc la porte à une nouvelle génération de petites applications aux différentes utilités. On trouvera, par exemple, un excellent client Twitter, un programme éducatif pour tout savoir du système solaire et bien d’autres choses sur Widgets.Opera.com !

Un support des standards HTML et CSS toujours plus abouti

Les nouveautés CSS 3

Équipé du nouveau moteur de rendu Presto 2.5, créé et commercialisé par Opera Software, Opera 10.50 permet à présent une utilisation beaucoup plus poussée des feuilles de styles en cascade CSS 3 et de HTML 5. En effet, cette bêta apporte enfin le support des populaires « border-radius », permettant d’arrondir les bordures des différents éléments d’un site web, mais aussi des transitions, qui offrent un moyen extrêmement simple aux webmestres pour ajouter de l’animation à leur site web. Dans le même ordre d’idée, les transformations permettent étirer, incliner, déformer les différents éléments des pages, et bien d’autres choses encore. Ainsi, Presto 2.5 est une vraie petite révolution.

Les transitions

Les transitions CSS 3 sont un moyen très simple de réaliser des animations, tels que des effets de survol ou de déroulement, entièrement par le biais des CSS. Alors que, par le passé, le CSS ne prenait en charge que deux états différents (l’état survolé et non survolé), les transitions CSS 3 proposent désormais une multitude d’états intermédiaires utilisables très facilement.

Safari/Webkit a été le premier à implémenter ces transitions (que l’on retrouve donc également dans Google Chrome/Webkit). Notons que, Firefox, devrait quant à lui implémenter ces transitions dans sa version 3.7.

Ci-dessous, voyez un petit exemple d’animation réalisable avec les transitions, livré avec son code source (rien que pour vous par votre site d’actualités informatique favoris !). Les navigateurs ne supportant pas les transitions se contenteront d’afficher les différents états sans animation entre ces états.

Les transformations

Si les transitions permettent d’animer les pages web, les transformations comblent un autre grand manque qu’avait le CSS : la possibilité d’incliner, étirer et… transformer les différents éléments d’une page web. Il est désormais possible de placer du texte avec une rotation dans une page web, cela sans avoir recourt à une image !

À l’heure actuelle, les transformations sont supportées par Firefox depuis sa version 3.5, mais aussi Safari et Google Chrome dans leurs versions finales. Ainsi, il ne manquait plus qu’Opera (quoi que… il manque encore Internet Explorer, en réalité).

Couplez les transformations avec les transitions, que nous avons vues ci-dessus, et vous êtes paré à réaliser des animations très poussées.

Border-radius

S’il y a une balise CSS 3 que tous les intégrateurs connaissent, c’est bien border-radius ! Implémentée dans Firefox dés sa version 1.0 en 2004, puis dans Webkit en 2007, elle permet simplement de créer des petits angles arrondis dans les pages web ; rien de plus, rien de moins ! Contrairement à Mozilla et Webkit, qui jugent leur implémentation de border-radius expérimentale, y ajoutant de ce fait le préfixe « -moz » et « -webkit», Opera semble juger son implémentation stable et nous propose un simple « border-radius », sans autre préfixe donc.

On notera qu’Opera a mis des années à décider d’implémenter cette propriété, pourtant très prisée des intégrateurs/designers, la firme norvégienne prônant jusqu’alors l’utilisation de SVG pour cette tâche. Dans Opera, il est possible de placer, via la propriété CSS « background-image », un document SVG en fond d’élément. Ainsi, le SVG étant vectoriel, il s’adapte automatiquement à la taille de l’élément dans lequel il est placé. Placez un document SVG avec une largeur et une hauteur en pourcentage ainsi que des bords arrondis en fond d’élément, et vous obtiendrez un résultat exactement similaire à ce que propose border-radius. Toutefois SVG ne se limite pas à cette seule tâche et peut offrir des personnalisations beaucoup plus poussées. Il est aussi beaucoup plus compliqué à « apprendre » qu’une simple propriété CSS.

Dev.Opera, le site de ressources pour développeurs d’Opera, propose d’ailleurs quelques exemples d’utilisation combinées de SVG et de Border-radius, afin d’avoir des bordures arrondies fonctionnant à la fois dans les anciennes versions de Opera et dans les navigateurs qui ne supportent pas un fond d’élément SVG, ici.

L’équipe de développement d’Internet Explorer 9 a indiqué que border-radius serait supporté par la prochaine version du navigateur de Microsoft.

Je suis un bloc avec des bords arrondis !

Et bien plus encore…

Background-image multiples

Un autre manque du CSS est aujourd’hui comblé avec les Background-images multiples, une technique permettant aux webmestres et designers de placer plusieurs images d’arrière plan sur un seul élément afin de les superposer. Différentes manières de répéter ces différentes images indépendamment les unes des autres sont aussi au menu de cette propriété.

Actuellement, cette technique est déjà supportée que par Safari 4.0 et Firefox 3.5.

border-image

S’il est depuis des années possible d’ajouter des bordures personnalisées à nos pages web, il était jusqu’alors impossible d’utiliser des images afin de les créer. En effet, il était nécessaire de réaliser de fausses bordures à l’aide d’un ou plusieurs background-image, ce qui présentait de nombreux soucis si l’on voulait que notre élément ne soit pas de taille fixe… Border-Image vient combler ce problème efficacement !

background-origin

Voici comment le navigateur visualise les différentes boites HTML :

Marge extérieure (transparente)

Bordure

Marge intérieure

Contenu

Au centre, on trouve le contenu de l’élément (le texte, les images, etc).
Ensuite, on trouve la marge intérieure puis la bordure entourant l’élément, et enfin, la marge entre cet élément et les autres éléments de la page.

Par défaut, la propriété background (permettant de donner un fond coloré ou imagé à un élément), s’applique au contenu et à la marge intérieure.

Grâce à la propriété background-origin, il est possible de changer ce comportement afin que le fond s’applique uniquement au contenu, et non à la marge intérieure ; ou au contraire, que le fond s’applique à partir de la bordure.

Aucun background-origin
background-origin: border-box

De la <video> et de l'<audio> dans le navigateur

Côté HTML 5, les très attendues balises <video> et <audio> sont supportées par cette nouvelle bêta. Pour rappel, notons qu’Opera avait été, en février 2007, le premier navigateur à implémenter ces balises dans l’une de ses versions expérimentales. Néanmoins, deux ans plus tard, elles ne sont toujours pas présentes dans la version finale du navigateur, et c’est ce qu’Opera 10.50 corrige aujourd’hui !

Polémiques autour des codecs

Ces balises, dont beaucoup de monde parle, ne permettent rien de moins que de placer du contenu vidéo et audio dans les pages web, sans utiliser un quelconque plugin. Ainsi, le navigateur devient lui même un lecteur multimédia. Beaucoup de polémiques tournent autour de cette balise. En effet, même si Firefox, Google Chrome et Safari l’ont déjà tous trois implémentée, son utilisation reste très difficile, notamment en raison des différents codecs utilisés par ces navigateurs.

Opera et Firefox, dans leur implémentation de la balise <video> avaient utilisé le codec libre de droit Theora et le format d’encapsulation OGG, libre lui aussi (format que la Wikimédia Foundation promeut depuis plusieurs années et utilise massivement sur son Wikimedia). Cependant, lorsqu’il a implémenté la balise <video>, Safari a quant à lui choisi le codec H.264, développé par le groupe de travail MPEG et soumis à certains brevets coûteux. Alors que la balise <video> venait à peine de pointer le bout de son nez, d’énormes soucis de compatibilités étaient à venir à cause de ces différences de codecs.

Quand Google Chrome est sorti en septembre 2008, il a lui aussi apporté son implémentation de la balise <video>, avec la gestion des codecs Theora et h.264, ne prenant ainsi pas partie au combat qui opposait ces deux formats. Toutefois, la situation restait, et reste aujourd’hui encore, très chaotique. Vous pouvez retrouver plus d’informations au sujet de cette guerre des codecs sur Wikipédia.

Le choix d’Opera 10.50 : ne faire aucun choix.

Dans cette version 10.50, Opera Software a choisi d’utiliser le Framework multimédia GStreamer, supportant une multitude de codecs vidéo (dont Theora et H.264), si l’utilisateur prend toutefois la peine de l’installer (le codec Theora est malgré tout inclut). Sous GNU/linux, ce choix est particulièrement approprié quand on sait que les deux principaux environnements de bureau, GNOME et KDE, tirent tous deux parti de GStreamer afin d’afficher de la vidéo et de l’audio dans leurs lecteurs intégrés. Opera bénéficiera donc de tous les codecs installés par les utilisateurs.

Pour le moment, on ne sait pas encore si Opera Software offrira une solution d’installation simplifiée pour les codecs, principalement pour les systèmes d’exploitation Windows et Mac OS.

À propos d’Opera Software…

Logo de Opera Software

Opera Software est une société norvégienne fondée par Jon Stephenson Von Tetzchner et Geir Ivarsøy en 1995, dont la principale activité est d’éditer le navigateur Web « Opera » ainsi que quelques services Web généralement liés à ce navigateur, tel que My Opera, communauté officielle des utilisateurs de Opera dans le monde. Traduit dans 17 langues différentes, My Opera fait partie des plus grands réseaux sociaux de l’Internet, avec plus de 3,9 millions de membres en janvier 2010.

Les fonctionnalités offertes par ce service sont variées et permettent, par exemple, la création de blogues et de forums. Une partie du service est entièrement consacrée au navigateur Opera et à la création de nouvelles peaux (skins), fonds d’écrans et personnalisations en tout genre. Plusieurs services sont interconnectés avec My Opera, comme Opera Link. Ce service permet la synchronisation des données et est par défaut inclus dans le navigateur Opera ; il permet ainsi le partage de signets et d’informations diverses entre les différents navigateurs Opera, instantanément.

Le navigateur Opera connaît un succès relatif sur les ordinateurs. Selon des statistiques réalisées par StatCounter, il est très en vogue dans les pays d’Europe Centrale et Europe de l’Est, comme la Russie où Opera s’accapare 38% du marché des navigateurs, l’Ukraine (44%), la Géorgie (47%), et dépasse même la barre symbolique des 50% en Biélorussie !

S’il est assez populaire dans les régions citées ci-dessus, il l’est beaucoup moins dans d’autres endroits du globe, comme les États-Unis d’Amérique, où il dispose, selon OneStat.com, de moins de 1% du marché.

Mais Opera Software se rattrape très fort sur un marché connexe, celui des navigateurs Web pour téléphones portables et dispositifs embarqués (consoles de jeux, PDA, etc.). Son navigateur, « Opera Mini », se targue en effet d’être le navigateur le plus populaire au monde, sur téléphones portables, avec plus de 50 millions d’utilisateurs réguliers en février 2010, contre 23 millions en mai 2009.

Statistiques d'utilisation de Opera Mini

La principale source de revenus d’Opera Software (75 – 80%) provient des dispositifs mobiles, grâce à des partenariats avec Nokia, Motorola, Archos et une quantité d’autres fabricants d’appareils mobiles. Les consoles de jeux sont aussi un marché où Opera Software vend des versions personnalisées de son navigateur, comme sur Nintendo Wii et Nintendo DS.

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En marge des grosses machines, le MWC est aussi l’occasion de découvrir des applications originales. C’est le cas de Kapten, une solution de guidage vocal désormais disponible sur iPhone.

Guidage vocal pour profiter du paysage

Après avoir reçu un accueil plutôt enthousiaste de la première version de son navigateur vocal, la société Kapsys décline le système sur iPhone. La nouvelle application Kapten promet ainsi un guidage vocal complet, que l’on se déplace à pied, à moto, à vélo ou en voiture. Déclinant le concept, sur un appareil avec écran, l’application ajoute désormais également l’affichage étapes de navigation.

Le mode piéton est particulièrement intéressant puisqu’il prend en compte tous les moyens de transport en commun d’une ville. Le guidage vocal à ceci de particulier qu’il permet de se déplacer sans avoir les yeux vissés sur son écran. Les touristes apprécieront le principe et profiteront du décor plutôt que de leurs pixels. Deux versions sont proposées sur l’App Store : cartographie France et cartographie Europe. Deux versions de chaque sont disponibles. La version France est commercialisée à 3,99 € pour un usage d’un mois et 39,99 € pour une licence perpétuelle. Sur le même principe, la version Europe sera vendue 5,99 et 59,99 €.

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Comments Commentaires fermés sur Kapten : le guidage GPS vocal arrive sur iPhone

La mise à jour du site PcHelp est terminée.

Nous avons migré avec succès vers la nouvelle version de WordPress

Pour la version 2.9.2 de WordPress il s’agit d’une version de sécurité, utile surtout si vous avec des utilisateurs tiers (et inconnus) inscrits à votre blog. Le risque encouru était de les voir effacer les articles que vous auriez pu mettre temporairement dans la corbeille.

La VF est d’ores et déjà disponible, et  nous en avons profiter pour apporter quelques corrections ici ou là.

Comme d’habitude désormais, faites votre mise à jour en passant par le menu Outils/Mettre à Jour.

Pour ceux dont l’hébergeur n’autorise pas la mise à jour (une liste se trouve sur le Codex), vous devrez la faire à la main
Pour ceux qui souhaitent passer à la main de la v2.9.1 à la v2.9.2, voici un zip contenant uniquement les fichiers modifiés entre ces deux versions.

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