Archive pour la catégorie “facebook”

C’est dit : les hackers ne parviendront pas à faire taire Charlie Hebdo. Le journal, dont les locaux ont été incendiés il y a deux jours, a également vu son site Web piraté. Celui-ci n’a toujours pas été remis en ligne, mais Charlie s’est trouvé un espace d’expression temporaire en ouvrant un blog WordPress (1). Il en profite pour y donner un coup de griffe à Facebook, qui a bloqué les pages de l’hebdomadaire pour de curieuses raisons.
« Mercredi, nous recevions un message d’avertissement nous rappelant le règlement du site : “pas de corps trop dénudés” », indique la rédaction. Hier, l’accès au compte de Charlie Hebdo a été bloqué « au prétexte que nous n’avons pas donné notre identité réelle. Il faut bien comprendre que Facebook a attendu que Charlie prenne feu pour réaliser que cette page, qui ne date pas d’hier, n’était pas conforme à ses statuts à la con ».
Problème : si l’administrateur du compte était bloqué, les commentaires, eux, étaient toujours libres et ne pouvaient donc être modérés. Résultat, les pages « perso » et « officiel » du journal ont été « inondées de merde, menaces de mort, injures raciales, on en passe et des pires ».
Le magazine dit vouloir « reprendre l’épave qu’est devenue la page Charlie Officiel » mais en la suspendant jusqu’à mercredi, devant l’impossibilité de modérer les commentaires. La page perso a, quant à elle, été supprimée par le réseau social.
(1) A l’heure où nous écrivons ces lignes, la connexion au blog de Charlie Hebdo est très aléatoire.
Commentaires fermés sur Charlie Hebdo se réfugie sur WordPress et s’en prend à Facebook
Facebook attaqué en justice pour avoir censuré un nu de Courbet
Un internaute français a vu son compte désactivé après avoir publié une photo de L’Origine du monde, qui représente le sexe d’une femme. Il vient de porter plainte pour atteinte à la liberté d’expression.
En 1866, Gustave Courbet avait choqué certains esprits avec L’Origine du monde, un tableau représentant en gros plan le sexe d’une femme. Un siècle et demi plus tard, les mentalités n’ont pas tellement évolué, puisqu’un internaute a vu son compte Facebook désactivé en février après avoir affiché l’œuvre sur son profil. Il vient de porter plainte devant le tribunal de grande instance de Paris pour atteinte à la liberté d’expression.
© Orsay
L’Origine du monde, de Courbet, exposée au musée d’Orsay.
Le plaignant critique une « censure aveugle », survenue la veille de son anniversaire, et précise que la photo était associée à un lien renvoyant à une émission d’Arte sur la genèse de cette œuvre.
« Facebook ne fait pas la différence entre ce qui est de la pornographie et une œuvre d’art […] incontestable montrée aux enfants tous les jours au musée d’Orsay », a indiqué à l’AFP Stéphane Cottineau, son avocat. Il précise que son client, professeur des écoles et père de trois enfants, se servait du réseau social pour transmettre sa passion de l’art.
Facebook ne reconnaît que la justice américaine
L’internaute estime avoir subi un préjudice car son compte lui permettait d’être en contact avec 800 amis. Ses multiples réclamations n’ont été suivies d’aucune réponse. Il réclame 20 000 euros de dommages et intérêts.
Il n’est pas sûr que sa plainte aboutisse, les conditions générales de Facebook stipulant que seul le tribunal de Santa Clara, en Californie, est habilité à régler les litiges juridiques. « Ça m’apparaît totalement illégal, comme une clause abusive qui de fait [épargne à] Facebook […] toute action en responsabilité, par exemple en France », a ajouté Me Cottineau.
Ce n’est pas la première fois que le tableau de Courbet irrite la pudibonderie des censeurs de Facebook. En février dernier, le compte d’un artiste danois avait été suspendu après qu’il eut publié une reproduction de l’œuvre. Le membre avait fait amende honorable et retiré l’œuvre, et son compte avait été réactivé.
Commentaires fermés sur Facebook censure un nu de Courbet, et aprés?
Commentaires fermés sur Le réseau social Google+ démarre en trombe
Publié par Joris dans facebook
Commentaires fermés sur Facebook ajoute les bébés futurs aux contacts
Nouveau réseau social en ligne, Google+ est la réponse de Google à Facebook, Twitter ou encore Foursquare. Quelles sont ses possibilités, comment s’en servir ? Réponse dans notre dossier.
Commentaires fermés sur Google+ le nouveau concurrent de Facebook à l’essai
Près d’un enfant sur cinq dispose d’un compte Facebook. Bien que l’inscription soit théoriquement prohibée aux moins de 13 ans, beaucoup bravent l’interdit pour goûter aux joies du réseau social de Mark Zuckerberg. La CNIL incite les parents à nouer le dialogue avec leur progéniture.
Pour intégrer dans la joie et la bonne humeur la communauté Facebook, vous devez être âgé de plus de 13 ans. En pratique, cette limitation est très facilement contournable pour vos chères têtes blondes, ce qui amène d’ailleurs les équipes de modérateurs à supprimer 20 000 comptes par jour pour non-respect des règles contractuelles du site.
Selon l’institut TNS Sofres, c’est près d’un cinquième des enfants qui trichent sur leurs âges afin de s’essayer au plus populaire des réseaux sociaux. Ces mêmes enfants déclarent à 97% que les parents sont au courant. Plus généralement, 48% des 8-17 ans affirment disposer d’un compte sur un réseau social en citant largement Facebook (Skyblog cité à 3% et Myspace à 1%).
Au lieu de sanctionner ces actions, la CNIL incite les parents au dialogue. A l’heure où de grands débats sur la confidentialité des données publiées sur Facebook se multiplient, il est recommandé de veiller au bon paramétrage de son profil afin d’en limiter l’accès aux contacts étrangers. Cette constatation s’applique aussi aux personnes majeures dont la majorité laisse passer beaucoup d’informations faute d’une bonne configuration de compte.
Pour finir, signalons que TNS Sofres a réalisé son enquête selon la méthode des quotas auprès d’un échantillon de 1200 enfants et adolescents de 8 à 17 ans.
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Commentaires fermés sur Facebook : près de 20% des moins de 13 ans auraient un compte!
Facebook ne fermera pas le 15 mars 2011 : le réseau social de Mark Zuckerberg a démenti, non sans humour, une rumeur lancée samedi dernier sur la toile.
C’est le site satyrique Weekly World News qui, le 8 janvier dernier, a publié un canular ressemblant à une dépêche de presse annonçant la fermeture prochaine du célèbre réseau social. « Mark Zuckerberg a annoncé que Facebook allait s’arrêter en mars. Gérer le site est devenu une activité trop stressante » explique le faux communiqué, qui présente le créateur du site comme surmené et peu inquiet des conséquences d’une telle fermeture : « pour être honnête, je pense que c’est une bonne chose. Sans facebook, les gens vont devoir sortir de chez eux et rencontrer leurs vrais amis. Ca ne peut être que bénéfique. »
Le canular a vite pris de nouvelles proportions via les sites de partage comme Twitter et, ironiquement, Facebook. Les requêtes concernant la fermeture du réseau social ont également explosé samedi sur Google.
Face au buzz provoqué par cette farce, Facebook a répondu dimanche soir par l’humour : « Nous n’avons pas reçu le mémo concernant l’arrêt, nous allons donc continuer à poursuivre nos efforts comme toujours. Nous n’allons nulle part, c’est juste le commencement » a annoncé le site sur son groupe.
Reste que Weekly World News a réussi son coup en provoquant, le temps d’un week-end, l’émoi sur la toile : le faux article concernant la fermeture de Facebook s’avère être le plus lu sur le site, juste avant celui annonçant que Megan Fox est un homme…
Commentaires fermés sur Facebook répond avec humour à une rumeur de fermeture
Cela semblait inévitable : Facebook, le plus grand réseau social au monde, pourrait bien vivre sa première affaire de fuite massive d’informations personnelles. En effet, selon Symantec, qui explique brièvement la procédure, « depuis des années, des centaines de milliers d’applications ont pu laisser fuiter par inadvertance des millions de clés (jetons) à des tiers ».
Si Facebook a déjà dans le passé été au centre de plusieurs affaires, celle-ci pourrait faire plus de bruit. Averti du problème par Symantec, le réseau social américain planche sur le sujet et a déjà fait quelques améliorations. Malorie Lucich, porte-parole de Facebook, a ainsi noté que l’API défaillante pointée du doigt par Symantec a été retirée.
Cependant, la porte-parole de Facebook a au final nié en grande partie les faits. Elle a ainsi fait remarquer que le rapport de Symantec comprend « quelques inexactitudes » et qu’une étude interne a montré qu’ « aucune information confidentielle d’utilisateurs n’a été partagée avec des tiers ».
Pour rappel, lorsque vous installez une application sur FB, vous lui donnez certains droits, plus ou moins intrusifs, via des tokens (jetons). Ce sont ces tokens qui pourraient bien avoir été communiqués par inadvertance…
Selon Symantec, rien que le mois dernier, environ 100 000 applications Facebook ont à leur insu permis cette fuite de données à de tierces personnes, et en particulier des annonceurs publicitaires. Ce qui va bien entendu à l’encontre des obligations contractuelles reliant Facebook et les développeurs.
Le spécialiste de la sécurité précise que ces tiers avaient un total accès aux comptes, et qu’ils pouvaient même publier des messages sur leur mur et modifier leurs informations personnelles. « Heureusement, ces tierces parties ne pouvaient se rendre compte de leur capacité à accéder à cette information » tente de rassurer Symantec.
La fuite a en tout cas été confirmée par Facebook à Symantec. Reste cependant une question fondamentale qui n’a toujours pas de réponse : quelle est l’ampleur de cette fuite ? Si selon Symantec, cette fuite est potentiellement élevée (des millions de comptes peuvent être concernés), il ne s’agit que d’un potentiel. Rien n’assure donc que ce dernier a été exploité. Mais dans le doute…
« Nous craignons qu’un grand nombre de ces jetons (clés d’accès, ndlr) puisse encore être disponible dans des journaux de serveurs tiers ou encore activement utilisés par les annonceurs » conclu de manière pessimiste Symantec.
L’éditeur américain conseille de modifier son mot de passe Facebook par mesure de sécurité, afin d’invalider les mauvais tokens (jetons) et en changer. Si vous n’avez aucune application d’installée, les risques sont bien évidemment nuls.
Voilà qui pourrait quoi qu’il en soit relancer le débat sur les autorisations parfois incroyables que les utilisateurs « donnent » aux développeurs d’applications, que ce soit sur Facebook ou sur leur smartphone.
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Commentaires fermés sur Facebook : une potentielle fuite massive de données révélée.
Peu de gens le savent, mais Facebook n’est pas qu’un réseau social. Le site Web 2.0 s’est étendu au-delà de son URL, au travers du bouton « j’aime » notamment, mais aussi avec un gestionnaire de commentaires à destination des sites partenaires. Cet outil vient de connaître une évolution qui ne devrait pas passer inaperçue. Fini l’anonymat des contributions. Désormais lorsqu’ils posteront un commentaire sur l’un des sites utilisant ce plug-in, les internautes seront identifiés par leur nom et prénom, tels qu’ils les ont renseignés lors de leur inscription sur Facebook.
Pas d’identification, pas de publication
En sus de leur identité, les internautes pourraient voir dévoilées sur des sites tiers d’autres informations les concernant comme l’emploi qu’ils occupent, leur âge ou la ville où ils résident. « Les données qui seront dévoilées respecteront toujours les paramètres de confidentialité [de nos membres] et vous serez capable uniquement de voir [chez les partenaires] les informations auxquelles vous avez déjà accès sur Facebook », explique sur le blog du site, Ray He, ingénieur pour le réseau social.
Ainsi, si vous postez un commentaire sur Techcrunch par exemple, qui vient d’implémenter le gestionnaire de posts, vous êtes obligés de vous identifier grâce à votre compte Facebook. Vos nom et prénom, ainsi que votre photo apparaîtront à côté de votre commentaire. Impossible de publier quelques lignes sans être inscrit sur le réseau social… ou sur Yahoo! à qui la société de Mark Zuckerberg a ouvert son outil.
Synchronisation des commentaires
Une fois en ligne, le commentaire ainsi posté apparaît également sur votre mur Facebook à moins de décocher la case prévue à cet effet. Vos contacts sur le réseau social seront informés de votre publication et auront la possibilité d’y répondre. Mais attention, leurs interventions ne seront pas visibles que sur Facebook. Elles seront aussi publiées sur le site originel.
De la même manière, si une personne répond à votre contribution sur le site partenaire, vous en serez informé sur Facebook, depuis votre boîte de réception. Une méthode habile du réseau social pour pousser du trafic vers des sites tiers et devenir ainsi incontournable.
Commentaires fermés sur Facebook améliore sa boîte de gestion de commentaires.

Quand l’inutile rejoint l’insolite, cela donne des sites comme Breakup Notifier. Concrètement, il s’agit d’une application Facebook destinée à vous tenir informé de la situation amoureuse de certains de vos contacts.
Savoir quand il/elle n’est plus en couple
« Vous aimez une personne. Elle est dans une relation. Soyez le premier informé quand elle n’y sera plus », le principe, expliqué en une seule ligne sur le site, est on ne peut plus clair. Une fois l’application installée sur le compte de l’utilisateur, il va pouvoir ajouter un certain nombre de contacts actuellement dans une relation, à ceci près qu’il doit s’agir de personnes déjà dans ses contacts.
Ainsi, une fois que les contacts en question mettent fin à leur relation et le signalent dans la fameuse section « situation amoureuse » du site, l’application est là pour le voir et envoie un mail à celui ou celle qui voulait en être informé. Voilà qui devrait sonner comme une réponse cynique à tous ceux qui doutaient du potentiel de Facebook en tant que site de rencontres.
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