Facebook, qui se targue désormais de compter plus de 20 millions d’utilisateurs actifs en France, y annonce le lancement de la fonctionnalité Bons Plans. Similaire à ce que proposent déjà des services comme Foursquare, elle vise à encourager l’utilisation de la géolocalisation pour profiter d’offres spéciales chez des commerçants partenaires.
Ils seraient maintenant 20 millions à s’adonner aux joies du poke, du « J’aime » et de l’ajout d’amis. « Nous avons dépassé en France la barre des vingt millions d’utilisateurs actifs, c’est-à-dire de détenteurs de compte ayant effectué au moins une action – acceptation d’ami, commentaire – lors des 30 derniers jours », a en effet indiqué lundi à l’AFP Damien Vincent, directeur commercial de Facebook France. Selon lui, 11 millions de ces utilisateurs se connecteraient tous les jours, que ce soit depuis un ordinateur ou un téléphone mobile.
Les spécialistes de la mesure d’audience le montrent : les addicts sont en effet toujours plus nombreux à consulter Facebook depuis leur smartphone, et c’est à eux qu’est dédiée la dernière fonctionnalité inaugurée par le réseau, « Bons Plans ». qui permet à une enseigne de proposer des offres spéciales aux internautes qui signaleraient leur présence dans ses points de vente par l’intermédiaire de Facebook Lieux. Lancée fin septembre en France, cette option donne pour mémoire le moyen d’indiquer aux membres de son réseau son emplacement actuel ainsi que ses déplacements, mais aussi de savoir qui parmi ses « amis » est à proximité.
Parmi les huit marques partenaires du lancement de cette transposition des Facebook Deals déjà lancés depuis quelques mois aux Etats-Unis, McDonald’s offre par exemple un dessert ou un sandwich à l’internaute qui aura référencé trois fois l’un de ses restaurants à intervalles d’au moins 24 heures. BNP Paribas, SFR, Benetton, Disneyland, Bonobo, l’Olympique de Marseille et la Fédération française de football participent également à cette inauguration. La création de ces Bons Plans est pour l’instant gratuite.
Voilà une annonce qui risque de faire parler d’elle ! Chez Facebook, on est parti du constat que des milliers d’images sont mis en ligne par les internautes tous les jours. On est également persuadé que c’est la fonction de tag qui donne son intérêt à cette mise en ligne massive de photographies personnelles, puisqu’elle permet de partager souvenirs et autres moments inoubliables.
Mais taguer les photos ça prend du temps, alors pourquoi ne pas le faire automatiquement ? Comme nous l’annonce Justin Mitchell sur le blog de Facebook, le site communautaire aura recours dès la semaine prochaine un outil de reconnaissance faciale. En quoi consiste-t-il exactement ? Lors de l’envoi sur les serveurs du site d’un groupe de photo, une fenêtre vous proposera de marquer les visages détectés (grâce à l’outil de détection de visage introduit l’été dernier). Si certains d’entre eux sont présents sur plusieurs photos, le marquage s’effectuera en masse sur toutes les photos dans lesquelles ces visages apparaissent. Fort d’une base de données qui se constituera ainsi, Facebook sera alors en mesure de vous proposer des choix pour marquer plus facilement les personnes présentes sur vos photos.
Une base de données qui a forcément de quoi inquiéter. Pour éviter toute attaque dont le sujet serait, au hasard, le respect de la vie privée, le site a prévu une option permettant de désactiver cette fonctionnalité sur votre compte. Ceci empêchant Facebook de procéder à la reconnaissance automatique de votre visage. La personne qui voudra marquer votre présence sur l’une de ses photos devra donc le faire manuellement, comme c’est le cas actuellement. Une question cruciale demeure toutefois : comment Facebook va-t-il s’en sortir avec les jumeaux ?
Pour avoir créé un faux profil Facebook de l’acteur et humoriste Omar Sy connu pour son duo comique Omar et Fred, un internaute a écopé de 1 500 euros de dommages-intérêts + 1500 euros pour les frais de justice.
La caractérisation du délit d’usurpation d’identité d’une personne sur Internet fait partie des dispositions du projet de loi Loppsi. Même si aucun préjudice financier n’a été causé, cette usurpation d’identité sur des réseaux sociaux notamment sera condamnée au titre de préjudice moral ( utilisation malveillante ). Une peine encourue d’un an d’emprisonnement et 15 000 € d’amende. Est-ce à dire que le dénommé Alexandre P. s’en tire plutôt bien ?
Le site Legalis.net publie la décision du Tribunal de Grande Instance de Paris qui a condamné Alexandre P. à 1 500 € de dommages-intérêts pour atteinte à la vie privée et violation du droit à l’image d’Omar Sy. L’artiste comique que l’on retrouve dans le duo Omar et Fred sur la chaîne Canal+. Qui plus est, Alexandre P. devra aussi s’acquitter de 1 500 € pour les frais de justice.
Selon Omar Sy, la mise en ligne d’un faux profil Facebook a constitué un » avatar fictif qui a parasité sa vie privée « . Il a également précisé qu’outre l’atteinte portée à sa vie privée, » les pages Internet litigieuses ont aussi violé son droit à l’image « . Une petite recherche sur Facebook montre qu’actuellement des profils Omar Sy continuent toujours d’emprunter une image de l’humoriste.
Le tribunal a estimé que : » s’il est exact que les prénom et nom du demandeur ainsi que sa date de naissance sont des éléments d’identité ne relevant pas de la vie privée, en revanche aucun élément ne justifiait que les informations concernant ses goûts ainsi que le nom de certains de ses amis soit portées à la connaissance du public. »
Legalis.net précise que le plaignant ne s’est pas adressé à Facebook pour faire retirer le contenu mais à l’auteur du faux profil : » sur requête, Facebook a fourni l’adresse IP de la machine à partir de laquelle la page avait été mise en ligne ainsi que l’adresse e-mail de la personne y ayant procédé. Toujours sur requête, le FAI ( Free ) à laquelle correspondait l’adresse IP a donné l’identité de son abonné. »
Pour sa défense, Alexandre P. a tenté de faire valoir un détournement de son adresse IP.
Chris Hughes, co-fondateur du géant communautaire Facebook, a dévoilé hier un nouveau réseau social baptisé Jumo. Plutôt que de se positionner face aux autres services de la Toile, Jumo a pour ambition de sensibiliser les internautes aux oeuvres caritatives.
En répertoriant quelque 3500 organisations, les philanthropiques peuvent alors spécifier leurs intérêts et les causes pour lesquelles ils souhaitent s’investir. En revanche, plutôt que de faire appel à des dons ponctuels, par exemple au lendemain d’une catastrophe naturelle, Chris Hughes souhaite mettre en place des outils permettant de favoriser les échanges avec un flux d’information continue ; cela permet donc de fidéliser les internautes . « Notre vraie mission est d’aider autant que possible les internautes à rechercher ces organisations pour les connecter de manière permanente », explique-t-il. Pour l’utilisateur, Jumo apportera donc davantage de transparence et il sera en mesure de savoir plus précisément à quoi serviront les dons effectués. Pour les organisations, il s’agit également d’une opportunité pour recruter plusieurs bénévoles pour différentes missions humanitaires à travers le monde.
Notez que l’utilisation de Jumo nécessite d’authentifier son compte Facebook afin de retrouver facilement des contacts. Après avoir sélectionné le type d’oeuvres caritatives auxquelles il est le plus sensible, l’internaute accédera à sa page d’accueil comportant les mises à jours des différentes organisations ainsi que de ses contacts. L’influence de Facebook ne s’arrête pas là puisque chaque association possède sa propre page agrémentée du fameux bouton Like. Chris Hughes conclut : « Tout a été mis en oeuvre pour répondre à la question : qu’est-ce (insérer votre nom) prend à coeur ? ».
Facebook a voilà une semaine annoncé son nouveau système de messagerie, qui permet de tisser des liens de plus en plus denses entre les utilisateurs de ce réseau. Ce nouveau système utilise cependant les recettes du passé : le site s’autorise en effet à bloquer les liens qui ne lui plaisent pas, dont The Pirate Bay. Ceux qui ont tenté d’échanger un lien Torrent hébergé sur TPB se sont vus opposés ce froid écriteau :
Wired a pu obtenir quelques explications de la part de Facebook : « Nous avons des systèmes en place pour prévenir les abus sur Facebook et éviter le spam que nous continuons à déployer avec ce nouveau service ». Mais FB a refusé d’en dire plus : « nous ne partageons pas les spécificités de ces systèmes. »
Wired a pu tester la finesse de ce blocage qui censure même les liens vers des contenus libres qu’on peut trouver via The Pirate Bay. Systématiquement, Facebook indique : « Message Failed. This message contains blocked content that has been previously flagged as abusive or spammy. Let us know if you think this is an error ». Le contenu du message est donc bloqué, car considéré comme abusif ou constituant un spam. À l’utilisateur d’alerter et se justifier auprès de Facebook pour lui démontrer qu’il s’agit d’une erreur.
Selon nos tests, un message entre « deux amis » Facebook comportant un lien torrent pointant vers une distribution Ubuntu, est également bloqué. Mais ce n’est pas une nouveauté (voir notre article datant d’ avril 2009)
Le Monde rapporte pour sa part que le blocage frappe aussi le site Lamebook, catalogue des statuts et des discussions les plus stupides ou rigolotes sur le réseau. Là ce n’est pas le contenu qui est en cause, mais un litige avec Facebook qui accuse LameBook de violer ses noms et logos. Finalement, indiquent nos confrères, Facebook a fait son mea culpa, pointant « une erreur » dans la mise sous liste noire de Lamebook : « Nous sommes engagés dans la promotion de la liberté d’expression sur Facebook. Nous nous excusons, et nous faisons tout en œuvre pour que tout revienne à la normale. »
Il faut en tout cas considérer Facebook comme un service postal qui s’autorise à contrôler des contenus dans les messages privés selon des critères secrets, mais erronés.
Mark Zuckerberg a dévoilé hier le nouveau système de messagerie de Facebook, qui mêle chat, e-mails et SMS. Voici les détails de cette annonce qui a fait grand bruit.
a rumeur court sur le Web depuis quelques semaines, elle a été confirmée de la bouche même de Mark Zuckerberg hier soir : Facebook entre sur le marché de l’e-mail en rénovant son système de messagerie.
Si le jeune PDG a démenti que la nouvelle messagerie était le « Gmail killer » (« le tueur de Gmail »), ce que soupçonnaient certains sites, le « projet Titan » n’en demeure pas moins une entreprise ambitieuse. Elle se distingue nettement d’un service d’e-mails traditionnel et pourrait bien, à terme, leur faire de l’ombre, même si M. Zuckerberg s’en défend. Toutes nos réponses aux questions que vous vous posez au sujet de cette nouvelle messagerie.
Quelles sont les caractéristiques principales de cette messagerie ?
M. Zuckerberg l’a dit en introduction de sa conférence, hier : « de nombreux individus utilisent des moyens plus simples que l’e-mail, comme les SMS, la messagerie instantanée, en tant que mode principal de communication. Ils veulent des choses plus simples. Et d’ajouter quelques minutes plus tard,nous ne pensons pas que l’e-mail soit un moyen moderne de messagerie ». Le ton est donné : la nouvelle messagerie Facebook se veut plus simple, moins « formelle », plus « immédiate », selon les termes du patron.
Concrètement, cela se traduit par une messagerie unifiée, capable de réunir à la fois les messages Facebook classiques, mais également les messages instantanés et les SMS. Tout ça, selon Zuckerberg, pour « fluidifier la communication » et ne plus à avoir à se soucier du moyen de livraison des messages : quoi qu’il arrive, les messages vous parviendront « le plus rapidement possible», par chat, message Facebook, e-mail ou SMS.
Deuxième point mis en avant par Facebook : l’historique des messages. Pour chaque contact, le nouveau système propose l’intégralité de vos échanges dans l’ordre chronologique, sous forme de conversation, quelque soit le média utilisé, là encore.
Enfin, dernière idée forte : un système de boîte à lettres « sociale » qui sépare, sur le nouveau système, les messages en provenance de vos amis (et des amis de vos amis) du reste de votre correspondance.
Facebook va-t-il fournir un véritable client e-mail ?
Comment obtenir son adresse ?
Le nouveau système de messagerie n’est pas un véritable client e-mail, et pour cause : Facebook part du principe que le vénérable moyen de communication sur Internet a pris un coup de vieux, à l’heure de la messagerie instantanée, des SMS et de… Facebook. Il ressemble donc plus à un service de chat… Pour autant, le site fournira à qui le souhaite une adresse @facebook.com pour communiquer avec des individus en dehors du réseau social. Mais sur la messagerie Facebook, il n’y a pas de champ objet, ni de copie conforme, ni d’options avancées de tri. Il est cependant possible d’ajouter et de recevoir des pièces jointes.
Votre adresse @facebook.com sera définie par votre nom d’utilisateur. Pour la créer ou la modifier, rendez-vous simplement dans la rubrique « paramètres du compte » depuis le menu « compte ».
Autre détail qui a son importance : Facebook a refusé de préciser la capacité de stockage de son système, mais a indiqué que cela ne « sera pas un problème » pour un utilisateur classique.
Ce dispositif sera-t-il cantonné aux sites et applications Facebook ?
Non, on pourra accéder à la messagerie depuis d’autres applications basées sur des standards. On pourra recevoir les messages par SMS, mais également sur des logiciels de messagerie instantanée compatibles avec Jabber/XMPP (Facebook donne Windows Live Messenger et AIM comme exemple, mais il en existe bien d’autres). La compatibilité IMAP « ne sera pas prête au lancement », mais sera supportée à terme et l’on pourra donc utiliser la messagerie Facebook avec son client ou service e-mail habituel.
Et ma vie privée dans tout ça ?
Avec son nouveau système, Facebook vante un meilleur contrôle des messages reçus par l’utilisateur, qui peut bloquer, grâce au « graphe social » que maintient le site, certains messages indésirables. Ainsi, on peut choisir de n’accepter que les messages de ses amis ou des amis de ses amis. L’historique des conversations avec un contact pourra être également – et heureusement – effacé a posteriori. Elles pourront également être archivées.
Par ailleurs, les e-mails que vous recevrez de contacts non inscrits sur Facebook seront, d’après Mark Zuckerberg, conservés par Facebook pour que les futurs messages de cette personne soient ensuite traités comme provenant d’un de vos amis.
Quand le service sera-t-il disponible ?
Il est d’ores et déjà possible de solliciter une invitation pour essayer le nouveau système de messagerie, qui sera implémenté lentement au cours des prochains mois. Chaque nouvel utilisateur obtiendra des invitations, qu’il pourra offrir à ses amis pour qu’ils le testent à leur tour. Cela vous rappelle quelque chose ? Oui, c’était exactement de cette manière que Google a, en 2004, entretenu le buzz autour de Gmail, dans un premier temps uniquement accessible sur invitation.
Après avoir déposé une plainte contre trois spammeurs la semaine dernière, le géant communautaire Facebook s’attaque désormais à Faceporn pour violation de propriété intellectuelle. Ouvert depuis le mois d’avril, ce site pornographique est inaccessible depuis mercredi dernier. Sur la page d’accueil il est ainsi mentionné : « nous faisons de notre mieux pour revenir (avec un site) encore mieux qu’avant. Nous planchons actuellement sur une nouvelle version et ce sera le meilleur site porno que vous n’aurez jamais vu ».
Ce n’est pas la première fois que Facebook s’en prend à des services concurrents. Au mois d’août des actions avaient été lancées contre TeachBook, un réseau social à destination des enseignants. Le plaignant expliquait que l’utilisation du mot book au sein d’un tel service pouvait porter à confusion. Facebook tenterait également d’obtenir des droits sur le mot face lorsque ce dernier est employé de manière similaire. En l’occurrence, le site Faceporn propose les fonctionnalités d’un réseau communautaire.
Dans sa déposition, la société de Mark Zuckerberg explique que Faceporn « copie ouvertement le logo, le site et le « mur » de Facebook ». En guise de « poke », les internautes envoient d’ailleurs des « flirts ». Le plaignant demande à ce que Thomas Pederson, créateur de Faceporn, lui reverse l’intégralité de ses revenus et lui transfert le domaine. Une audience est attendue pour le mois de janvier.
Facebook a décidé de prendre des mesures concernant la vie amoureuse de ses utilisateurs, qu’elle soit passée, présente ou future, en vous proposant de supprimer vos ex de votre compte.Si le site Facebook est un succès planétaire, il présente tout de même quelques petits aléas. Ainsi, lorsque vous sortez d’une relation amoureuse, il est actuellement impossible de retirer les photos de son ex sur son compte. Mais bientôt, ces clichés « souvenirs » ne seront plus qu’un mauvais souvenir !
En effet, un responsable du site a expliqué que désormais, lorsque vous enlèverez le nom de votre ancienne moitié de votre statut « en couple », tout ce qui a un lien avec elle disparaîtra : « Les « photos souvenirs » ne montreront plus de photos taguées de vos amis si vous avez eu auparavant une relation avec eux. » Voila de quoi éviter quelques disputes sur ce problème. Cette innovation répond d’ailleurs à une demande express des utilisateurs. En faisant cela, Facebook a surement évité des milliers de crises de jalousie à travers le monde !
Facebook propose désormais la possibilité de sauvegarder la totalité de ses données personnelles partagées sur le réseau social. Nous avons décidé de regarder cela de plus près.
Pour ceux d’entre vous qui ont Facebook en français, il faudra tout d’abord changer de langue et passer à l’anglais US / UK. Pour cela c’est simple, il vous suffit d’aller sur « Compte », « Paramètres du compte », puis « Langue ».
Vous êtes français ? Dommage
Une fois la page rechargée, il faudra vous rendre sur l’onglet « Settings », et là, vous avez deux possibilités : Vous voyez en bas de la liste une option indiquée « Download Your Information »… ou pas. Car cette fonctionnalité ne semble pas encore disponible pour tout le monde. Sur cinq comptes que nous avons vérifié, un seul la proposait.
À gauche la page en français, à droite « la même » en anglais
Vous devrez alors cliquer sur « Learn more », une confirmation du mot de passe vous sera alors demandée, et heureusement ! Cela évitera à quelqu’un de passage sur votre PC de récupérer l’INtégralité de vos données.
Des tas de données, mais un seul fichier
Il suffit maintenant de cliquer tout simplement sur « Download Now » pour lancer le téléchargement d’un fichier compressé au format Zip contenant les précieuses informations. Dans notre cas, celui-ci ne pesait que 2.5 Mo *.
Le site a soigné la présentation de son fichier : un premier répertoire HTML contient tous les messages, les groupes, les événements et votre profil, tandis que dans le second, vous trouverez tous vos albums photos / vidéos (mur, mobile, profil et albums personnels). Les chats ne seront par contre pas de la partie.
Facebook fait la différence entre VOS documents et ceux où vous apparaissez
Autre point décevant : Facebook ne fournit que les photos que vous avez mis en ligne et non pas les photos où vous avez été tagués. Ce qui est un peu dommage, mais après tout, elles ne vous appartiennent pas.
Pour la partie texte, c’est très simple et très bien mis en place puisque vous trouverez un simple fichier « Index.html » à ouvrir avec votre navigateur pour accéder à la totalité de vos informations personnelles. Plusieurs onglets permettent de naviguer depuis votre PC à vos éléments textuels : profil, mur, amis, évènements et messages.
Là encore, ne seront disponibles que les conversations qui seront contenues sur votre mur, vos photos… et pas les commentaires que vous avez pu faire chez d’autres personnes.
Facebook fait donc un pas de plus vers ses utilisateurs et notamment ceux qui souhaitent le quitter, ce qui est plutôt appréciable. Espérons que cela continue dans ce sens.