Hettange-Grande / Sœtrich

Sept ans après « Whenever Wherever », les hanches de Shakira n’ont rien perdu de leur élasticité (ni de leur pouvoir de séduction) !

Le tournage du nouveau clip de la chanteuse colombienne a été dirigé par Jack Nava (entre autres réalisateur des clips « If You Seek Amy » de Britney Spears, « If I Were A Boy » de Beyoncé ou encore « Nobody Knows » de Pink) …
Rien que ça !!

« She Wolf » est la version anglaise de son dernier single espagnol « Loba » : deux titres qui seront sur le nouvel opus de Shakira à l’automne prochain, histoire de bien vous réchauffer !

[youtube m9Et7UQh1tg]

[youtube rKt_O5eOzf0]

Le site officiel d’Amandine Bourgeois

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C’est sans aucun doute l’événement médiatique de la journée. La cérémonie hommage à Michael Jackson débutera à 20 h, heure française. Le flux vidéo étant ouvert à toutes les chaines selon la volonté de la famille, il sera visible sur de nombreux sites Internet.

En VF et VO

En France c’est certainement France Télévisions qui présentera la meilleure couverture de la cérémonie. Dès 18 h 50 une émission spéciale débutera sur l’antenne de France 2 et se poursuivra ensuite sur France 4 par la cérémonie. L’intégralité sera visible sur le site de France 2 au même moment.

Aux États-Unis les sites à retransmettre le « MJ Memorial Service » seront également nombreux. L’un des plus intéressants sera certainement celui disponible sur le site de CBS. Comme on l’avait vu sur certains sites américains lors de l’investiture de Barack Obama, on pourra la commenter en même temps sur Facebook depuis la même page. C’est aussi le choix de TF1.fr qui utilisera le même système sur son site à défaut de diffuser la cérémonie à l’antenne.

L’engouement autour de cette cérémonie au Staples Center est immense. Le tirage au sort des places a eu lieu hier, elles s’arrachent désormais sur eBay à plus de 100 000 dollars !

:Source:

Voir l’article du 07/12/2009

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Toutes les femmes en toi

Vivement le 02/12 aux Arènes de Metz, en attendant…

Merci

Djo

Voir l’article sur Cdiscount

Les clients professionnels de Jamendo Pro doivent s’acquitter de droits de diffusion.

Le site va devoir mettre en place un mécanisme de collecte.

Pour sonoriser un espace public ou commercial, il faut s’acquitter de droits à la Sacem, qui, en fonction d’une panoplie de critères (taille du local, fréquentation, nombre d’enceintes…) fixe ses tarifs. Ou alors, vous avez Jamendo Pro. Cette plate-forme, ouverte en février 2009 par Jamendo, propose de télécharger des playlists sous licence Creative Commons. Un contrat fixe les modalités d’utilisation, le client paye et au moins 50 % du prix est reversé aux artistes et c’est tout. La Sacem n’a rien à y voir.

Sauf que ce n’est finalement pas si simple et Jamendo l’a appris récemment. Les utilisateurs des musiques doivent s’acquitter de droits de diffusion, reversés aux artistes interprètes et aux producteurs. C’est la « rémunération équitable ». Quel que soit le modèle économique, le régime de droit, l’ancienneté de la musique (y compris celles du domaine public), tout morceau diffusé en public, en fond sonore, dans un établissement commercial par exemple, implique un paiement à la Société de répartition de la rémunération équitable (SPRE).

Celle-ci a écrit à Jamendo pour lui signaler que les utilisateurs de Jamendo Pro devaient reverser ces droits, Creative Commons ou pas. « C’est un régime légal français un peu particulier, explique Laurent Kratz, président de Jamendo. Avec Jamendo, nous sommes dans l’innovation, il y a encore des tas de choses à clarifier. »

Un mécanisme de collecte

Pour Marc Guez, directeur général de la Société civile des producteurs phonographiques (EMI, Universal, Sony BMG, Warner), qui s’exprimait dans le cadre d’un déjeuner de presse mercredi 24 juin, Jamendo est « en pleine illégalité sur les droits voisins. Ils vendent des droits qu’ils n’ont pas. »

Si Jamendo reconnaît sans problème l’erreur, son président dédramatise. « Techniquement, la SPRE peut attaquer nos clients mais ils ne sont pas dans cette logique-là », continue Laurent Kratz. Le site va donc mettre en place un mécanisme de collecte auprès des clients de Jamendo Pro, car la SPRE elle-même ne dispose pas d’agents pour le faire et doit déléguer cette tâche à d’autres organismes (comme la Sacem).

L’opération peut prendre entre un et deux ans, surtout que le site compte des clients un peu partout dans le monde. Jamendo va certainement en passer par un accord avec une société de droits. Mais il compte bien récupérer ensuite cette rémunération équitable pour, logiquement, la redistribuer aux artistes de sa plate-forme.

:Source:

Et de trois!

Journée chargée que celle du 21 Juin 2009

L’été, la fête des pères et de la musique…

Alors pour l’évènement PcHelp vous  souhaitent une bonne fête de la musique au bord de l’eau!

[youtube vX42b3B2DQA]

Le marché de la musique numérique est particulièrement en effervescence ces dernières semaines en France. Outre l’arrivée d’Amazon MP3 et ses 500 albums à 2,99 €, la réplique de FnacMusic, ou encore l’ouverture du gratuit mais très limité et DRMisé Beezik, notons aussi l’apparition bien moins médiatique de Qobuz.

Le site affiche la couleur dès sa page d’accueil  :

• Morceaux 100 % compatibles
• Qualité de son « Premium » : MP3, LossLess, et même Studio Master (24 bits, 96 KHz)
• Une offre immense, à votre goût

Qobuz l’affirme : « Les promesses de la musique enfin tenue ». Le rêve de bien des internautes serait-il enfin réalisé ? Oui et non.

Si un grand nombre albums, notamment classiques, sont bien disponibles sans perte – les Studio Master (sons sortis des studios d’enregistrement) arriveront semble-t-il plus tard – de nombreux albums sont malheureusement encore uniquement téléchargeables en format compressé.

Deux formats compressés ont d’ailleurs été choisis : celui de Microsoft, le WMA (en 320 kbps VBR 98), et le MP3 (320 kbps CBR). Tous deux sont en 44,1 KHz / 16 bits. Les WMA sont « avec ou sans DRM, selon les désirs des producteurs » précise Qobuz.

Le site, par rapport au DRM, affiche d’ailleurs clairement sa position : « La majorité de nos fichiers sur ce site sera sans DRM. Nous pensons que la problématique DRM sera vite dépassée, si des services tels que le nôtre parviennent à offrir des expériences musicales réelles aux amateurs, et non pas de la musique à la pelle, offerte sans réelle valeur ajoutée. »

Les fichiers DRMisés, lisibles uniquement sous Windows avec Windows Media Player 11, nécessitent d’activer une licence lors de la première lecture du fichier. En outre, Qobuz précise que si bien sûr le nombre de lectures du fichier DRMisé est illimité, son nombre de gravures autorisées est tout de même de 7, tandis que son nombre de transferts autorisés a lui été fixé à 5.

Qobuz avantage le DRM sur un point

Point amusant, les DRM, s’ils ont énormément de défauts, ont néanmoins un avantage  chez Qobuz: « Pour les fichiers sans DRM : vous ne pouvez les télécharger à nouveau gratuitement depuis votre compte qu’une fois tous les 6 mois » note le site. Par contre, les fichiers avec DRM sont téléchargeable « gratuitement depuis votre espace sans limitation » précise t-il. Comme quoi.

Outre le format compressé, on retrouve donc une offre en LossLess, c’est-à-dire sans perte. Là encore, Qobuz propose deux formats, propriétaires : le WMA LossLess de Microsoft, et le format ALAC d’Apple. Notez que certains logiciels sous Linux lisent ces deux formats. Seuls ceux sous DRM Windows posent problème concrètement.

Compatible avec tous les grands navigateurs (Internet Explorer, Firefox, Safari et Opera), le site ne propose pas uniquement les morceaux numériques, mais aussi, parfois, le visuel du disque, le livret, une plage bonus, une interview, etc.

Concernant la tarification des morceaux et des albums, il n’y a pas de prix fixe. Cela varie selon l’encodage (le lossless est généralement plus onéreux), selon le nombre de morceaux dans l’album, etc. Certains albums sont ainsi disponibles pour 3,99 €, d’autres à 4,99 €, 5,99 €, 6,99 €, etc. À titre d’exemple, la bande originale de Home coûte 4,99 € en format compressé, et 6,49 € sans perte.

Enfin, le catalogue, dont nous ne connaissons pas le nombre exact de titres (nous n’avons pas réussi à contacter Qobuz pour avoir des détails), propose des artistes connus comme inconnus. Cela va ainsi de Fela Kuti à Sidney Bechet, en passant par Rufus Wainright, David Bowie, la BO du film « Sex And The City », Michel Polnareff, Ennio Morricone, Bjork, M, Dire Straits, Radiohead, The Verve, The Beach Boys, Melody Gardot, et même Calogero, Olivia Ruiz, et Lara Fabian.

Qobuz, filiale de la société anonyme LyraMediaGroup (détenant la maison de disques indépendante Abeille Musique), a conclu un partenariat capitalistique et rédactionnel avec le Groupe de presse Express Expansion (GEE), et comptait 20 salariés l’année dernière.

:Source: