Archive pour la catégorie “Free”

Les news de chez free

Le wifi est une composante présente dans les box de Free. Il permet bien sûr de se connecter au net sans raccordement filaire mais aussi de visionner la Freebox TV pour les premières versions de la V5.

Parfois, les freenautes rencontrent quelques soucis avec le wifi et le plus souvent, cela est dû à un mauvais paramétrage. En effet, le wifi circule dans des canaux. Par défaut, le canal utilisé est souvent le canal 11 et si votre voisin utilise le même, il y a parfois des « bouchons ».

Pour remédier à ce problème, il suffit de décocher la case canal automatique que vous retrouvez dans votre interface de gestion dans la rubrique internet et configurer mon wifi et de choisir le canal le moins chargé.

Ce tutoriel vous montrera comment choisir le meilleur canal afin de profiter d’une connexion optimale.

Les canaux wifi.

Les canaux :
La technologie Wifi utilise des fréquences différentes afin de limiter les parasites avec d’autres équipements. Les différentes fréquences sont différenciées par 14 « canaux ». Il se peut que lorsqu’un trop grand nombre d’appareils utilisent le même canal, le trafic soit perturbé.
Observer le trafic des canaux wifi :
Pour observer son réseau wifi et connaitre sont canal, vous avez à disposition plusieurs applications comme « NetStumbler », « Insider » ou encore « NetSurveyor » que nous allons utiliser ici.
Le chanel correspond au canal utilisé. Il est conseillé de décocher les autre réseaux ne vous appartenant pas pour une meilleur visibilité du graphique.
Modifier son canal :
Une fois que vous avez trouvé le canal le moins utilisé, rendez-vous sur le site de free, connectez-vous à votre compte, accédez à « Internet » puis « Configurer mon réseau wifi »
Suivez les instruction jusqu’au bout. Il est fortement conseillé de choisir le mode de cryptage WPA pour une meilleure sécurité de votre réseau. Cliquez sur envoyer et redémarrez votre modem.
Connecter son ordinateur :
Pour connecter votre ordinateur vous devriez avoir dans la barre des tâches, une icône de connexion au réseaux sans fil. Sélectionnez votre réseau et cliquez sur « Connecter ».
Renseignez dans les 2 champs votre clé de sécurité ainsi que le mode de cryptage que vous aviez choisis sur votre compte free et validez..

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Créateur de l’offre unique à 29,99 euros, Free a quelque peu bouleversé son offre à la mi-décembre. Nous vous proposons d’étudier et d’analyser les nouvelles propositions commerciales évoquées par Xavier Niel durant la dernière conférence de presse. Décryptage.

Free et la hausse de TVA

logo TVA

Jusqu’à il y a quelques semaines, l’offre de Free était la plus simple du marché : 29,99 euros pour tous, point. Aujourd’hui, les prix des abonnements sont très variés selon que vous soyez en zone dégroupée ou non, selon le matériel dont vous disposez et encore selon que vous optiez pour l’option TV ou non. Evoquons ce dernier point en rappelant qu’au 1er janvier dernier, la TVA réduite appliquée aux services audiovisuels des forfaits Triple-Play n’est plus d’actualité : on passe de 5,5 à 19,6%. Tous les FAI ont donc relevé le prix de leur abonnement, et pour une fois, Free n’échappe pas à la règle. Quoique.

En effet, l’opérateur a décidé d’intégrer cette hausse dans une « option TV » qui revient à 1,99 euro pour l’abonné, soit peu ou prou l’augmentation subie par les abonnés des autres FAI. Si l’astuce parait intéressante pour l’abonné (qui peut choisir ou non de subir cette augmentation), elle ne l’est pas tant que ça. En effet, si certains services demeurent actifs (Blu-ray, Media Center, navigation Web sur le Player), le tuner TNT est quant à lui purement et simplement désactivé, alors même que ces chaînes sont gratuites. Il vous faudra donc repasser sur le tuner de votre téléviseur pour bénéficier de ces chaînes.

En revanche, cette technique a un avantage beaucoup plus clair pour Free : alors que les FAI doivent payer la taxe COSIP (Compte de Soutien à l’Industrie des Programmes audiovisuels) sur 60% du prix de l’abonnement, Free utilise son astuce pour ne plus payer cette taxe que sur 60% de… 1,99 euro. Cette solution, plutôt mal perçue de la part de la concurrence et du gouvernement, est encore sujette à discussion. Il est vrai qu’évaluer le service TV à 1,99 euro peut sembler légèrement hypocrite. L’avenir nous dira si les avocats de Free ont suffisamment d’arguments à faire valoir…

Une grille tarifaire nettement plus complexe

Nous l’avons vu, le fait d’opter ou non pour l’option TV segmente déjà l’offre en deux. Mais ce n’est pas le seul élément. En effet, une seconde hausse, plus significative, trouve sa source dans la mise à disposition de la boucle locale, d’après Xavier Niel. Regardons de plus près l’offre commerciale actuelle de Free, et pour cela, rien de mieux qu’un tableau.

La grille tarifaire de Free
Dégroupage partiel – Freebox v5 Dégroupage partiel – Freebox v6 Dégroupage total / FTTH – Freebox v5 Dégroupage total / FTTH – Freebox v6 Non dégroupé
Sans TV 29,99 euros 29,99 euros 29,99 euros 35,98 euros 35,98 euros
Avec TV 31,98 euros 31,98 euros 31,98 euros 37,97 euros

A la lecture de ce tableau, plusieurs réflexions viennent à l’esprit. Tout d’abord, le fait de disposer de tout nouvel équipement de Free n’implique aucun changement tarifaire si vous êtes en dégroupage partiel (c’est à dire en zone dégroupée, mais en conservant l’abonnement France Telecom). Sans option TV, l’offre de Free reste à 29,99 euros, que vous possédiez les Freebox v5 ou v6. En revanche, pour les abonnés en dégroupage total ou en fibre optique, le fait de posséder la version la plus récente de la Freebox implique la hausse de 5,99 euros… qui était censé financer la mise à disposition de la boucle locale. Il semblerait que ce soit davantage le matériel ou encore les appels illimités vers les mobiles qui est ici facturés.

Autre preuve de l’incohérence des propos de Xavier Niel, la comparaison entre le prix de l’abonnement en dégroupage total sans option TV et disposant du matériel le plus récent (et des appels illimités vers les mobiles) et celui d’un abonnement non dégroupé, par définition sans TV également, et disposant d’une v5 (sans appel vers les mobiles). Si les situations sont radicalement opposées, le tarif est le même. L’abonné non dégroupé équipé d’une v5 paie-t-il également la mise à disposition de la boucle locale, le matériel et les appels vers les mobiles ?

La segmentation créée par l’offre Révolution entre les possesseurs de v6 et de v5, d’une part, et surtout entre les dégroupés et les non dégroupés, d’autre part, est une première chez Free. Tout comme la fin de l’offre généralisée à 29,99 euros. Si l’on analyse un peu la stratégie du FAI, on peut être amené à penser que Free cherche à se débarrasser de ses clients non dégroupés. Le tarif pratiqué est plus que prohibitif est supérieur à la concurrence. Ces abonnés sont clairement les victimes de la nouvelle offre Révolution. Ils n’ont pas accès à la Freebox v6, pas accès par conséquent aux appels illimités vers les mobiles et ne peuvent même plus disposer du boîtier HD qui leur aurait pourtant permis d’utiliser le logiciel freeplayer. L’intérêt pour Free semble évident : diminuer son nombre d’abonnés non dégroupés, moins rentables que les abonnés dégroupés du fait de la location de l’infrastructure réseau à l’opérateur historique.

Pour compenser la probable perte du côté des abonnés non dégroupés, il semble que Free ait pris le parti de faire payer les abonnés dégroupés les plus technophiles, ceux qui voudront posséder la Freebox Révolution. Certes, le matériel coûte cher et la Révolution comprend les appels illimités vers les mobiles « en bon père de famille ». Mais cette offre est tout à fait calculée de la part de Free, puisque la terminaison d’appel mobile (soit le prix payé par un opérateur lorsque son abonné appelle un autre opérateur) est tombé de 6,5 centimes à 3 centimes pour les appels vers Orange et SFR, et de 8,5 à 3,5 centimes pour les appels émis vers le réseau Bouygues. Une baisse considérable qui rend l’offre de Free rentable si le consommateur ne dépasse pas les trois heures vingt minutes de communication, d’après un calcul du journal Les Echos. D’autant que l’opérateur reste particulièrement flou sur les conditions d’utilisation des appels vers les mobiles (voir Freebox Révolution : le mobile vraiment illimité pour « le bon père de famille »), et que cette fonction n’est pas disponible en SIP, empêchant une utilisation hors de son domicile.

Finalement, cette offre Révolution, annoncée en grande pompe et particulièrement alléchante avec des boîtiers clinquants (design by Starck, lecteur Blu-ray, nouvelle interface…) nous semble être un excellent coup commercial de la part de Free. En éliminant les abonnements non-dégroupés et en profitant du renouvellement de la Freebox pour appliquer une hausse significative aux technophiles (qui sont historiquement nombreux chez Free), le revenu par abonnés risque d’augmenter de manière significative. Une bonne nouvelle pour les actionnaires. Reste à savoir si, comme l’envisage Thomas Reynaud, Directeur Financier du Groupe Iliad, le nombre de nouveaux abonnés atteindra les 20 à 25% escomptés.

Quelques petites lignes qui ne font pas plaisir (non plus)

En dehors de cette offre commerciale, on trouve quelques nouveautés dans les conditions générales de vente qui ne seront pas pour plaire à tout le monde. Premièrement, l’offre multi-TV, jadis gratuite pour les abonnés fibre, ne l’est plus. Il faudra donc débourser 5 euros supplémentaires par mois pour en bénéficier. Autre modification : les frais d’activation de 96 euros par mois (des frais de résiliation déguisés), qui étaient allégés de 3 euros par mois, le sont maintenant à hauteur de 1,5 euros mensuel. Pour résilier sans frais chez Free, il faudra attendre pas moins de 64 mois, soit 5 ans et quatre mois. Regrettable.

Conclusion

Freebox Server

Que dire finalement à propos de l’offre Révolution de Free ? Les deux boîtiers proposés par Free sont clairement les plus évolués à l’heure actuelle. Le choix des composants nous semble judicieux, que ce soit dans le boîtier Player, avec Sodaville, que dans le Server. Tout juste peut-on discuter le déplacement du disque dur dans le Server, et encore. Les deux boîtiers sont silencieux et l’espace prévu dans le Server est la promesse d’une certaine évolutivité : on peut penser que le femtocell fera son apparition avant le début de l’année prochaine. En revanche, le point noir concerne la consommation électrique : elle est élevée sur un Player qui n’a certes pas vocation à rester tout le temps allumé, mais elle l’est également sur un Server qui, lui, fonctionne 24 heures sur 24.

À propos de l’interface du Freebox Player, on peut dire que l’on s’attendait à un peu mieux de la part de Free. Xavier Niel l’a dit lui-même, lui et son équipe travaillent sur la Révolution depuis plus de trois années. Nous étions donc en droit d’attendre une interface sans bugs. Ce qui n’a pas du tout été le cas à la réception de nos boîtiers. Certes, les mises à jour corrigeront bon nombre des problèmes observés par les freenautes. Nous pourrions féliciter les équipes techniques de Free pour cette réactivité, mais il nous semble plutôt que nous devrions blâmer un lancement trop précipité. Pour respecter la parole du patron, qui avait promis la sortie de sa box avant la fin de l’année ? Pour répondre rapidement à l’Evolution de SFR ? Quoi qu’il en soit, si Free n’a pas (complètement) renouvelé la mascarade rencontrée lors de la livraison de la v5, le nombre très important de bugs et de fonctions non actives lors de la livraison n’a pas servi Free dans son entreprise de conquête de nouveaux clients.

Freebox Player et sa télécommande

C’est d’autant plus dommage que certains efforts avaient visiblement été fournis pour attirer une clientèle moins geek : l’activation par défaut des mode routeur et Wi-Fi, la présence d’une clé WPA inscrite sur la boîte, la gratuité de la hotline… Certains éléments, tournés vers le grand public, sont moins accessibles toutefois : on pense au contrôle parental, qui ne sera utilisable que par des parents initiés, ou au WPS, non actif pour le moment. De même, si les explications de branchement à l’intérieur des boîtes sont claires, on peut toutefois regretter l’absence de notices plus complètes (qui sont désormais disponibles sur le site du FAI). Enfin, le retard de livraison de la manette peut également irriter ceux qui avaient été tentés par les démonstrations faites en conférence de presse.

L’un des vrais points de satisfaction concerne en revanche l’interface de gestion locale, enfin introduite avec la Révolution. Elle est claire, complète depuis le 18 janvier, et permet de contrôler les principaux paramètres du Server, y compris le redémarrage de ce dernier. L’interface Seedbox, malgré quelques erreurs de jeunesse, donne elle aussi entière satisfaction.

Finalement, nous sommes relativement surpris par cette Freebox Révolution. Car si l’aspect matériel laisse présager le meilleur, l’aspect logiciel est quant à lui nettement moins convaincant pour le moment. Les différentes mises à jour de la semaine corrigeront de nombreux problèmes, mais il en demeurera encore beaucoup. Si l’on ajoute à cela l’incertitude qui plane sur la légalité de l’astuce liée à la TVA, qui pourrait remettre en cause une facture déjà bien salée, ne faut-il pas attendre plutôt que de se jeter sur cette Révolution ? Ou finalement opter pour la v5, une offre encore d’actualité…

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Après une mise à jour de notre Freebox Server (Boîtier ADSL), nous venons de constater que notre Freebox Player (Boîtier TV) venait lui aussi de passer en version 1.0.1.

Alors que nous sommes en train de préparer notre première vague de mise à jour pour notre dossier portant sur la Freebox Révolution de Free, le FAI coupe l’herbe sous le pied de nombreuses critiques et améliore certains points.

Pour en profiter, il suffit de redémarrer chaque boîtier via les fonctions dédiées de leurs menus « Système ».

Freebox Révolution Player Freebox Révolution Server

Du côté de la Freebox Player, c’est surtout le lecteur Blu-Ray qui a droit à quelques nouveautés. On peut ainsi utiliser la télécommande pour des fonctions qui n’étaient pas actives jusqu’à lors, ce qui est plutôt aberrant.

Parmi elles on note :

  • Le son (Vol +/-)
  • L’avance / Retour rapide (<< / >>)
  • La gestion des chapitres (Prog +/-)

Alors que nous avions des soucis avec notre Blu-Ray d’Inception, celui-ci est désormais parfaitement reconnu.

Pour la gestion des vidéos, si nous rencontrons encore de nombreux soucis avec les sous-titres qui ne sont que rarement supportés (c’est le cas dans tous nos Blu-Ray), la fiche d’information mène désormais au bon film si le fichier est nommé correctement.

Jusqu’à maintenant, la présence d’espaces pouvait poser problème. Nous avons aussi noté l’apparition du code des télécommandes virtuelles, permettant de gérer la Freebox via des applications pour smartphone, par exemple.

Freebox Révolution Server 1.01 Freebox Révolution Server 1.01

Le boîtier serveur, quant à lui, propose de nombreuses options supplémentaires comme la gestion du contrôle parental, de l’iPv6, Free Wi-Fi, et de toutes les fonctionnalités du routeur qui n’étaient disponibles que via l’interface en ligne de Free.

Freebox Révolution Server 1.01 Freebox Révolution Server 1.01

On trouve même un test de débit permettant d’évaluer les performances du lien entre l’ordinateur et la Freebox via le téléchargement de fichiers de 1 Mo, 10 Mo, 100 Mo ou 1 Go via l’interface HTTP. La liste des logiciels utilisés et leurs versions sont aussi notifiés au sein des mentions légales.

Freebox Révolution Server 1.01

Bien entendu, tout n’est pas encore parfait. On notera la gestion de la télécommande qui demande encore du travail, comme le navigateur de la Freebox Player qui est… lent au possible pour le moment.

Free nous a indiqué travailler sur de nombreux points qui permettront d’améliorer l’expérience de l’utilisateur dans de prochaines mises à jour. Le support de l’HDMI-CEC pourrait ainsi être finalement de la partie au moins pour les fonctionnalités basiques (allumer la TV lorsque la Freebox est en route, par exemple), tout comme le fameux mode Bridge.

Comme le faisaient remarquer récemment nos amis d’Univers Freebox, vous pouvez effectuer vos remontées de bugs directement à Free via ces deux BugTracker :

Enfin, notez que le FAI a mis en ligne depuis plusieurs jours ses guides de démarrage ainsi que le manuel détaillé de la Freebox Player. Rien, par contre pour la Freebox Server, pour le moment.

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C’est le bal des mises à jour aujourd’hui !. Après celle de la Freebox server, la player vient de recevoir son correctif.

Débranchez électriquement votre Freebox player pour en bénéficier ou allez dans Réglages >> Système >> Redémarrer la freebox Player.

Le firmware est en version 1.0.1

Les correctifs que l’on a pu observer :

- Règles les problèmes de lecture de certains DVD/BLu-Ray
- Gestion du son de la lecture Blu-Ray/DVD par %. (mais inactif sur le DVD testé)
- Fond d’écran sauvegardé
- Paramètres audios sauvegardés
- Gestion des espaces dans les titres des vidéos et musique
- Mise en place d’une flèche haut/bas sur la page d’accueil dans les menus
- Mail : Prise en charge des adresses de plus de 16 caractères
- @ est disponible sur le clavier virtuel
-

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La Freebox server passe en version 1.0.1. Pour en bénéficier, il vous suffit de débrancher/rebrancher électriquement votre Freebox.

La Freebox player ne bénéficie pas encore de mise à jour.

Les améliorations constatées :

- Paramétrage du WIFI, Free WIFI
- Filtrage MAC
- Contrôle parental
- IPV6
- Redirection des ports
- Serveur DHCP
- UPNP


Si vous constatiez d’autres évolutions ou corrections de bugs, n’hésiter pas à l’indiquer dans les commentaires de cet article.

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L’association de consommateurs estime que les conditions d’utilisation imposées par Free sont opaques voire incompréhensibles…

Free a-t-il parlé trop vite d’illimité vers les mobiles lors de la présentation de sa nouvelle box Révolution ? L’opérateur a en effet bousculé le marché en incluant ces appels depuis sa box, forçant par exemple SFR à s’aligner.

Mais le rêve de l’illimité aurait (une nouvelle fois) des limites, selon les observations de l’association UFC Que Choisir. Ses experts se sont ainsi plongés dans les conditions d’utilisation de Free. Résultat des courses, si le nombre d’appels est bel et bien illimité, leurs durées semblent bridées.

Explications : « Dans sa brochure, Free renvoie le client aux Conditions spécifiques liées à son service téléphonie. Et dans ce document, pour définir « l’usage raisonnable » qui conditionne le service, le FAI fait cette fois référence à des chiffres publiés chaque trimestre par l’Autorité de régulation des communications (Arcep) », explique l’UFC.

Illimité limité à 5 heures par mois ?

C’est ici que tout se complique… « Pour connaître la durée de communication vers les mobiles comprise dans son forfait, un utilisateur doit donc se rendre sur le site Internet de l’Arcep et y consulter l’Observatoire trimestriel des marchés des communications électroniques. Un brin contraignant ! Le document – 38 pages truffées de chiffres et de graphiques – n’est pas rédigé en vue d’une consultation par le grand public », tonne l’UFC.

L’association a donc analysé en détail le document et révèle donc « qu’au 2e trimestre 2010, en moyenne, un abonné à un service téléphonique traditionnel (RTC) a téléphoné 2 h 51 depuis son fixe, une moyenne qui monte à 5 h 03 pour un abonné à un service de téléphonie par ADSL ».

« Les chiffres concernant la téléphonie mobile permettent de déduire que la proportion d’appel vers les portables avoisine dans les deux cas les 10 %, soit respectivement 17 et 30 minutes. Auquel de ces chiffres Free fait-il allusion quand il fait référence « au taux moyen tel qu’issu » de cet Observatoire ? Impossible de le savoir : le FAI refuse de répondre à nos questions. », poursuit l’association.

L’UFC est donc obligée d’extrapoler : « Dans le meilleur des cas, Free considérerait donc que 5 h 03 est la limite d’un usage « raisonnable ». On est loin de l’« illimité »… Remarquez, Free a bien pris garde de ne pas employer ce terme pour décrire son nouveau service ».

L’association indique qu’elle sera vigilante sur ce point mais souligne que ces modalités opaques et alambiquées sont « contraire au Code de la consommation qui dispose que « les clauses des contrats proposés par les professionnels aux consommateurs ou aux non-professionnels doivent être présentées et rédigées de façon claire et compréhensible » (art. L.133-2)… ». Ce qui est loin d’être le cas.

D’ailleurs, SFR qui propose désormais le même service semble être nettement plus transparent. Dans ses conditions de vente, l’opérateur précise que les appels illimités entrent dans le cadre d’un usage normal d’un client grand public. Le nombre de correspondants différents est ainsi fixé à 250 par mois, et la durée d’un appel ne doit pas excéder 3 heures.

Des restrictions jugées « raisonnables » par l’UFC.

A lire : le détail de l’offre de Free Révolution
A voir : la Freebox Révolution en images

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Comme annoncé par Xavier Niel au cours de la présentation de décembre dernier, la SeedBox présente dans la V6 est disponible. Kézako ? Hé bien, c’est une interface permettant de lancer des téléchargements de fichiers lourds, ou encore de Torrent, directement sur le disque NAS de la freebox, permettant de télécharger des fichiers sans avoir aucun PC allumé et dédié à cet usage.

1/ Accès à l’interface HTML de la freebox

Pour accéder à l’interface, deux solutions : soit http://mafreebox.freebox.fr, soit directement l’adresse IP de votre compte, que vous pouvez trouver dans votre interface, et que vous tapez dans votre navigateur, ce qui permet d’y accéder depuis n’importe quel ordinateur ou smartphone connecté à l’Internet.

Lors du premier accès, vous ne connaissez pas votre mot de passe. Pour l’obtenir, rien de plus simple : cliquez sur j’ai oublié mon mot de passe et suivez la procédure.

2/ Accès à la SeedBox

Une fois identifié dans l’interface, il faut cliquer sur l’onglet SeeBox en haut de l’écran

3/ Configuration générale

L’écran de configuration permet de régler l’usage que peut avoir la SeedBox de la bande passante de votre connexion ADSL. Si vous ne savez pas à quoi tous ces réglages correspondent, ne touchez à rien.

Sinon, vous pouvez affecter de la bande passante à la SeeBox en glissant les curseurs. Privilégier la bande passante descendante, permettant de recevoir beaucoup de données, mais gardez un équilibre avec la bande passante montante (les données que vous allez partager).

Le nombre de seed est le nombre maximum de machines extérieures que vous acceptez en connexion sur votre Freebox.

4/ Télécharger un fichier

Voici l’écran le plus intéressant. Vous pouvez soit donner le lien vers un fichier en mode HTTP ou FTP. Des sites de partages de fichiers tels que MegaUpload ou MégaVideo proposent ce type de téléchargement. Rien de plus simple que de copier/coller le lien dans l’interface.

Dans l’exemple ci-dessous, j’ai fait un copier/coller du lien vers le téléchargement de l’excellente suite bureautique LibreOffice 3.3.


L’autre possibilité est de télécharger via un Torrent. Je vous renvoie à Wikipedia si vous ne connaissez pas ce type de partage et de téléchargement de fichier (http://fr.wikipedia.org/wiki/Pair_%C3%A0_pair). Toutefois, sachez que l’Hadopi a mis en lumière ce réseau de partage de fichier, donc je doute que vous n’en ayez pas entendu parler.

Une fois votre fichier Torrent trouvé via des moteurs, type torrentz.eu, vous n’avez qu’à récupérer le lien et le coller dans la SeedBox, ou de télécharger le fichier Torrent sur votre disque dur et de l’uploader depuis l’interface de la SeedBox.


Cliquez sur AJOUTER et le téléchargement commence. Vous pouvez lancer de nombreux téléchargements en parallèle, mais évitez de surcharger votre SeedBox car votre bande passante risque d’en souffrir.

Comme vous pouvez le voir ci-dessus, le débit est assez impressionnant car il est 4x supérieur à celui que j’avais en wifi via mon PC, ce qui est logique, mais surtout pratique car mon PC n’est plus ralenti durant le téléchargement smiley

Une fois le téléchargement terminé, le fichier est partagé avec la communauté P2P, ce que je vous conseille de faire, car c’est le coeur du système en P2P.

5/ Récupérer le fichier

Une fois le téléchargement terminé, le fichier est visible dans le NAS dans le répertoire TELECHARGEMENT du disque dur, sauf si vous changez le chemin dans la page de CONFIGURATION, ce que je ne vous conseille pas.

Vous pouvez donc :

  1. Le visionner via la Freebox Revolution, par la touche FREE puis MES VIDEOS et enfin le répertoire TELECHARGEMENTS. Le fichier est partagé avec la communauté.
  2. Vous pouvez le lire directement sur le NAS, par tous les PC ou MAC ou tablettes de la maison, ce qui fait qu’il continue à être partagé avec la communauté,
  3. Enfin, vous pouvez, par un glisser/déposer, le récupérer pour le lire localement sur votre PC ou MAC

6/ Conclusion

Cette SeedBox est un excellent moyen de télécharger des fichiers que l’on avait du mal à récupérer par sa connexion Wifi et en monopolisant un PC, comme par exemple une image .ISO d’un système d’exploitation ou encore le RIP complet d’un DVD.

C’est une très bonne idée de Free, qui ne va pas plaire aux ayants-droits pour qui P2P = piratage, et qui, du fait de la mise en place de l’Hadopi, n’ont réussi qu’à jeter les internautes dans les systèmes de P2P cryptés et anonymes ou sur des sites tels que MegaUpload… Bravo les gars !

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La Freebox Révolution pourrait bien ne pas échapper à la rémunération pour copie privée suite à une délibération interprétative de la commission qui détermine les types de supports assujettis et les montants.

Freebox-ServerPour Free, il n’a pas à s’acquitter des 35 € normalement dus pour le disque dur de 250 Go de sa Freebox Révolution. Cet espace de stockage est intégré dans le Freebox Server ( et non le Freebox Player ), autrement dit un équipement NAS. Hors, de tels équipements ne sont pas assujettisables s’ils peuvent fonctionner simultanément avec au moins trois systèmes d’exploitation.

La Commission de la rémunération pour copie privée vient cependant de rendre une délibération interprétative qui risque de compliquer le point de vue de Free. Elle précise ainsi que ce non-assujettissement ne vaut pas pour les  » supports de stockage externes de salon de type NAS destinés à être posés sur un meuble « .

A priori, cette précision devrait aboutir à la taxation pour copie privée de la Freebox Révolution. On imagine toutefois que Free saura faire jouer une autre interprétation. Le cas échéant, l’affaire pourrait se régler devant les tribunaux, comme l’avait laissé entendre un responsable de la SCPP.

Actualité publiée le 22 décembre 2010 :
Lorsque SFR a présenté sa Neufbox Evolution, l’opérateur a précisé que le disque dur intégré d’une capacité de 250 Go serait bridé à 40 Go dans le cadre de l’offre, sauf paiement de 15 € par palier de 80 Go ( les derniers 50 Go étant réservés pour des mises à jour ). La raison de cet exercice de style imposé : la fameuse rémunération pour copie privée. Pour son offre Freebox Révolution, Free estime toutefois que cette règle du jeu ne vaut pas. Décidément, une offre qui n’a pas fini de faire parler d’elle.

En dépit du disque dur de 250 Go de sa Freebox Révolution, Free considère qu’il n’a pas à s’acquitter des 35 € normalement dus pour un tel espace de stockage. Pour Free, sa box est en effet un serveur NAS, hors ces systèmes de stockage ne sont pas assujettissables dans la mesure où ils peuvent  » fonctionner simultanément avec au moins trois systèmes d’exploitation « . C’est sur cette disposition que Free s’appuie, indiquant selon une information de Les Echos que la Freebox Revolution  » fonctionne sous tous les systèmes d’exploitation « , et donc forcément plus de trois.

Rappelons par ailleurs la Freebox Révolution est composée de deux boîtiers : Freebox Server pour la partie réseau et Freebox Player pour la partie télévision. Le disque dur de 250 Go est intégré non pas à la Freebox Player mais à la Freebox Server qui possède la fonctionnalité de serveur NAS.

Si Free reverse bel et bien une contribution pour copie privée avec sa Freebox TV d’ancienne génération ( disque dur de 40 Go ), pas question visiblement de faire de même pour la Freebox Révolution. De quoi susciter la colère de l’un des responsables de la Société Civile des Producteurs Phonographiques qui a déclaré :  » Free doit payer. Sinon, ça se terminera au tribunal.  »

Selon Les Echos, le coût de production d’une Freebox Révolution est de plus de 300 euros.

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Il y a quelque jours, Free confiait à UniversFreebox que « des tutoriels seront accessibles dès la semaine prochaine » pour accompagner le lancement de la nouvelle Freebox Révolution. Et bien, c’est chose faite ! Depuis quelques instants, le site de l’assistance des abonnés arbore de nombreux renseignements et explications pour utiliser simplement l’interface TV et les fonctionnalités de la Freebox V6 Révolution (utilisation du lecteur Blu-Ray, du navigateur internet, etc). Les nouvelles fiches sont reparties dans dix rubriques :
Bien entendu, si vous suivez l’actualité des sites communautaires, vous ne trouverez rien de très croustillant. Cependant, d’autres « fiches détaillées devraient apparaître sur le portail de l’assistance, au fur et à mesure » nous assure Free.
Freebox Révolution : Guides d’installation rapide
Ce n’est pas tout. Dans la colonne droite du site de l’assistance des Freenautes, Free met à disposition des abonnés, trois nouveaux guides d’installation rapide pour la Freebox Révolution et les Freeplugs. Vous souhaitez en savoir plus sur la fonction des boutons de la nouvelle télécommande ou résoudre les problèmes les plus courants ? Redémarrer les boitiers Player et Server ou associer les Freeplugs ? En savoir plus sur les connectiques et les caractéristiques techniques des deux boitiers ? Tout est dans le guide… Enfin, les guides (distribués également dans les packs Freebox Révolution).

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Si vos deux boitiers Freebox ne communiquent plus (Freebox HD bloquant sur « Réseau » ou « Etape 2 ») ou mal, le problème peut venir de vos Freeplugs ou de votre installation électrique. Si après avoir rebooté ou hard rebooté votre boitier HD, le problème persiste, nous vous proposons une méthode qui vous permettra de tester le débit de vos Freeplugs.
Un FreePlug c’est quoi ?
C’est un bloc d’alimentation 12V composé d’un câble d’alimentation principal et d’une connectique RJ45 adapté à la box.
Le FreePlug a pour intérêt de remplacer la communication Wifi en faisant passer le signal par le courant électrique.
Raccorder les FreePlugs.
Il vous faut d’abord vous procurer un nombre de FreePlugs nécessaire pour votre réseau, soit :
– Un FreePlug pour le boitier ADSL et un autre pour le boitier HD.
– Un FreePlug de plus par ordinateur(s) que vous souhaitez mettre en réseau.
Pour le raccorder branchez à votre modem le double câble ainsi que la prise d’alimentation (reproduisez la même opération sur le boitier TV), et sur l’ordinateur seulement la prise RJ45 du double câble et le câble principal d’alimentation. (Pensez à récupérer l’adresse MAC et le mot de passe sur l’étiquette de chaque FreePlugs). Pour raccorder les ordinateurs, il existe des Freeplugs classiques (dirigez vous dans l’espace boutique de votre interface de gestion).
Il est nécessaire d’appairer les freeplugs pour que le système soit opérationnel. Appuyez deux à trois secondes sur les boutons des boitiers CPL (courant porteur de ligne).
Testez vos FreePlugs avec SoftPlug de Eva.
SoftPlug, un logiciel de la société Lea va vous permettre d’installer et de configurer votre réseau de FreePlugs.
Vous pouvez vous procurer ce logiciel à cette adresse :
Pensez à vérifier que vous disposez des logiciels complémentaires afin de pouvoir utiliser l’application.
Une fois le plugin téléchargé, raccordez votre freeplug au boitier ADSL et à votre ordinateur.
Pour installer et tester vos FreePlugs à l’aide du logiciel, observez la partie de gauche (Arbre réseau) et voyez si vos freePlugs s’affichent dans le même réseau. Dans le cas échéant procédez à une recherche manuelle en effectuant un clic droit sur le nom du réseau, ajouter une NetPlug et renseignez l’adresse MAC. Si le Freeplug n’est toujours pas détectée vérifier qu’il n’y ait pas de parasites sur l’installation électrique comme des lampes halogènes, multiprises, ou encore un ventilateur sur le même segment.
Effectuez ensuite un clic droit sur les différentes Freeplugs et sélectionnez l’option identifier la Freeplugs, renseigner le mot de passe et valider. Réitérez le clique droit sur la Freeplugs maintenant identifiée et sélectionnez l’option, activer le NetPlug. Réitérez cette opération pour chaque Freeplugs.
Procédez d’un clic droit sur le nom du réseau et sélectionner l’option changer la clé de sécurité réseau, entrer un mot de passe de votre choix, et validez.. Terminez par un nouveau clic droit sur le nom du réseau et sélectionner l’option, activer le réseau.
Vous pouvez dès à présent utiliser votre nouveau réseau mais aussi visualiser si les Freeplugs communiquent bien entre eux.

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